Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Katrin Betz
Voilà une des plus belles transpositions contemporaines du mythe de Carmen, restitué dans un nouveau décor, le Sénégal d'aujourd'hui. Un cadre enchanteur : musique et danse africaines, scènes et costumes aux couleurs chatoyantes apportent un rythme et une photographie envoûtants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
L'Humanité
par Michel Guilloux
(...) Karmen démontre en creux que le cinéma d'un continent de la misère n'est pas voué au misérabilisme et que la pauvreté dans laquelle il s'étrangle (...) est bien économique pour cet art qui est aussi une industrie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
N'hésitant pas à faire un crime de lèse-Bizet, le cinéaste a fait appel exclusivement pour la musique à des artistes comme le saxophoniste de jazz David Murray ou les Africains Doudou N'Diaye Rose et Julien Jougat. Du coup, les comédiens et les danseurs s'en donnent à coeur joie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Nathalie Lanier
Cette désinvolture prise à l'égard de l'art lyrique marque le film du début à la fin. En détrônant l'art lyrique de sa réputation d'art suprême, il rend surtout hommage à l'art du cinéma. C'est cette transposition et ce mélange qui créent cet univers si particulier et poétique.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Michel Eltchaninoff
Cette Karmen africaine n'est jamais caricaturale, elle est seulement colorée et tragique.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Aden
par Philippe Piazzo
On retrouve ici une veine engagée qui (...) fait écho aux films radicaux de la blaxploitation des années 1970. (...) Joseph Gaï Ramaka a placé sa Karmen dans un contexte social d'une singulière actualité.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Yann Kerloc'h
De par le décalage exotique d'avec Bizet et grâce à ces moments vraiment singuliers de comédie musicale, le film trouve un ton unique qui en fait presque l'unique raison d'être.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Bérénice Balta
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par G.L
(...) atmosphère irréelle d'une tragédie musicale, fiévreuse et colorée dans ses meilleurs moments, et parfois, agaçante et naïve.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Anne Coppermann
Entre kitsch, folklore et authentique puissance, elle (Carmen) hésite. Le spectateur aussi, parfois laissé en route, car le scénario accumule ellipses et maladresses, parfois fasciné par l'altière beauté et la sensualité de l'interprète principale, Jeïnaba Diop Gaï. La musique, intense, prenante, sauve l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Philippe Azoury
Joseph Gaï Ramaka utilise le free jazz de David Muray (...). Scandée, pulsionnelle, l'élévation de Murray contamine le film, emportant Karmen vers quelque chose qui finit vraiment par ressembler à une incantation noire, la musique proposant au film de troquer le carcan du récit au profit de quelque chose de libre, de gracieux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Les plages du film dédiées à la musique, à la danse et au corps sont les plus convaincantes. Hélas, le reste (dialogues, direction d'acteurs, conduite du récit) n'est vraiment pas à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Car si la musique de cette Karmen est audible, le film, lui, est à peine visible, démantibulé par les incohérences de la mise en scène et du scénario, par la peine qu'ont les comédiens à construire des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
(...) un film confus, peinant à trouver ses marques dans la ligne musicale jazzy qu'il choisit de suivre : il en épouse les flottements et les changements de ton sans pour autant s'imprégner de la transe nécessaire à ce drame passionnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Jean-Jacques Bernard
On pourra jouir de la beauté de l'héroïne, de l'énergie à revendre des scènes de danse et de volupté. Ou s'irriter de la photographie bien léchée, façon « froufrous de boubous ». Reste à savoir l'opportunité de cette production pour le peuple sénégalais.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro Magazine
Voilà une des plus belles transpositions contemporaines du mythe de Carmen, restitué dans un nouveau décor, le Sénégal d'aujourd'hui. Un cadre enchanteur : musique et danse africaines, scènes et costumes aux couleurs chatoyantes apportent un rythme et une photographie envoûtants.
L'Humanité
(...) Karmen démontre en creux que le cinéma d'un continent de la misère n'est pas voué au misérabilisme et que la pauvreté dans laquelle il s'étrangle (...) est bien économique pour cet art qui est aussi une industrie.
Le Figaroscope
N'hésitant pas à faire un crime de lèse-Bizet, le cinéaste a fait appel exclusivement pour la musique à des artistes comme le saxophoniste de jazz David Murray ou les Africains Doudou N'Diaye Rose et Julien Jougat. Du coup, les comédiens et les danseurs s'en donnent à coeur joie.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Cette désinvolture prise à l'égard de l'art lyrique marque le film du début à la fin. En détrônant l'art lyrique de sa réputation d'art suprême, il rend surtout hommage à l'art du cinéma. C'est cette transposition et ce mélange qui créent cet univers si particulier et poétique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Cette Karmen africaine n'est jamais caricaturale, elle est seulement colorée et tragique.
Aden
On retrouve ici une veine engagée qui (...) fait écho aux films radicaux de la blaxploitation des années 1970. (...) Joseph Gaï Ramaka a placé sa Karmen dans un contexte social d'une singulière actualité.
Chronic'art.com
De par le décalage exotique d'avec Bizet et grâce à ces moments vraiment singuliers de comédie musicale, le film trouve un ton unique qui en fait presque l'unique raison d'être.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) atmosphère irréelle d'une tragédie musicale, fiévreuse et colorée dans ses meilleurs moments, et parfois, agaçante et naïve.
Les Echos
Entre kitsch, folklore et authentique puissance, elle (Carmen) hésite. Le spectateur aussi, parfois laissé en route, car le scénario accumule ellipses et maladresses, parfois fasciné par l'altière beauté et la sensualité de l'interprète principale, Jeïnaba Diop Gaï. La musique, intense, prenante, sauve l'ensemble.
Libération
Joseph Gaï Ramaka utilise le free jazz de David Muray (...). Scandée, pulsionnelle, l'élévation de Murray contamine le film, emportant Karmen vers quelque chose qui finit vraiment par ressembler à une incantation noire, la musique proposant au film de troquer le carcan du récit au profit de quelque chose de libre, de gracieux.
Télérama
Les plages du film dédiées à la musique, à la danse et au corps sont les plus convaincantes. Hélas, le reste (dialogues, direction d'acteurs, conduite du récit) n'est vraiment pas à la hauteur.
Le Monde
Car si la musique de cette Karmen est audible, le film, lui, est à peine visible, démantibulé par les incohérences de la mise en scène et du scénario, par la peine qu'ont les comédiens à construire des personnages.
Les Inrockuptibles
(...) un film confus, peinant à trouver ses marques dans la ligne musicale jazzy qu'il choisit de suivre : il en épouse les flottements et les changements de ton sans pour autant s'imprégner de la transe nécessaire à ce drame passionnel.
Première
On pourra jouir de la beauté de l'héroïne, de l'énergie à revendre des scènes de danse et de volupté. Ou s'irriter de la photographie bien léchée, façon « froufrous de boubous ». Reste à savoir l'opportunité de cette production pour le peuple sénégalais.