Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Clélia Cohen
Kate et Leopold est une comédie romantique enlevée et jubilatoire, parce que les acteurs s'y donnent des leçons de jeu.
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
James Mangold (...), pas vraiment un habitué du genre, oppose un gentilhomme à une New-yorkaise carriériste. Et on marche. A fond. Pourtant les idées ne sont pas neuves, les rebondissements plus qu'attendus, mais le recyclage est de bon goût et les références (...) bien choisies. Si la recette est familière, la réussite est rare. Ici, même si on reste loin des films-étalons du genre comme QUAND HARRY RENCONTRE SALLY, ne boudons pas notre plaisir.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
Si vous êtes donc d'humeur badine et que les moues gnangnan de Meg Ryan ne vous hérissent pas trop, Kate & Leopold ne manque ni d'idées ni de charme pour vous séduire. Juste un regret : que le réalisateur n'ait pas réussi à éviter le piège nostalgicoréac : "Avant -et chez les nobles de préférence-, on savait vivre, Monsieur ! "
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Certes, le prétexte manque singulièrement d'originalité, et d'ailleurs, Kate et Leopold réserve très peu de surprises quant au déroulement des opérations. Néanmoins, malgré un rythme laborieux et la mise en scène sommaire de James Mangold, on sait gré aux scénaristes d'avoir su déjouer les principaux pièges du sujet.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Plongé dans le New York actuel, le duc découvre avec un émerveillement mêlé d'effroi notre monde moderne. Mais c'est en même temps un ennuyeux donneur de leçons qui stigmatise l'impolitesse et la vulgarité de notre temps. Il n'a pas tort, mais en dehors d'une certaine distinction et élégance, il n'arrivera pas à nous faire croire que le XIXe siècle était un paradis.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) c'est dans l'acceptation éhontée des conventions de la comédie sentimentale que Kate et Leopold puise son charme. Une galerie de seconds rôles bien agencée et la séduction de Hugh Jackman font presque oublier que Meg Ryan joue comme si elle tournait le dix-huitième épisode de Quand Harry rencontre Sally.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier François
Le film montre tous les signes de la perte d'identité d'un cinéaste de plus en plus standardisé. Mais on ne peut manquer d'être amusé par la charge en règle contre les Américains modernes. Les caricatures de la New-yorkaise stressée,(...) de l'intermittent du spectacle à la coule, du citadin inculte et individualiste, construisent un tableau pas très reluisant des moeurs actuelles où la civilité (...) a à peu près disparu. De là à idéaliser la gentry du XIXe et à cultiver la nostalgie de l'aristocratie...
La critique complète est disponible sur le site Libération
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
A voir comment le film ne recule devant aucune facilité, on se dit qu'on tient là un bel exemple de bluette déniaisée, que Meg, petit soldat de l'amour, est une actrice fortiche et qu'après tout, on est preneur.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Eric Quéméré
Qui dit Meg Ryan dit comédie romantique, mais celle-ci ne restera guère dans les mémoires. Certes, le thème du voyage dans le temps est toujours plaisant, mais tout ici s'avère si convenu que l'on regardera d'un oeil indulgent (au mieux) cette énième évocation de la prédestination amoureuse...
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
C'est niais, caricatural, franchement ridicule et téléphoné.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Meg Ryan et Hugh Jackman dans une très, très improbable histoire d'amour à travers les siècles, s'ennuient beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Stéphanie Lamome
Il faudrait quand même dire à Meg Ryan qu'elle ne pourra pas jouer la fille "mimi" toute sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
De qui Meg Ryan n'est elle pas encore tombé amoureuse ? Réponse de scénariste épuisé : d'un fringant lord anglais du XIXe siècle, tout frais débarqué d'une faille de l'espace-temps dans l'Amérique contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Kate et Leopold est une comédie romantique enlevée et jubilatoire, parce que les acteurs s'y donnent des leçons de jeu.
MCinéma.com
James Mangold (...), pas vraiment un habitué du genre, oppose un gentilhomme à une New-yorkaise carriériste. Et on marche. A fond. Pourtant les idées ne sont pas neuves, les rebondissements plus qu'attendus, mais le recyclage est de bon goût et les références (...) bien choisies. Si la recette est familière, la réussite est rare. Ici, même si on reste loin des films-étalons du genre comme QUAND HARRY RENCONTRE SALLY, ne boudons pas notre plaisir.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Si vous êtes donc d'humeur badine et que les moues gnangnan de Meg Ryan ne vous hérissent pas trop, Kate & Leopold ne manque ni d'idées ni de charme pour vous séduire. Juste un regret : que le réalisateur n'ait pas réussi à éviter le piège nostalgicoréac : "Avant -et chez les nobles de préférence-, on savait vivre, Monsieur ! "
Chronic'art.com
Certes, le prétexte manque singulièrement d'originalité, et d'ailleurs, Kate et Leopold réserve très peu de surprises quant au déroulement des opérations. Néanmoins, malgré un rythme laborieux et la mise en scène sommaire de James Mangold, on sait gré aux scénaristes d'avoir su déjouer les principaux pièges du sujet.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Plongé dans le New York actuel, le duc découvre avec un émerveillement mêlé d'effroi notre monde moderne. Mais c'est en même temps un ennuyeux donneur de leçons qui stigmatise l'impolitesse et la vulgarité de notre temps. Il n'a pas tort, mais en dehors d'une certaine distinction et élégance, il n'arrivera pas à nous faire croire que le XIXe siècle était un paradis.
Le Monde
(...) c'est dans l'acceptation éhontée des conventions de la comédie sentimentale que Kate et Leopold puise son charme. Une galerie de seconds rôles bien agencée et la séduction de Hugh Jackman font presque oublier que Meg Ryan joue comme si elle tournait le dix-huitième épisode de Quand Harry rencontre Sally.
Libération
Le film montre tous les signes de la perte d'identité d'un cinéaste de plus en plus standardisé. Mais on ne peut manquer d'être amusé par la charge en règle contre les Américains modernes. Les caricatures de la New-yorkaise stressée,(...) de l'intermittent du spectacle à la coule, du citadin inculte et individualiste, construisent un tableau pas très reluisant des moeurs actuelles où la civilité (...) a à peu près disparu. De là à idéaliser la gentry du XIXe et à cultiver la nostalgie de l'aristocratie...
Urbuz
A voir comment le film ne recule devant aucune facilité, on se dit qu'on tient là un bel exemple de bluette déniaisée, que Meg, petit soldat de l'amour, est une actrice fortiche et qu'après tout, on est preneur.
Zurban
Qui dit Meg Ryan dit comédie romantique, mais celle-ci ne restera guère dans les mémoires. Certes, le thème du voyage dans le temps est toujours plaisant, mais tout ici s'avère si convenu que l'on regardera d'un oeil indulgent (au mieux) cette énième évocation de la prédestination amoureuse...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
C'est niais, caricatural, franchement ridicule et téléphoné.
Le Parisien
Meg Ryan et Hugh Jackman dans une très, très improbable histoire d'amour à travers les siècles, s'ennuient beaucoup.
Première
Il faudrait quand même dire à Meg Ryan qu'elle ne pourra pas jouer la fille "mimi" toute sa vie.
Télérama
De qui Meg Ryan n'est elle pas encore tombé amoureuse ? Réponse de scénariste épuisé : d'un fringant lord anglais du XIXe siècle, tout frais débarqué d'une faille de l'espace-temps dans l'Amérique contemporaine.