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    Incroyable mais vrai
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    BUFFALO BILL
    BUFFALO BILL

    2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2023
    Les thèmes du film sont bien choisis, le perfectionnisme, et l’obsession,et ils font ici honneur au 7ème art. Un film court, mais assez long pour dire ce qu’ il a à dire, bref, un bon moment.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 184 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2023
    « Incroyable mais vrai », Quentin Dupieux enchaîne les films sans jamais décevoir dans un registre dont il est aujourd’hui en France quasiment le seul dépositaire. Celui de l’humour nonsensique teinté de fantastique qui en sous-texte dresse un constat lucide et assez déconcertant voire déprimant de la présence humaine sur Terre. Depuis « Rubber » (2010), son deuxième long métrage américain, qui voyait un pneu s’animer après avoir été abandonné comme tous ses congénères dans une décharge après de bons et loyaux services à rouler sur l’asphalte brûlant du désert californien et devenir un tueur en série pour finir par lever une petite armée de pneus en colère se dirigeant sur Hollywood, Quentin Dupieux, derrière son humour potache souvent lunaire, interroge l’homme sur ses contradictions consubstantielles aux conséquences gravissimes qui s’il n’y prend garde le mèneront dans une impasse tragique sur laquelle il semble malheureusement déjà bien engagé. « Incroyable mais vrai » qui lui permet de retrouver Alain Chabat, déjà présent sur le très jouissif « Réalité » (2015), accompagné de Léa Drucker, Benoît Magimel et Anaïs Démoustier, s’avère en surplomb de son postulat de départ complétement déjanté, être un cri d’alarme invitant l’homme à renoncer à sa volonté insatiable de vouloir dépasser sa condition de mortel. spoiler: Un simple trou dans la cave d’un pavillon de banlieue qui débouche sur l’étage supérieur dont on sort rajeuni de trois jours à chaque fois qu’on y descend (ou qu’on y monte !!!) ajouté à une verge électronique made in Japon permettant à son propriétaire mais aussi à son épouse d’en avoir le contrôle total via son iPhone
    sont les deux arguments massue savamment et drolatiquement développés qui devraient guérir tout spectateur raisonnable du fantasme de vie éternelle et autres délires de transhumanisme conduisant à l’avènement de « homme augmenté ». Le cinéma de Dupieux sans que son auteur l’affiche clairement, s’abritant derrière la façade très séduisante d’un divertissement de haute volée est en réalité très engagé dans l’accomplissement souhaitable d’une véritable écologie, celle dont on parle mais dont personne ne veut vraiment s’occuper. Mais il est aussi celui d’un formidable raconteur d’histoires à dormir debout qui emmène ceux qui veulent s’y laisser prendre très loin dans l’absurde. Un cinéma qui mise beaucoup sur les dialogues et donc sur les acteurs. Ceux-ci d’ailleurs ne s’y trompent pas qui se précipitent devant la caméra de Dupieux pour échapper un court instant à l’indigence des scénarios actuels, contaminés par le virus Woke qui s’agrippe à tous les genres pour répandre une idéologie qui à l’insu de ceux qui la développent aura des effets dévastateurs et contraires à ce qu’ils croient défendre. Ce sur quoi le cinéma de Quentin Dupieux et de quelques rares autres, met le doigt. « Là où ça fait mal ». Il faudrait sans doute plus de Quentin Dupieux, d‘Albert Dupontel (un peu assagi ces derniers temps), de Benoît Délépine et de Gustave Kerven pour tenter de réveiller un peu les consciences chloroformées au consumérisme. En attendant ce grand jour qui n’est pas encore arrivé, quel plaisir indicible de voir Alain Chabat ébahi devant sa femme (Léa Drucker géniale), tout d’abord rétive, spoiler: descendre dans ce trou sans fond pour tenter l’impossible pari, à coup de trois jours en moins tous les jours, de redevenir une jeune fille (Roxanne Arnal) s’accomplissant dans une carrière de mannequin internationale
    . De son côté Benoît Magimel est proprement délirant en petit chef d’entreprise beauf tombé à pieds joints dans tous les pièges que le modernisme devenu fou lui tend, l’obligeant à aller au Japon au moindre défaut de son formidable engin. On ne peut conclure cette critique sans évoquer Stéphane Pezerat , acteur jusqu’alors inconnu qui est tout simplement sublime en agent immobilier vantant son pavillon de rêve au couple formé par Alain Chabat et Léa Drucker. Bravo l’artiste ! Et bonne pioche pour Quentin Dupieux qui ne doit surtout rien changer à sa façon de faire si intelligemment n’importe quoi. Ou plutôt si, faire travailler prochainement l’acteur Albert Dupontel pour lui redonner un peu de son insolence passablement affadie depuis « Au revoir là-haut » (2017).
    Thomas M.
    Thomas M.

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Casting 5 étoiles, 2 bonnes idées de court métrage (la maison et le sexe artificiel de Benoit) mais un ensemble ennuyeux. Dommage
    Fredy C.
    Fredy C.

    29 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 janvier 2023
    Ça part d'une bonne idée et un bon casting mais que c'est laborieux pour dérouler les 79 minutes.un vrai plantage abyssale dans le sentiment d'ennui que le film génère.
    Clément R
    Clément R

    15 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2023
    Quentin Dupieux nous plonge denouveau dans un scénario loufoque et absurde. On se laisse emporter sans trop savoir où l'on navigue. Ok reste finalement assez troublé et perplexe mais quand même amusé par cette satire sociale large avec en première loge : les ravages du culte de la performance et de la beauté...
    Jules Vasse
    Jules Vasse

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 janvier 2023
    Une zigounette électronique et une détraquée qui veut perdre quelques rides. Cela vous paraît fade ou bien ridicule ? Le scénario n'ira pas plus loin. Quentin Dupieux vous prend pour des cons et ne rend pas service au comique absurde. Une gigantesque parade de fous à lier. On ne se demande même pas où il va. Car on ne comprend pas rien, il n'y a juste rien à comprendre. Le film ne dure qu'une soixante-dix minutes, j'ai pourtant regardé l'heure mon téléphone.
    Sébastien Le Gall
    Sébastien Le Gall

    10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 décembre 2022
    L'un des films les plus tarte que j'ai vu, Aucun gag accrocheur, aucun comique de situation, bref j'ai perdu 1H30 de ma vie
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 décembre 2022
    Une fois les bases posées, on assiste à un lent decrescendo stérile qui parait durer une éternité, Dupieux ne parvenant pas à capitaliser sur un postulat qui offrait pourtant de nombreuses possibilités.
    mat niro
    mat niro

    356 abonnés 1 826 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Amis de l'absurdité, bienvenue dans l'univers de Quentin Dupieux. Comme à son habitude la durée du film est courte (1h14), et on retrouve ici deux couples qui vont être mis à mal par deux inventions "originales". De là ressort des moments décapants avec un Benoît Magimel en grande forme. C'est complétement déjanté comme toujours chez Dupieux. Celui-ci propose quand même une réflexion sur le temps qui passe et la beauté qui se fane à travers le personnage de Marie (Léa Drucker). Un bon moment de divertissement pour qui aime ce genre d'humour.
    Laure D.
    Laure D.

    6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2022
    Les acteurs sont tous très bons, mais le scénario n'avance pas. Le décor est planté au bout de 15 minutes puis cela tourne en rond.
    Run
    Run

    3 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 décembre 2022
    Tout commence très bien par la partie "maison à vendre" en flashforward éclaté et la découverte du secret de la maison. Dialogues ciselés très bien rythmés. Ça s'annonce bien. Et puis la révélation du second secret du film arrive lors du repas avec les amis et la chute commence. Pas que cette seconde intrigue ne soit pas cohérente avec le positionnement du film (acceptons de vieillir et dépérir) mais elle casse ce qui aurait pu être un huis-clos intéressant en perdant du temps avec l'autre couple dont un voyage au Japon qui ruine l'unité de lieu de cette maison à la trappe mystérieuse. Le film dure 1h15, il fallait remplir pour dépasser le stade de court-métrage mais ça a été très mal fait et le film ennuie terriblement. A mon sens, il aurait été plus intéressant que l'épouse travaille au lieu d'être femme au foyer, au vu des règles "magiques" de la maison. Ainsi, au fur et à mesure des "descentes dans la trappe", on aurait pu explorer les conséquences de l'abandon de la vie réelle pour tenter de retrouver une vie rêvée idéale mais inatteignable. Imaginons que le mari ait suivi l'obsession de sa femme, quid du financement de cette quête sans fin ? Il faut travailler pour rembourser le prêt de la maison et manger, et ce voyage rend difficile cette situation. Le film n'aborde jamais cet aspect qui aurait pu etre plus interessant que l'autre intrigue de son patron et ami dont on se serait bien passé. Pareil pour la femme qui rate l'arrivée des amis parce qu'elle "voyage": et si ça se répète, quelles conséquences sur les relations sociales? Rien là dessus. Le mari Alain reste ainsi spectateur passif de la déchéance de sa femme malgré de trop rares disputes ou débats entre eux. Un film très court et pourtant beaucoup trop long avec une erreur d'intrigue parallèle, une fausse bonne idée qui ruine le propos initial ainsi mal exploité. Dommage.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    38 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    Enfin!! Pour une fois que j'aime vraiment un film de Dupieux... Celui là était très réussi, j'ai eu quelques barres de rire et c'était original, j'ai vraiment adhéré à la fin aussi. La bande son fait penser fortement à Wendy Carlos (bande son de Orange Mécanique) les scènes sans dialogues étaient très plaisantes à suivre aussi.
    RitchieGueko
    RitchieGueko

    15 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2022
    Incroyable Mais Vrai est un film réalisé par Quentin Dupieux et sorti en 2022.
    Ce métrage n'est pas qu'une pure comédie. S'inscrivant dans un univers plus réaliste que d'habitude, le cinéaste nous embarque dans une histoire loufoque à laquelle on croit, notamment grâce à l'interprétation très juste et crédible de ses acteurs principaux (le trio Alain Chabat, Léa Drucker et Benoît Magimel porte le film, Anaïs Demoustier, en raison de son rôle, est plus en retrait). Le thème du temps qui passe plane sur tout le long métrage qui jouit de moments vraiment drôles ( spoiler: le dîner à quatre où Benoît Magimel annonce qu'il s'est fait greffer une bite électronique
    ).
    Un vrai bon Dupieux très recommandable pour qui aime son cinéma.
    Baptoumba
    Baptoumba

    1 abonné 12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 décembre 2022
    Un casting réussi pour deux histoires qui avancent entre absurde et désespoir du temps qui passe.

    Magimel se trouve un personnage drôle et truculent qui lui sied à merveille !
    Pierre P.
    Pierre P.

    5 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 novembre 2022
    Comme toujours avec Quentin Dupieux, tout semble alléchant, les bandes-annonces sont piquantes, les situations irrésistibles et les acteurs fascinants et puis pour moi au cours du visionnage tout s'émousse. Incroyable mais vrai commence avec ce mélange d'inquiétude ou mieux d'inquiétante familiarité que la mise en scène décèle (les zooms, la photographie acide et terne, une sorte d'absurde ou de décalage). Et puis rapidement la fable s'évente à mesure qu'elle se précise : métaphore de notre quête de jeunisme, envie d'immortalité. Le couple devient caricaturale, les stratégies narratives grossières et l'ensemble a fini par m'ennuyer. (c'était déjà le cas pour Réalité, Au Poste et le Daim)...
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