AlloCiné
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Votre avis sur Incroyable mais vrai ?
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Vraiment pas terrible… on rit (un peu) les 10 premières minutes et après on s’ennuie (beaucoup). Scénario lent, improbable, les répliques sont lentes et ne s’enchaînent pas rapidement entre les acteurs, on s’ennuie… ah oui j’oubliais les clichés sexistes…
je viens de lire les critiques et je ne retrouve pas ce que moi j ai ressenti en regardant ce film. J ai trouvé beaucoup d exagération dans les critiques et peut-être une certaine méchanceté. Je ne suis pas un cinéphile de haut vol et je ne jure pas que par Télérama. Non, j aime le cinéma pour ce qu il me procure de plaisir, de peur, d intérêt, de rêve, d information, de réflexion, ...Eh bien moi, il m a plu..Je n aurai pas les mots de spécialistes érudits dans ke domaine du cinéma, je parlerai seulement de mon ressenti. Je ne connaissais même pas le réalisateur, c est vous dire...l absurde, qu'est ce que c est ? la vie elle même n est elle pas absurde ? Comment peut-on vivre heureux en pensant que nous sommes mortels et que nous partirons vraisemblablement de ce monde dans la souffrance et la déchéance ?
J ai trouvé Alain Chabat très bien et j ai cru en son personnage. Idem pour Léa Drucker qui phantasme sur la peur de vieillir et qui trouve là un espoir fou dans une possibilité de lutter contre le temps. Sans spolier la suite je l espère, elle le paiera cher. J ai aimé aussi les deux autres acteurs en particulier l homme bionic dont je ne retrouve pas le nom.
Bref, j ai passé un bon moment. Point.
J ai trouvé Alain Chabat très bien et j ai cru en son personnage. Idem pour Léa Drucker qui phantasme sur la peur de vieillir et qui trouve là un espoir fou dans une possibilité de lutter contre le temps. Sans spolier la suite je l espère, elle le paiera cher. J ai aimé aussi les deux autres acteurs en particulier l homme bionic dont je ne retrouve pas le nom.
Bref, j ai passé un bon moment. Point.
J’avais vu dans l’émission « Quotidien » la présentation de ce film qui m’avait donné envie d’aller le voir. Le scénario est bien ficelé, quelques répliques sont comiques, les acteurs sont bons mais mon intérêt s’est estompé au bout d’une quarantaine de minutes. Ce n’est pas un chef d’œuvre mais j’ai passé globalement un bon moment dans ce cinéma REX de Blagnac.
Artriste
Pour son dixième long-métrage, Quentin Dupieux réalise avec Incroyable Mais Vrai une de ses œuvres les moins réussies. L'histoire nous fait suivre un couple venant d'acheter une maison dans laquelle se trouve un conduit provoquant des effets étranges. Ce synopsis comme souvent prometteur sur le papier avec le cinéaste, ne l'est malheureusement pas dans les faits. On se rend vite compte des limites de ce scénario bancal qui se dévoile un peu trop facilement même s'il essaye tout de même d'attiser la curiosité malgré une révélation pas à la hauteur. Seulement tout cela est très mal exploité, ça ne raconte pas grand-chose et le sujet principal se voit éclipsé par un autre très en dessous de la ceinture. Résultat, on s'ennuie ferme car cette intrigue ne décolle jamais et malgré sa durée d'à peine une heure et quart, l'ensemble paraît très long. Heureusement, les personnages sont tout de même appréciables, bien que peu attachants, mais le casting agréable parvient à les rendre tout de même sympathiques. On retrouve à la distribution Alain Chabat, Léa Drucker, Benoît Magimel, Anaïs Demoustier et Stéphane Perezat. L'alchimie fonctionne bien entre tous ces comédiens grâce à des dialogues de bonne facture provocants quelques sourires. Cependant, le tout manque de rires ou d'autres émotions. Hélas la forme n'est pas beaucoup mieux que le fond puisque Quentin Dupieux nous offre une réalisation très minimaliste, à la photographie terne et floue. C'est esthétiquement très en deçà des standards de l'artiste ce qui étonne franchement, comme le montage vraiment pas pertinent. Même les décors sont peu inspirés, à l'image de la maison qui aurait dû être un personnage à part entière mais qui ne dégage aucun charme et dont on ne tire pas profit. Contrairement à la b.o. électro très présente et agréable donnant une certaine ambiance à cet univers qui en manque cruellement. Tout ce non-sens se conclut sur une fin totalement ratée et dépourvue d'idées, à l'instar de la globalité de ce récit bien trop faible, faisant d'Incroyable Mais Vrai un film dont on ressort en se sentant floués.
Quand je découvre un film de Quentin Dupieux, je peux m'attendre à que je rigole du début à la fin et cette fois avec ce "Incroyable mais vrai" j'ai moins ri que "Mandibules" du Palmashow malgrés quelques bons scènes comiques. Certes le coté mystérieux de l'histoire fonctionne bien mais on s'y perd à la fin du film. C'est pas le meilleur Quentin Dupieux mais les acteurs ( dont Alain Chabat) sauve ce film.
Un Dupieux raté et misogyne. Un moyen métrage qui tente par un truchement de tirer vers le long. Dommage car les comédiens sont bons même si ils n'y croient pas du tout.
pierrre s.
Quentin Dupieux reste dans la veine de ses précédents films. L'absurde est donc au rendez-vous. Pas son meilleur tout de même.
Sympa . C'est le premier film de Dupieux que je vois mais franchement j'aime bien le coté décalé qui va bien avec Chabat. Un bon moment , on se prend pas la tête mais ce n'est pas creux: on peut y voir du sens... si on veut. Evidemment ça change des films hollywoodiens et des films français qui souvent se ressemblent. Allez y : l'originalité est bonne à prendre dans un monde cinématographique très normé.
Beaucoup de plaisir pris en voyant ce court film (1h15) assez déjanté et plutôt réussi: c'est une comédie originale sur un ton décalé, avec un humour absurde qui fonctionne très bien.
Alain Chabat y est excellent, tout comme Benoît Magimel et Anaïs Demoustier, un pur plaisir! Le personnage de Léa Drucker est plus difficile à apprécier à cause de son coté exaspérant: il donne une image très déplorable de la femme dont le seul but serait l'apparence physique avec le rêve ultime de devenir mannequin. On peut y voir une critique du jeunisme bien sûr et plus globalement de la vanité et du souci narcissique. Le personnage d'Alain Chabat est assez attachant car c'est vraiment le seul qui garde les pieds sur terre dans cette histoire.
Le film tient la route et fonctionne bien pendant 1 heure mais il perd hélas de son intensité dans le dernier quart d'heure, on sent que le réalisateur ne savait pas trop comment terminer son film...
Alain Chabat y est excellent, tout comme Benoît Magimel et Anaïs Demoustier, un pur plaisir! Le personnage de Léa Drucker est plus difficile à apprécier à cause de son coté exaspérant: il donne une image très déplorable de la femme dont le seul but serait l'apparence physique avec le rêve ultime de devenir mannequin. On peut y voir une critique du jeunisme bien sûr et plus globalement de la vanité et du souci narcissique. Le personnage d'Alain Chabat est assez attachant car c'est vraiment le seul qui garde les pieds sur terre dans cette histoire.
Le film tient la route et fonctionne bien pendant 1 heure mais il perd hélas de son intensité dans le dernier quart d'heure, on sent que le réalisateur ne savait pas trop comment terminer son film...
ce film es drôle, avec de la SF plutôt bien métriser ,avec l'histoire d'un trape temporelle ce film est bien a regarder en famille les 1h 15 tu les vois pas venir
Je trouve que ça ressemble à une fable.
Une fable contemporaine.
J'adhere total à son idée.
Ce réalisateur est un artiste, c'est une œuvre d'art.
D'une originalité totale.
On peut, bien sûr, s'ennuyer et ne rien comprendre.
Et c'est divinement joué !
Une fable contemporaine.
J'adhere total à son idée.
Ce réalisateur est un artiste, c'est une œuvre d'art.
D'une originalité totale.
On peut, bien sûr, s'ennuyer et ne rien comprendre.
Et c'est divinement joué !
Dupieux n'est pas tout seul dans sa tête. Je veux dire, à quel moment quelqu'un de "normal" (qui rentre dans la norme) peut penser à un scénario aussi fou ? Véritable OVNI dans le cinéma français, faisant fi des règles établies, il ne s'autorise aucune limite. On qualifie son cinéma d'absurde, et pourtant, tout est calibré aux petits oignons. Il aime l'image, il aime ses acteurs, et il aime développer un pitch d'une phrase en 1h40, et autant le daim m'avait laissé sur ma faim, autant ce nouveau projet est hallucinogène à souhait. Chabat est magistral, Drucker hallucinante, et Magimel ... mais diantre, Magimel, en totale roue libre comme on aimerait le voir plus souvent.
Les films de Dupieux sont avant tout une récréation de l'esprit. Avec néanmoins de réels messages sociétaux.
Mention spéciale aux passages "muets", une véritable réussite dans les plans, le rythme et la folie.
Bref, qu'on aime ou non le cinéma de Dupieux, il mérite votre attention, histoire de voir autre chose que les comédies "à la française" (sans citer aucun nom, mais par exemple, commençant par CAM et finissant pas PING).
Les films de Dupieux sont avant tout une récréation de l'esprit. Avec néanmoins de réels messages sociétaux.
Mention spéciale aux passages "muets", une véritable réussite dans les plans, le rythme et la folie.
Bref, qu'on aime ou non le cinéma de Dupieux, il mérite votre attention, histoire de voir autre chose que les comédies "à la française" (sans citer aucun nom, mais par exemple, commençant par CAM et finissant pas PING).
Incroyable mais j'ai trouver ça insipide. Je m'attendais à de la folie, du bizarre, qui dénonce quelque chose, de la nouveauté et je n'ai rien eu du tout. A part quelques dialogues très 'terre à terre'. L'image semblait floutté, les couleurs grises, le décor inintéressant. Les acteurs sont bon .. mais à quoi bon! Avec cette trappe mystérieuse on s'enfonce vite dans du long et répétitif qui font que 1h14 en paraît 8h!
Quentin Dupieux est de retour avec un film cette fois-ci plus conforme à son trait habituel. Moins comédie populaire que Mandibules, pas aussi méta que Réalité, Incroyable Mais Vrai est une curiosité pas si inattendue.
Dupieux aurait-il trouvé sa formule ? Sa patte, on la connaît, une image solaire et des décors périurbains tirant tous deux vers un américanisme décalé, mais aussi et surtout un art de manier l’absurde, le “non-sens”, comme il le désigne lui-même. Ce quelque chose qui vient faire travailler notre instinct logique, qui vient jouer avec notre propension à toujours vouloir trouver une cohérence. Dès ses premiers films (même courts) se faisait sentir cette exploration des possibilités amenées par l’auto-réflexion filmique et par des récits affranchis de toutes règles narratives. Son point culminant étant Réalité, une exploration du rêve de la classe moyenne, avec cette propension à faire rire du malaise ressenti face à l’incompréhension, qui se transformait en une sorte de malaise existentiel. (lire la suite : cultureauxtrousses.com)
Dupieux aurait-il trouvé sa formule ? Sa patte, on la connaît, une image solaire et des décors périurbains tirant tous deux vers un américanisme décalé, mais aussi et surtout un art de manier l’absurde, le “non-sens”, comme il le désigne lui-même. Ce quelque chose qui vient faire travailler notre instinct logique, qui vient jouer avec notre propension à toujours vouloir trouver une cohérence. Dès ses premiers films (même courts) se faisait sentir cette exploration des possibilités amenées par l’auto-réflexion filmique et par des récits affranchis de toutes règles narratives. Son point culminant étant Réalité, une exploration du rêve de la classe moyenne, avec cette propension à faire rire du malaise ressenti face à l’incompréhension, qui se transformait en une sorte de malaise existentiel. (lire la suite : cultureauxtrousses.com)
Ce film semble être le fruit de 2 scénari qui n'ont pas aboutis. 2 idées intéressantes...il manque surtout une fin qui nous surprenne. Les acteurs sont bons, la durée aussi.
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