Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'action réduite à sa plus simple expression (le sacrifice), aidée par l'immense talent de la cinéaste à filmer le moindre pas décisif comme une tragédie (Ford descendant dans la pièce maudite), fait de K-19 une oeuvre à la fois singulière et terriblement éprouvante, dans la tradition d'une efficacité walshienne et simultanément dans ses marges, aux limites d'un basculement terminal. Soit le spectacle hollywoodien de la guerre retourné comme un gant, qui subitement révulse et terrifie.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Malgré quelques baisses de rythme (...), on ne s'ennuie pas dans le dédale du sous-marin, et l'impression de déjà-vu s'efface derrière l'habileté de la réalisatrice qui a l'art de placer le conflit psychologique (l'autorité est-elle une forme de retour au schéma familial ?) sur le même plan que l'exploit physique.
Bien plus substantiel que prévu, K-19 est un faux film d'action sur un faux sujet de divertissement. C'est au contraire un film humain, touchant et éprouvant dont le seul défaut serait certainement son manque de fluidité. Mais Kathryn Bigelow est une cinéaste si audacieuse (et si mignonne) qu'on lui pardonne volontiers l'inégalité de son K-19, par ailleurs tout à fait fréquentable.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
C'est mitigés que l'on sort de l'énorme submersible. Heureux d'y avoir vécu de grands moments d'action, mais déçus de l'avoir vu sombrer comme le Titanic.
Bigelow, qui a toujours placé la barre très haut (...) s'en sort aussi honorablement que possible. (...) En revanche, Bigelow fait trop confiance à un scénariste qui ne connaît pas les vertus de l'allusion. Ses dialogues explicites sont parfois embarassants et il n'hésite pas à les répéter.
La critique complète est disponible sur le site Première
A croire qu'au contact d'un tel sujet, les scénaristes américains se sont crus obligés de penser à des choses sans importance, en se prenant pour des fonctionnements zélés de l'ancienne URSS.
En tout cas, Kathryn Bigelow est une bien ridicule Don Quichotte qui arrive après la bagarre, et confie des rôles de Russes caricaturaux à des acteurs américains (Harrison Ford en tête), qui croient suffisant de rouler les " r " pour donner le change.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Au bout du compte, le spectateur ne peut que perdre patience. Lorsque le commandant du sous-marin (Harrison Ford), présenté comme un pur et dur marxiste-léniniste, lance à ses hommes un pathétique "God bless you", on n'est pas sûr que ce soit ironique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce dernier (Harrison Ford), accessoirement producteur du film vaseux à l'affiche, joue intensément un abruti de tueur en série russe galonné (Vostrikov). Que la réalisatrice phare de Strange Days (95, après le dense Point Break 91) prend, et entend visiblement faire prendre, pour un héros. Il faut peut-être consulter, madame.
D'autant que ce suspense propagandiste (...) enfile pesamment tous les clichés du genre, sans que jamais sa réalisatrice n'y imprime une once de personnalité...
Chronic'art.com
L'action réduite à sa plus simple expression (le sacrifice), aidée par l'immense talent de la cinéaste à filmer le moindre pas décisif comme une tragédie (Ford descendant dans la pièce maudite), fait de K-19 une oeuvre à la fois singulière et terriblement éprouvante, dans la tradition d'une efficacité walshienne et simultanément dans ses marges, aux limites d'un basculement terminal. Soit le spectacle hollywoodien de la guerre retourné comme un gant, qui subitement révulse et terrifie.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Cette histoire vraie méritait d'être racontée, et Kathryn Bigelow le fait avec beaucoup d'intelligence et de coeur.
Mad Movies
Un vrai grand film, noble, douloureux et remuant, doublé d'une résurrection flamboyante pour sa réalisatrice (...). Un authentique coup de maître.
Aden
Malgré quelques baisses de rythme (...), on ne s'ennuie pas dans le dédale du sous-marin, et l'impression de déjà-vu s'efface derrière l'habileté de la réalisatrice qui a l'art de placer le conflit psychologique (l'autorité est-elle une forme de retour au schéma familial ?) sur le même plan que l'exploit physique.
Le Parisien
Un suspense terrifiant qui pparaîtra juste un peu long à ceux qui souffrent de claustrophobie.
Télérama
Un bon film de sous-marin rend toujours claustro. Dans le genre, celui-là n'est pas mal, d'autant qu'il varie le catalogue des figures imposées.
Cine Libre
Bien plus substantiel que prévu, K-19 est un faux film d'action sur un faux sujet de divertissement. C'est au contraire un film humain, touchant et éprouvant dont le seul défaut serait certainement son manque de fluidité. Mais Kathryn Bigelow est une cinéaste si audacieuse (et si mignonne) qu'on lui pardonne volontiers l'inégalité de son K-19, par ailleurs tout à fait fréquentable.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Nouvelle incursion dans un genre ingrat : le film de sous-marin antisoviétique. Très pro, mais rébarbatif et has-been.
MCinéma.com
C'est mitigés que l'on sort de l'énorme submersible. Heureux d'y avoir vécu de grands moments d'action, mais déçus de l'avoir vu sombrer comme le Titanic.
Première
Bigelow, qui a toujours placé la barre très haut (...) s'en sort aussi honorablement que possible. (...) En revanche, Bigelow fait trop confiance à un scénariste qui ne connaît pas les vertus de l'allusion. Ses dialogues explicites sont parfois embarassants et il n'hésite pas à les répéter.
TéléCinéObs
Plus intéressant sur le plan historique que dramatique, le film échoue à installer une véritable tension.
Cahiers du Cinéma
A croire qu'au contact d'un tel sujet, les scénaristes américains se sont crus obligés de penser à des choses sans importance, en se prenant pour des fonctionnements zélés de l'ancienne URSS.
L'Humanité
En tout cas, Kathryn Bigelow est une bien ridicule Don Quichotte qui arrive après la bagarre, et confie des rôles de Russes caricaturaux à des acteurs américains (Harrison Ford en tête), qui croient suffisant de rouler les " r " pour donner le change.
Le Monde
Au bout du compte, le spectateur ne peut que perdre patience. Lorsque le commandant du sous-marin (Harrison Ford), présenté comme un pur et dur marxiste-léniniste, lance à ses hommes un pathétique "God bless you", on n'est pas sûr que ce soit ironique.
Libération
Ce dernier (Harrison Ford), accessoirement producteur du film vaseux à l'affiche, joue intensément un abruti de tueur en série russe galonné (Vostrikov). Que la réalisatrice phare de Strange Days (95, après le dense Point Break 91) prend, et entend visiblement faire prendre, pour un héros. Il faut peut-être consulter, madame.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
D'autant que ce suspense propagandiste (...) enfile pesamment tous les clichés du genre, sans que jamais sa réalisatrice n'y imprime une once de personnalité...