Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
Que les inconditionnels de Quentin Dupieux se rassurent, le sale gosse du cinéma français ne s’est pas assagi et continue de casser ses jouets. La morale (amorale) en accéléré de ce film qui ose tout, forme et fond, ressemble à un réjouissant feu de joie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Voici
par La Rédaction
Une fable existentielle surréaliste, doublée, en filigrane, d'une satire sociale sur la vanité qui mène à la folie.
20 Minutes
par Caroline Vié
Incroyable mais vrai témoigne de l’esprit bouillonnant de son auteur. Voyage dans le temps et technologie japonaise un peu particulière sont au menu d’une comédie foutraque et réjouissante, capable de faire autant de bien au moral qu’aux zygomatiques.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Michel Cieutat
Deux couples sont confrontés l’un à une acquisition immobilière surréaliste et l’autre à une invention technologique inimaginable… et pourtant toutes deux cinématographiquement vraisemblables !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par Chloé Ronchin
Le cinéaste signe une fable déjantée et nostalgique, à la fois ancrée dans la réalité et absurde, comme à son habitude, où tout sonne juste.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Telle est la beauté singulière d’Incroyable mais vrai : non pas investir les codes bourgeois et conjugaux sur un mode satirique ou sociologique, mais toujours de manière plastique, sur le plan des figures, comme une esthétique, un mode de perception, dont l’attrait repose sur des impasses, des dérèglements ou des cécités.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
On a connu Quentin Dupieux plus dingo, plus rigolo, puis fou (...). Incroyable mais vrai sort de sa ligne de pure comédie, fantastique ; le cinéaste glisse vers la critique sociale, doublée d’un drame existentiel. Son récit est traversé par une indéfinissable tristesse, des personnages à la dérive, insatisfaits de leur vie.
Elle
par Françoise Delbecq
Une comédie déjantée, efficace, incroyable et vraie.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Quentin Dupieux sait tordre le cou aux conventions, doser le surréalisme et trousser des dialogues improbables.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Surréaliste, teinté d’absurde, Incroyable mais vrai enchantera les amateurs de paraboles fantastiques. Il renoue avec les contes moraux de la tradition littéraire, dans une actualisation toute contemporaine. Magique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Sans doute un Quentin Dupieux parmi les plus accessibles, toujours aussi concis, à rapprocher de son Réalité avec le même Alain Chabat (2014). Au final, on aura bien rigolé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Quentin Dupieux entre à son tour dans le tunnel du temps. Il en ressort avec un film délavé, à l’esthétique vintage, patine eighties jusque dans le vestiaire et la coiffure des personnages, résurrection d’un vinyle de 1976 en motif musical, Jon Santo plays Bach, aux synthés old school.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Pour sa nouvelle comédie, Quentin Dupieux livre une fable rapide et rusée. Il réussit une nouvelle fois à jouer intelligemment avec l’étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Trou béant et verge artificielle se combinent à loisir pour tracer un tableau ubuesque de l’imaginaire pavillonnaire, aussi fruste qu’étroit du bulbe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Un film délicieusement barré qui devrait élargir le public de Quentin Dupieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Dans le registre du drame fantastique, Quentin Dupieux cite ses maîtres et observe notre drôle d'époque, mi-amusé, mi-largué. Et à la fin, on a bien ri.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Loin du gimmick, proche de l’effroi dialectique, le nouveau film de Quentin Dupieux emploie l’habituelle étrange rigueur du cinéaste, mais l’habille d’une surprenante noirceur dissertative, entre le cauchemar gothique et l’ambigu plongeon farcesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Dans Incroyable mais vrai, il y a certes un MacGuffin paranormal, mais ce que l’on remarque le plus – et c’est sans doute la première fois dans la filmographie de Dupieux –, c’est cette normalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marie Klock
C’est un plaisir de voir Dupieux se couler presque docilement dans des formes éprouvées. Dans cet exercice ô combien périlleux de comédie sur les crises de couple, il est épatant de justesse et parvient pour la première fois à quelque chose qu’on n’attendait plus de lui : nous émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec ce quatuor grotesque, Quentin Dupieux concocte une histoire inventive qui ne s’interdit aucune bifurcation surréaliste et cloue au pilori avec un sourire sardonique le culte du jeunisme, l’obsession de la performance et les accidents parfois (très) douloureux provoqués par la « modernité » numérique. Un amusant spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Une comédie réjouissante mais qui n'échappe pas toujours aux stéréotypes de genre.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un hilarant « Portrait de Dorian Gray » sur l’inévitable putréfaction (des corps, du couple...) et la nécessité de recourir à l’imagination.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une formidable comédie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Incroyable mais vrai est une petite fable philosophique drôle et mélancolique, dont Dupieux survole malheureusement trop les beaux enjeux pour réussir à livrer un film abouti.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Drôle et subtil.
L'Obs
par Nicolas Schaller
« Incroyable mais vrai » s’amuse de la routine du couple, de la peur de vieillir, du jeunisme et de ses injonctions performatives : fraîcheur chez les femmes, virilité chez les hommes. Avec une Léa Drucker fatiguée et une Anaïs Demoustier à voix de crécelle, une fois de plus parfaites, un Chabat bon esprit et un Magimel exceptionnel (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Quentin Dupieux mêle normalité et absurde, réalisme et burlesque, pour sonder avec acuité sous des dehors potaches les obsessions jeunistes et virilistes de notre société. La farce teintée de mélancolie tourne doucement au cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Quentin Dupieux continue de décliner sa fantaisie bien à lui, drôle de mélange d’absurdité et d’humour décalé.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par Gilles Esposito
S'éloignant du ton agressif de ses films les plus malpolis, Dupieux finit par livrer une méditation sur l'acceptation sereine de la vieillesse.
Positif
par Yann Tobin
Dommage que l’élan du film ne tienne pas la distance, même sur sa courte heure et quart : il aurait peut-être fait un moyen métrage plus percutant, car l’une de ses vertus comiques est le raccourcissement des effets de redondance par l’ellipse.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
En plus de stimuler nos zygomatiques, le cinéaste amorce une réflexion sur l’usure du couple, le fantasme d’une jeunesse éternelle. Dommage que la fin soit aussi abrupte et frustrante.
Télé Loisirs
par Claire Picard
On se laisse dériver avec plaisir dans l'univers absurde de Quentin Dupieux, le maître du conte surréaliste, avec ce sentiment rare et agréable de ne pas savoir où le récit peut aller.
Critikat.com
par Josué Morel
Si l’on peut s’étonner que Dupieux signe un film aussi textuel (c’est bien la première fois), la paresse d’exécution dont il témoigne commence hélas en revanche à devenir une habitude.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Adam Sanchez
On apprécie qu'Incroyable mais vrai soit un objet de cinéma aussi compact (moins d'une heure quinze au compteur), résolument étrange et remarquablement dirigé, mais l'impression qu'il laisse est celle d'un film au mieux mineur, au pire artificiel, qui ennuie plus qu'il ne dérange par son absence de direction.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Film après film, Quentin Dupieux poursuit son travail, toujours selon la même méthode : broder une histoire autour d'une petite trouvaille de scénario, ici une faille spatio-temporelle, et tisser un cinéma aussi astucieux que superficiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Si le film est fidèle à l’univers de Quentin Dupieux, la drôlerie est inégale et le récit pâtit d’un certain manque de rythme. Mais les interprètes sont irrésistibles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
par Thomas Baurez
Incroyable mais vrai est une galerie de personnages binaires, avec un humour qui s'essouffle rapidement.
Première
par Thomas Baurez
En multipliant ainsi les possibilités de son idée-concept, Dupieux n’est soudain plus à la hauteur et l’aspect pseudo-cool de son cinéma se retrouve soudain mis à nu pour n’en révéler que la part grossière.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Que les inconditionnels de Quentin Dupieux se rassurent, le sale gosse du cinéma français ne s’est pas assagi et continue de casser ses jouets. La morale (amorale) en accéléré de ce film qui ose tout, forme et fond, ressemble à un réjouissant feu de joie.
Voici
Une fable existentielle surréaliste, doublée, en filigrane, d'une satire sociale sur la vanité qui mène à la folie.
20 Minutes
Incroyable mais vrai témoigne de l’esprit bouillonnant de son auteur. Voyage dans le temps et technologie japonaise un peu particulière sont au menu d’une comédie foutraque et réjouissante, capable de faire autant de bien au moral qu’aux zygomatiques.
Bande à part
Deux couples sont confrontés l’un à une acquisition immobilière surréaliste et l’autre à une invention technologique inimaginable… et pourtant toutes deux cinématographiquement vraisemblables !
CNews
Le cinéaste signe une fable déjantée et nostalgique, à la fois ancrée dans la réalité et absurde, comme à son habitude, où tout sonne juste.
Cahiers du Cinéma
Telle est la beauté singulière d’Incroyable mais vrai : non pas investir les codes bourgeois et conjugaux sur un mode satirique ou sociologique, mais toujours de manière plastique, sur le plan des figures, comme une esthétique, un mode de perception, dont l’attrait repose sur des impasses, des dérèglements ou des cécités.
Dernières Nouvelles d'Alsace
On a connu Quentin Dupieux plus dingo, plus rigolo, puis fou (...). Incroyable mais vrai sort de sa ligne de pure comédie, fantastique ; le cinéaste glisse vers la critique sociale, doublée d’un drame existentiel. Son récit est traversé par une indéfinissable tristesse, des personnages à la dérive, insatisfaits de leur vie.
Elle
Une comédie déjantée, efficace, incroyable et vraie.
Femme Actuelle
Quentin Dupieux sait tordre le cou aux conventions, doser le surréalisme et trousser des dialogues improbables.
Franceinfo Culture
Surréaliste, teinté d’absurde, Incroyable mais vrai enchantera les amateurs de paraboles fantastiques. Il renoue avec les contes moraux de la tradition littéraire, dans une actualisation toute contemporaine. Magique.
La Voix du Nord
Sans doute un Quentin Dupieux parmi les plus accessibles, toujours aussi concis, à rapprocher de son Réalité avec le même Alain Chabat (2014). Au final, on aura bien rigolé.
Le Dauphiné Libéré
Quentin Dupieux entre à son tour dans le tunnel du temps. Il en ressort avec un film délavé, à l’esthétique vintage, patine eighties jusque dans le vestiaire et la coiffure des personnages, résurrection d’un vinyle de 1976 en motif musical, Jon Santo plays Bach, aux synthés old school.
Le Figaro
Pour sa nouvelle comédie, Quentin Dupieux livre une fable rapide et rusée. Il réussit une nouvelle fois à jouer intelligemment avec l’étrangeté.
Le Monde
Trou béant et verge artificielle se combinent à loisir pour tracer un tableau ubuesque de l’imaginaire pavillonnaire, aussi fruste qu’étroit du bulbe.
Le Parisien
Un film délicieusement barré qui devrait élargir le public de Quentin Dupieux.
Le Point
Dans le registre du drame fantastique, Quentin Dupieux cite ses maîtres et observe notre drôle d'époque, mi-amusé, mi-largué. Et à la fin, on a bien ri.
Les Fiches du Cinéma
Loin du gimmick, proche de l’effroi dialectique, le nouveau film de Quentin Dupieux emploie l’habituelle étrange rigueur du cinéaste, mais l’habille d’une surprenante noirceur dissertative, entre le cauchemar gothique et l’ambigu plongeon farcesque.
Les Inrockuptibles
Dans Incroyable mais vrai, il y a certes un MacGuffin paranormal, mais ce que l’on remarque le plus – et c’est sans doute la première fois dans la filmographie de Dupieux –, c’est cette normalité.
Libération
C’est un plaisir de voir Dupieux se couler presque docilement dans des formes éprouvées. Dans cet exercice ô combien périlleux de comédie sur les crises de couple, il est épatant de justesse et parvient pour la première fois à quelque chose qu’on n’attendait plus de lui : nous émouvoir.
Marianne
Avec ce quatuor grotesque, Quentin Dupieux concocte une histoire inventive qui ne s’interdit aucune bifurcation surréaliste et cloue au pilori avec un sourire sardonique le culte du jeunisme, l’obsession de la performance et les accidents parfois (très) douloureux provoqués par la « modernité » numérique. Un amusant spectacle.
Marie Claire
Une comédie réjouissante mais qui n'échappe pas toujours aux stéréotypes de genre.
Paris Match
Un hilarant « Portrait de Dorian Gray » sur l’inévitable putréfaction (des corps, du couple...) et la nécessité de recourir à l’imagination.
Sud Ouest
Une formidable comédie.
Ecran Large
Incroyable mais vrai est une petite fable philosophique drôle et mélancolique, dont Dupieux survole malheureusement trop les beaux enjeux pour réussir à livrer un film abouti.
L'Ecran Fantastique
Drôle et subtil.
L'Obs
« Incroyable mais vrai » s’amuse de la routine du couple, de la peur de vieillir, du jeunisme et de ses injonctions performatives : fraîcheur chez les femmes, virilité chez les hommes. Avec une Léa Drucker fatiguée et une Anaïs Demoustier à voix de crécelle, une fois de plus parfaites, un Chabat bon esprit et un Magimel exceptionnel (...).
La Croix
Quentin Dupieux mêle normalité et absurde, réalisme et burlesque, pour sonder avec acuité sous des dehors potaches les obsessions jeunistes et virilistes de notre société. La farce teintée de mélancolie tourne doucement au cauchemar.
Le Journal du Dimanche
Quentin Dupieux continue de décliner sa fantaisie bien à lui, drôle de mélange d’absurdité et d’humour décalé.
Mad Movies
S'éloignant du ton agressif de ses films les plus malpolis, Dupieux finit par livrer une méditation sur l'acceptation sereine de la vieillesse.
Positif
Dommage que l’élan du film ne tienne pas la distance, même sur sa courte heure et quart : il aurait peut-être fait un moyen métrage plus percutant, car l’une de ses vertus comiques est le raccourcissement des effets de redondance par l’ellipse.
Télé 7 Jours
En plus de stimuler nos zygomatiques, le cinéaste amorce une réflexion sur l’usure du couple, le fantasme d’une jeunesse éternelle. Dommage que la fin soit aussi abrupte et frustrante.
Télé Loisirs
On se laisse dériver avec plaisir dans l'univers absurde de Quentin Dupieux, le maître du conte surréaliste, avec ce sentiment rare et agréable de ne pas savoir où le récit peut aller.
Critikat.com
Si l’on peut s’étonner que Dupieux signe un film aussi textuel (c’est bien la première fois), la paresse d’exécution dont il témoigne commence hélas en revanche à devenir une habitude.
GQ
On apprécie qu'Incroyable mais vrai soit un objet de cinéma aussi compact (moins d'une heure quinze au compteur), résolument étrange et remarquablement dirigé, mais l'impression qu'il laisse est celle d'un film au mieux mineur, au pire artificiel, qui ennuie plus qu'il ne dérange par son absence de direction.
Les Echos
Film après film, Quentin Dupieux poursuit son travail, toujours selon la même méthode : broder une histoire autour d'une petite trouvaille de scénario, ici une faille spatio-temporelle, et tisser un cinéma aussi astucieux que superficiel.
aVoir-aLire.com
Si le film est fidèle à l’univers de Quentin Dupieux, la drôlerie est inégale et le récit pâtit d’un certain manque de rythme. Mais les interprètes sont irrésistibles.
Ouest France
Incroyable mais vrai est une galerie de personnages binaires, avec un humour qui s'essouffle rapidement.
Première
En multipliant ainsi les possibilités de son idée-concept, Dupieux n’est soudain plus à la hauteur et l’aspect pseudo-cool de son cinéma se retrouve soudain mis à nu pour n’en révéler que la part grossière.