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    Malcolm & Marie
    Note moyenne
    3,8
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    97 critiques spectateurs

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    Leonce J
    Leonce J

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2021
    Film qui a été tourné durant le premier confinement, on suit l'histoire de Malcolm et Marie, un jeune couple américain qui après la projection en avant-première du dernier film de Malcolm (qui est un franc succès) rentre à leur domicile où une dispute va éclater …
    Malcolm & Marie est avant tout porté par deux talents : Zendaya (ancienne star de Disney, lauréate du Emmy Award 2020 pour sa performance époustouflante de Rue dans Euphoria) et John David Washington (révélé dans BlacKkKlansman (Spike Lee) et qui cartonné avec Tenet le blockbuster de l'année 2020)
    Ces deux acteurs sont excellent dans leurs rôles respectifs (Zendaya est vraiment splendide, la scène du couteau j’étais bluffé et J-D Whashigton m’a vraiment marqué à certains moments). J’étais émerveillé par leur jeu d’acteur c’est plein d’émotion et puissant.
    Derrière la camera on retrouve Sam Levinson le créateur de la série Euphoria qui propose ici une esthétique et une image en noir et blanc sublime (la photographie 35mm) et qui a transformé la contrainte du confinement pour faire un récit où la douceur, la joie, l’amour, la colère et la tristesse s’entremêlent.
    J’ai beaucoup aimé les parties musicales dans l'ensemble, le film me rappelle beaucoup L’aurore (Sunrise: A Song of Two Humans) de Murnau et j’adore !

    Mais ma plus grosse déception vient des dialogues (c’est quand même un film assez bavard) , même si certains dialogues sont très subtils et posent de vraies questions sur : l’industrie hollywoodienne, l’hypocrisie, la toxité de l’amour, différence entre l’art et l’homme …
    Mais au bout d’une heure j’ai trouvé ça vraiment redondant (comme l’impression que Sam Levinson a voulu beaucoup trop faire).
    Le film aurait pu être plus court parce qu'un huit clos de 95min qui va dans tous les sens c'est très long quand même.

    Pour finir qu’on le veuille ou non il faut quand même remercier Netflix pour avoir eu le cran d’accepter ce genre de projet ambitieux et ce film vaut vraiment le coup d'œil, les interprétations sont touchant grâce à un duo remarquable.
    Aurélien Haie
    Aurélien Haie

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2021
    J'ai une règle très importante dans ma notation : si c'est oscarisable, alors ça vaut 5 étoiles.
    Le jeu d'acteur est impressionnant, je m'attends à les voir tous les deux nominés aux prochains oscars, c'est une performance incroyable, de pouvoir passer par toutes les émotions comme cela, de tenir des plans aussi longs avec autant de justesse. Gros travail de réalisation aussi

    J'ai été très indécis quant à ma note, j'ai hésité entre 3 étoiles et 5, car l'histoire est, il faut le dire, un peu chiante et sans intérêt. Mais ce sont vraiment les jeux d'acteurs qu'il faut retenir de ce film et quelques passages qui critiquent avec pas mal de justesse certains aspects de notre société
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 6 février 2021
    Le film a très peu d'intérêt sur cette aspect mystérieux et très ambitieux de la part de Sam Levinson. Malheureusement, 1h50 d'ennui totale, bourré de dialogues permanent sur la vie de couple. Zendaya et John David Washington font un bon duo qui surpasse tout avec une réalisation soigner mais l'histoire reste insuffisant pour faire de la perfection !
    2985
    2985

    260 abonnés 1 055 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2021
    On a déjà vu des couples s'engueuler et se déchirer sur grand écran ou l'amour s'étiole peu à peu, Les noces rebelles, Blue valentine, même La guerre des roses en plus comiques. Ici Sam Levinson film d'une manière minimaliste que ce soit dans ses plans ou le décor dans lequel se déroule ce huit-clos. Hormis sa série Euphoria j'étais pas spécialement emballé par les précédents métrage de Levinson qui n'était pas spécialement aboutie et ici le constat est à peu près semblable. Si l'approche est intéressante le petit différents qui les oppose au début ne cesse de prendre de l'ampleur ou chacun prend l'ascendant sur l'autre en ressortant des vieux dossiers et ou finalement on se rend compte que le problème qui les lie est plus profond, le film se met vite à faire du surplace en usant des même mécanique après chaque engueulades une petite accalmie ou chacun essaie de faire la paix en fumant, chantant échange de regard, le tous sur de long plans contemplatifs. Et s'en suit une nouvelle étincelle qui remet le feu aux poudres ect... Une tentative intéressante plutôt bien joué, et rythmé , le tout dans un noir et blanc impeccable mais un peu surfait et au final pas si intéressant.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    539 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 février 2021
    On ne peut pas dire que Sam Levinson a choisi la facilité avec Malcolm & Marie. Huis-clos, deux personnages, noir et blanc et un pitch aussi exaltant que téméraire (un couple en passe d'imploser). Radical, oui c'est le mot. Ah oui, il faut aussi préciser que le film a été tourné pendant le confinement. Un sacré casse-tête logistique certes (12 personnes maximum dans la maison servant de décor), mais finalement on ne peut plus adéquat à la situation. Si le cinéma a bien un pouvoir, c'est celui de transformer les contraintes en avantages à l'écran, puisqu'elles incitent à se concentrer sur l'essentiel. L'histoire, les personnages et l'écriture. Un couac sur un seul de ces composants, c'est toute la machine qui s'enraye. Pour ma part, le diagnostic est sans appel : Levinson pédale dans le yaourt. Pronostic ? Entre l'impasse et la sortie de route.
    Arrivé à mi-parcours, une impression. Qui va persister sur les 45 minutes suivantes. Celle d'un film écrit d'un seul jet dans une sorte de catharsis ou flux de conscience. Pas que ce soit un problème en soi, combien de films ou de monuments littéraires virent leurs premières heures en l'espace d'une journée, d'une soirée, d'un instant fugace ou les chakras se sont ouverts ? Seulement, entre le moment où ils poussent dans l'esprit ou sur la page de leur créateur et le moment où ils arrivent à maturité face au monde, un sacré paquet (pour pas dire tous, ne soyons pas prétentieux) auront passé le cap de la révision. Malcolm et Marie a semble-t-il fait l'économie de cette étape primordiale. Sur quelle base argumentative puis-je me baser pour livrer un tel jugement ? Elle tapisse l'œuvre du sol au plafond : l'écriture, tout bêtement. Le film se compose de trois grandes parties, toutes trois reliée par l'épreuve de force à laquelle se livrent deux créatures ayant mis leur couple en quarantaine pour attaquer de front les petites mesquineries, le nombrilisme et l'hypocrisie qui l'ont bâti. Sauf que dans cet exercice, le scénariste/metteur en scène oublie que les longues plages de dialogues/monologues peuvent tout aussi bien réduire en miettes les bonnes intentions. Surtout quand la surécriture crève les yeux (et les tympans) à ce point. Honnêtement, j'estime qu'il aurait été hautement recommandé d'en oblitérer la moitié tant ce recours devient redondant et indigeste. On passe d'une interminable logorrhée à une autre, le temps qu'une bonne réplique fasse mouche elle est déjà noyée dans ce remplissage éreintant. Cela contribue au final à me sortir du film et à m'interroger sur le choix de ce noir et blanc (pure coquetterie ?), de ce propos abscons, de cette absence de rebondissement, de ce slalom entre les jacasseries existentielles et la masturbation intellectuelle. Tant d'efforts, de plans aussi travaillés, d'énergie déployée par deux interprètes en osmose, pour quelque chose d'aussi bruyant et infatué. C'est à n'y rien comprendre, mais y avait-il réellement quelque chose à comprendre de toute façon ?
    Jules H
    Jules H

    1 abonné 31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2021
    Quelles performances la construction des personnages est parfaite ce dialogue qui ne cesse de rebondir. Il donne raison à l’un puis à l’autre ainsi de de suite tous le long. On est émerveillé par un jeu d’acteur excellent plein d’émotion.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2021
    La simplicité d'un Another Happy Day
    La brutalité d'un Assassination Nation
    La force et la grandeur d'un Euphoria
    Tendre, sincère, violent.
    On ne peut rester indifférent et en sortir indemne.
    La beauté de Zendaya et John David Washington qui rendent les visuel encore plus fort.
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