Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 30 septembre 2007
"Une oeuvre forte,réaliste et d'une intensité rare..." Mouarf, j'en ris encore. Entre un scenario pro-americain de bas étage, des décors en plastique type Power Rangers et des dialogues dignes de "plus belle la vie", nous voilà en effet gâtés... Bref, rien dans ce film n'est crédible, pas même les acteurs. Il ne manquait plus qu'un Chuck Norris ou un Steven Segal pour compléter le tableau. A oublier.
Bruce Willis le sauveur en rédemption, Monica Bellucci et son décolleté au grand cœur, Eamonn Walker qui découvre qu'il est d'origine africaine, etc. Et pour le reste... ça dégouline de stéréotypes, à n'en plus pouvoir !
Un film très bien mené, les scènes de combat/guerilla sont réalistes et super bien filmées. J'ai été tenue en haleine de bout en bout avec une petite larmichette à la fin.
J'ai eu du mal à le terminer. Un Willis qui joue aux durs et nous fatigue de son manque d'empathie et d’émotions. Une Bellucci qu'on se demande ce qu'elle est venue faire dans ce film. On comprend rien parce que les bons et les mauvais sont indissociables. Pis c'est mauvais. Les dialogues sont terribles. Bref, à éviter.
Bruce Willis crispe la mâchoire et fusille tout le monde du regard, les nigérians vont souffrir ! Les larmes du soleil racontent l'histoire d'une troupe d'élite de l'armée américaine qui doit secourir une médecin en plein cœur d'un territoire en proie à une guerre civile dans la jungle. Si le film offre des moments de guerre dont l'intensité est grandissante, le film se veut aussi larmoyant comme son titre nous l'indiquait. Sur ce dernier point, le film cherche trop à nous émouvoir pour que cela soit sincère, pire le film fait peut être preuve parfois de racisme et surtout d'auto-congratulations vis à vis de l'américanisme triomphant et porteur de messages d'humanité.
L'horreur de la guerre au Nigeria dans toute sa splendeur. Des pratiques barbares. Une mission dérisoire face à l'ampleur de la tâche. L'entêtement d'une femme qui met tout un escadron à risque. Des morts, des blessés, des mutilés. Rien n'est épargné au spectateur qui se retrouve plongé au cœur de la jungle dans une chasse à l'homme haletante. Les images sont prenantes, mais choquantes. À réserver à un public averti.
Le lieutenant Waters s'envole pour la jungle nigérienne avec son escadron d'élite. Il a pour mission d'évacuer le docteur Lena Kendricks, une compatriote menacée par les guerres civiles. Sur place, Lena refuse d'abandonner ses patients et Waters décide d'emmener les réfugiés valides jusqu'à une zone de sécurité, tout en sachant qu'il ne pourra les faire sortir du pays Les larmes du soleil version longue 2h22 au lieu de 2h01. Il semblerait qu'il y ait eu beaucoup de conflit durant le tournage entre Antoine Fuqua & Bruce Willis quand l'un voulait dénoncer la corruption, les meurtres et l'injustice pour un film basé sur des faits réels et l'autre...un film d'action & d'amour. Je vais le regarder avec un œil nouveau. Déjà le début du film, l'ouverture, n'est pas la même.
Un solide film de guerre emmené par un Bruce Willis très convaicant. Un commande est chargé d'exfiltrer un médecin dans un pays africain secoué par un coup d'état. Mais le médecin refuse de quitter ses patients. Et voilà le commando obligé d'escorter un groupe de civil dans un pays hostile. Pris en chasse par un colonel sadique, Bruce Willis et ses hommes vont devoir faire preuve d'un courage énorme pour essayer d'atteindre la frontière. Le périple réservera son lot d'embuches. Le film a le mérite de dénoncer les génocides qui se sont déroulés dans certains pays africains. Les scènes de combat sont impressionnantes et très bien filmées par Antoine Fuqua.
Un bon petit film de guerre au message un peu simpliste, les bons GI qui viennent aider des chrétiens persécutés par des islamistes, dans un Nigeria ravagé par la guerre. De l'action des combats, Bruce Wilis toujours très bon, et Monica Belluci un peu perdue mais qui tient bien son rôle. Un bon moment pour un film d'action correct;
Encore un film US à la seule gloire de son département de la défense. L’intro est un peu molle mais Antoine Fuqua dynamise rapidement sa mise en scène pour nous garder éveillé. Caricatural à mort, « les Larmes du Soleil » se regarde mais ne marque(ra) pas les esprits pour autant.
Antoine Fuqua avait fait illusion le temps d’un film. Lorsqu’il eût réalisé Training Day, on a pensé qu’il avait céssé de pondre des nanars rythmiquement survitaminés, faiblards du scénario, et dégoulinants de mélo. Hélas il remet ça avec « Larmes Du Soleil ». Le choix d’une Monica Bellucci, en fuite depuis plusieurs jours dans la jungle, crottée, dégoulinant de sueur, mais arborrant tout de même discrets mais visibles lipstick et fond de teint, sont à l’image du film : relou. Et ce n’est pas les ressorts dramatiques qui le sont, au contraire ! La mission, les péripéties dans la fuite, l’ultime rebondissemen en rapport avec la découverte de la taupe, tous ces faits sont fort intéressants, quoique peu originaux. Mais ce qui décrédibilise totalement l’ensemble, c’est l’excès de pathos sirupeux contenu dans des scènes interminables, décrivant les massacres, qui s’accumulent, sans jamais apporter quoique ce soit d’un point de vue dramatique. C’est aussi le côté ostentatoire des violons, et de l’extrême nunucherie de certaines répliques guerrières, et des dialogues soulignant les deux idylles. A faire pleurer le Soleil!
Intense, violent, émouvant, voilà trois adjectifs qui qualifient bien, selon moi, cet excellent film d'action. Je l'ai vraiment préféré à « La chute du faucon noir » auquel il est souvent comparé dans les critiques. Plus d'humanité dans cette péripétie guerrière. Le revirement du lieutenant campé par Bruce Willis montre qu'un soldat ne peut répondre aux ordres sans réfléchir et sans tenir compte du danger ambiant. Si les scènes de massacres sont éprouvantes, elle ne sont, hélas pas imaginaires, quand on voit le génocide du Rwanda. Cette fiction nous fait voir ce qui se passe en Afrique, comment des tribus surarmées par les Occidentaux, s'entretuent dans l'indifférence mondiale. Le fait que les USA apparaissent comme capable de venir à bout d'une armée de rebelles en quelques minutes ne m'a pas gêné dans le sens où c'est effectivement sans doute le cas dans la réalité. Par contre, j'ai trouvé peu crédible les discussions entre soldats alors qu'il y a une nécessité expresse de prendre la fuite ou l'attitude de docteur qui ne semble pas comprendre l'urgence et le danger d'être massacrée avec ses malades.
Il est super bien réalisé un très bon film avec beaucoup de moyens, enfin un film qui relate les réalités africaines, pays d'omerta, il parait très réaliste, les humanitaires et les militaires faces à l'humanisme. Un e dure réalité.
Un film d'action et de guerre en Afrique noire, sans doute moins "bourrin" que les films auxquels Bruce Willis est habitué (Die hard, Expendables...). Il incarne ici un homme particulièrement sensible, risquant sa vie pour une cause dépassant sa propre existence, et on est ainsi davantage dans l'empathie pour un peuple victime d'une dictature sanglante. La dernière citation, qui annonce le générique de fin, apporte encore plus de grandeur à ce film, car elle met en évidence une philosophie qui nous met tous à l'épreuve : il suffit de l'inaction des gens de bien pour que le mal triomphe. On s'étonne sans doute que le duo Willis/Bellucci ne débouche pas sur une histoire d'amour... mais pourquoi pas ? ça évite une fin prévisible, car seul bémol peut-être : un scénario un peu simple et prévisible qui, à part le dévouement du héros et des quelques soldats sous ses ordres, n'étonne en rien.