Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Si la naissance est l'origine du mal, la famille en est son aboutissement. Le discours n'est pas sans cynisme mais le trajet accidenté pour parvenir à ce constat, écrit et filmé de façon virtuose, est l'un des moments les plus délicieusement cruels que nous ayons vus depuis un moment sur un écran de cinéma, qui plus est en France.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce suspense bien mené est un régal pour les nombreuses surprises qu’il réserve.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
Sébastien Marnier livre un thriller en forme de jeu de massacre. Baroque, méchant et déroutant. Le mariage réjouissant et réussi entre Chabrol et De Palma.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sébastien Marnier, le réalisateur d’Irréprochable et de L’Heure de la sortie, livre un thriller familial parfaitement tordu, dans le huis clos luxueux d’une villa des bords de la Méditerranée.
Ecran Large
par La rédaction
Le film pourrait très bien céder au cynisme gratuit, surtout sur deux heures de temps. Mais c'est sans compter d'une part sur la brochette de comédiennes et comédiens, toutes et tous utilisés à bon escient (surtout Laure Calamy et Doria Tillier), ainsi que sur la mise en scène du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un récit chabrolien en diable, fou, noir et vénéneux, avec des acteurs majeurs.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un jeu de massacre jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Règlements de comptes, manipulations, secrets et mensonges au menu d’un huis clos anxiogène et malaisant, impitoyable et vénéneux, qui dénonce avec un humour cinglant le fossé irréconciliable entre riches et pauvres, et la masculinité toxique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Dans ce film aux accents chabroliens, emmené par des femmes (Jacques Weber, qui joue le patriarche, est le seul homme de la distribution), Laure Calamy est formidable de nuances et de mystère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Sébastien Marnier signe un thriller surprenant, renouant avec la causticité de Chabrol.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Façon Cluedo, le film se livre à un jeu de massacre du cocon familial. Vénéneux.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Fabrice Leclerc
L’incroyable Dominique Blanc mène un casting choral aux petits oignons, qui fait de ce conte vénéneux et immoral l’un des meilleurs films français de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
L’originalité de Marnier est de pousser les curseurs toujours plus loin pour échapper au naturalisme et en jouir dans une mise en scène qui se met volontiers en avant.
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans une luxueuse villa de la Côte d’Azur, une nouvelle venue, Laure Calamy, va dynamiter l’ordre établi par un monstrueux patriarche. Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par V.C.
Un Cluedo existentiel où chacun est à la fois victime et bourreau.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un casting de choc pour un thriller hautement vénéneux autour de rivalités familiales monstrueusement tortueuses.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Prenant, même si le montage aurait pu être plus nerveux.
L'Obs
par F. F.
Dans cette parodie d’Hitchcock, Sébastien Marnier (« Irréprochable ») s’amuse à inventer des relations fielleuses, et entasse les révélations jusqu’à l’issue finale, tragique. Mais trop, c’est trop : on est dans l’exercice de style, avec des acteurs qui s’amusent, mais ont du mal à imposer leurs personnages, tous affreux pantins.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cette comédie noire sur la toxicité de la famille mâtinée de thriller ne sera pas au goût de tout le monde. Le titre annonce la couleur d’un film grinçant où l’aigreur des échanges n’a d’égale que la profusion des faux-semblants. Il séduit néanmoins par ses acteurs qui trouvent un rôle à la mesure de leur talent (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Maxime Lachaud
Avec son troisième long-métrage, Sébastien Marnier continue son exploration de personnages désaxés, tout en jouant avec les codes du cinéma de genre.
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
L’Origine du mal est construit sur le même schéma narratif que le précédent film de Sébastien Marnier, L’Heure de la sortie (2018), à savoir l’arrivée d’un élément perturbateur venu parasiter un environnement qui fonctionne sur lui-même. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans « L'Origine du mal », Sébastien Marnier dresse le portrait d'une femme à l'identité trouble incarnée par Laura Calamy. Avec ses protagonistes, tous plus détestables les uns que les autres, le cinéaste concocte un film noir acide sur les liens du sang et l'appât névrotique du gain.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Il y a dans L’Origine du mal, cette même capacité à s’extraire d’une ligne narrative principale pour s’adonner à un pur objet théorique sur la nature des images et redéfinir les champs moraux même les plus évidents : ici ni mensonge, ni vérité, ni bourreau, ni victime.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
On a plutôt la sensation que le film hésite constamment entre la comédie caricaturale, le drame bourgeois et le thriller à twists. Mayonnaise peinant à prendre à cause d'un ton qui se voudrait distancié mais est surtout glacial, et qui s'accommode mal de la nature excessive des caractères.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le prix de cette farce, qui passe à la moulinette d’un humour abrasif la famille et ses névroses toxiques, tient surtout à sa galerie de monstres ordinaires incarnés par une troupe inspirée.
Cahiers du Cinéma
par Élodie Tamayo
Le film, privilégiant le saugrenu à l’inquiétant, ne parvient pas au degré d’intensité auquel il aspire. Les coups de théâtre répétés finissent par saper la vraisemblance psychologique, sans affirmer un registre non naturaliste.
Libération
par Luc Chessel
Atteint du syndrome de l’imposteur – un fléau qui est aussi son sujet, et cette boucle le rend intéressant –, l’Origine du mal, dans le fond, ne prétend bousculer tout le cinoche que pour mieux y retomber, sur ses pattes et dans ses traces.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Voilà pour le point de départ de L’Origine du mal, qui pourrait être celui d’une saga de l’été du service public, mais que Sébastien Marnier (Irréprochable) entend repeindre aux couleurs d’une satire chabrolienne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Si la naissance est l'origine du mal, la famille en est son aboutissement. Le discours n'est pas sans cynisme mais le trajet accidenté pour parvenir à ce constat, écrit et filmé de façon virtuose, est l'un des moments les plus délicieusement cruels que nous ayons vus depuis un moment sur un écran de cinéma, qui plus est en France.
20 Minutes
Ce suspense bien mené est un régal pour les nombreuses surprises qu’il réserve.
CinemaTeaser
Sébastien Marnier livre un thriller en forme de jeu de massacre. Baroque, méchant et déroutant. Le mariage réjouissant et réussi entre Chabrol et De Palma.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sébastien Marnier, le réalisateur d’Irréprochable et de L’Heure de la sortie, livre un thriller familial parfaitement tordu, dans le huis clos luxueux d’une villa des bords de la Méditerranée.
Ecran Large
Le film pourrait très bien céder au cynisme gratuit, surtout sur deux heures de temps. Mais c'est sans compter d'une part sur la brochette de comédiennes et comédiens, toutes et tous utilisés à bon escient (surtout Laure Calamy et Doria Tillier), ainsi que sur la mise en scène du cinéaste.
Le Dauphiné Libéré
Un récit chabrolien en diable, fou, noir et vénéneux, avec des acteurs majeurs.
Le Figaro
Un jeu de massacre jubilatoire.
Le Journal du Dimanche
Règlements de comptes, manipulations, secrets et mensonges au menu d’un huis clos anxiogène et malaisant, impitoyable et vénéneux, qui dénonce avec un humour cinglant le fossé irréconciliable entre riches et pauvres, et la masculinité toxique.
Le Parisien
Dans ce film aux accents chabroliens, emmené par des femmes (Jacques Weber, qui joue le patriarche, est le seul homme de la distribution), Laure Calamy est formidable de nuances et de mystère.
Les Fiches du Cinéma
Sébastien Marnier signe un thriller surprenant, renouant avec la causticité de Chabrol.
Marie Claire
Façon Cluedo, le film se livre à un jeu de massacre du cocon familial. Vénéneux.
Paris Match
L’incroyable Dominique Blanc mène un casting choral aux petits oignons, qui fait de ce conte vénéneux et immoral l’un des meilleurs films français de l’année.
Positif
L’originalité de Marnier est de pousser les curseurs toujours plus loin pour échapper au naturalisme et en jouir dans une mise en scène qui se met volontiers en avant.
Télérama
Dans une luxueuse villa de la Côte d’Azur, une nouvelle venue, Laure Calamy, va dynamiter l’ordre établi par un monstrueux patriarche. Fascinant.
Voici
Un Cluedo existentiel où chacun est à la fois victime et bourreau.
aVoir-aLire.com
Un casting de choc pour un thriller hautement vénéneux autour de rivalités familiales monstrueusement tortueuses.
Femme Actuelle
Prenant, même si le montage aurait pu être plus nerveux.
L'Obs
Dans cette parodie d’Hitchcock, Sébastien Marnier (« Irréprochable ») s’amuse à inventer des relations fielleuses, et entasse les révélations jusqu’à l’issue finale, tragique. Mais trop, c’est trop : on est dans l’exercice de style, avec des acteurs qui s’amusent, mais ont du mal à imposer leurs personnages, tous affreux pantins.
La Croix
Cette comédie noire sur la toxicité de la famille mâtinée de thriller ne sera pas au goût de tout le monde. Le titre annonce la couleur d’un film grinçant où l’aigreur des échanges n’a d’égale que la profusion des faux-semblants. Il séduit néanmoins par ses acteurs qui trouvent un rôle à la mesure de leur talent (...).
La Septième Obsession
Avec son troisième long-métrage, Sébastien Marnier continue son exploration de personnages désaxés, tout en jouant avec les codes du cinéma de genre.
Le Monde
L’Origine du mal est construit sur le même schéma narratif que le précédent film de Sébastien Marnier, L’Heure de la sortie (2018), à savoir l’arrivée d’un élément perturbateur venu parasiter un environnement qui fonctionne sur lui-même. A voir.
Les Echos
Dans « L'Origine du mal », Sébastien Marnier dresse le portrait d'une femme à l'identité trouble incarnée par Laura Calamy. Avec ses protagonistes, tous plus détestables les uns que les autres, le cinéaste concocte un film noir acide sur les liens du sang et l'appât névrotique du gain.
Les Inrockuptibles
Il y a dans L’Origine du mal, cette même capacité à s’extraire d’une ligne narrative principale pour s’adonner à un pur objet théorique sur la nature des images et redéfinir les champs moraux même les plus évidents : ici ni mensonge, ni vérité, ni bourreau, ni victime.
Mad Movies
On a plutôt la sensation que le film hésite constamment entre la comédie caricaturale, le drame bourgeois et le thriller à twists. Mayonnaise peinant à prendre à cause d'un ton qui se voudrait distancié mais est surtout glacial, et qui s'accommode mal de la nature excessive des caractères.
Télé 7 Jours
Le prix de cette farce, qui passe à la moulinette d’un humour abrasif la famille et ses névroses toxiques, tient surtout à sa galerie de monstres ordinaires incarnés par une troupe inspirée.
Cahiers du Cinéma
Le film, privilégiant le saugrenu à l’inquiétant, ne parvient pas au degré d’intensité auquel il aspire. Les coups de théâtre répétés finissent par saper la vraisemblance psychologique, sans affirmer un registre non naturaliste.
Libération
Atteint du syndrome de l’imposteur – un fléau qui est aussi son sujet, et cette boucle le rend intéressant –, l’Origine du mal, dans le fond, ne prétend bousculer tout le cinoche que pour mieux y retomber, sur ses pattes et dans ses traces.
Première
Voilà pour le point de départ de L’Origine du mal, qui pourrait être celui d’une saga de l’été du service public, mais que Sébastien Marnier (Irréprochable) entend repeindre aux couleurs d’une satire chabrolienne.