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Akamaru
3 092 abonnés
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1,0
Publiée le 15 juillet 2014
La guerre civile au Nigeria(fictive) réduite à un débarquement en force de l'armée américaine,redresseur de torts même après la catastrophe du 11 septembre. Un film de guerre anachronique des sa conception. Un Bruce Williams qui serre fort la mâchoire en donnant des ordres incessants. Une Monica Bellucci pas crédible une seconde en femme-médecin. Une photographie à la Tony Scott complètement hors-sujet. Et pire que tout un hymne à l'armée US,sa malice et ses gros moyens. Difficile de comprendre comment "Les Larmes du soleil"(2003)ont pu voir le jour.
Comme l'indique le titre, les larmes, ce sont celles de soldats sensible et bien intentionnés, qui n'hésite pas à embarquer par humanisme, ou par sentiment pour la belle humanitaire. C'est le grand suspens du film. Et le soleil, évidemment, c'est Bruce Willis qui une fois plus sauvent les gentils des méchants, à défaut de sauver le monde. Le scénario est on ne peut plus niais, complètement écarté de la réalité et du vraisemblable. La réalisation est pathétique (tout et tourné dans quelques mètres carrés de verdures). A éviter, c'est une pure perte de temps. Heureusement, Hollywood sera plus inspiré par l'Afrique avec "Blood Diamond ou "Le Denier Roi d'Écosse".
film poignant et extrèmement émouvant !! les scène d'actions sont prenantes et très efficaces.et puis bruce willis est parfait comme toujours en sauveur malgré lui !! le tout emmené par une BO exceptionnelles de hans zimmer
Film avec le géant Bruce Willis, on est assez déçu devant le manque d'imagination, le manque de scénario et le manque d'intensité devant ce film où un commando américain (les héros comme toujours...) vont tenter d'évacuer au Nigeria occupé par les rebelles une humanitaire américaine et des villageois. Forcément, entre des rebelles du dimanche et quelques militaires que ne renierait pas les Avengers, le déroulement sera cousu de fil blanc. spoiler: Mais je me pose une question : pourquoi, à quelques centaines de mètres du camp, n'ont-ils pas pris le temps de courir comme des lapins et ont préféré attendre de se faire canarder ??
Bref : un film plein de larmes mais aussi avec un peu de soleil.
Le film en lui-même n'est pas aussi bien qu'on pourrait l'imaginer. Sans être le meilleur de Willis, le scénario est bien et l'histoire aussi est basée je pense sur du vécu, mais la "bataille" de la fin n'est pas très réaliste étant donné le nombre de soldats Nigériens par rapport aux soldats américains. Cette de scène peut vous prendre au tripes tout de même, avec la musique de Zimmer "himself". Monica Belluci est ni potiche, ni mauvaise dans son rôle. Pour voir un cran au-dessus, plongez vous sur "La Chute du Faucon noir" étant bien meilleur .Mais je vous laisse le plaisir de le découvrir.
« Les larmes du soleil » est un spectaculaire film de guerre qui traite d'un « putsch » militaire au Nigeria... Une violente guerre civile éclate alors et toute la partie catholique de la population locale risque fort d'y être massacrée. Du coup, les gentils Américains, qui ont toujours un porte-avions qui traîne du côté de l'Afrique (coup de bol !) s'empressent d'envoyer un commando extraire une jeune et jolie toubib US de la mission qu'elle gère en pleine jungle. J'ignore si ce scénario, plutôt classique, fait référence à des faits réels mais il faut bien reconnaître que la reconstitution est crédible. Les massacres de civils sont terriblement réalistes, tout comme les combats sanglants qui opposent nos quelques marines à une armée Nigérienne remontée à bloc et armée jusqu'aux dents. De leur côté les acteurs font le job, emmenés par un couple Bruce Willis, Monica Bellucci qui fonctionne assez bien. La tension nerveuse et le rythme des combats étant plutôt efficaces, il est clair qu'on passe un très bon moment de divertissement. Reste ce sempiternel refrain, typiquement Américain, qui nous balance en pleine poire que notre pauvre monde ne pourrait pas tourner rond bien longtemps sans les héros Hollywoodiens. C'est parfois un peu lourd mais le spectacle est là et c'est bien l'essentiel. God bless America !
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2,0
Publiée le 15 octobre 2019
Les problèmes intèrieurs du Nigeria, la guerre civile...Et bien c'est au coeur de "Tears of the Sun" que nous sommes! Avec Bruce Willis dans le genre de rôle qui lui va comme un gant, celui du militaire qui veut sauver le monde! A ses côtès, la madone du cinoche italien Monica Bellucci joue une femme mèdecin affilièe à l'aide humanitaire internationale! Le rèsultat, c'est un film de guerre « sans combat dans tous les sens » . Evidemment il y en a mais rassurez vous "Tears of the Sun" joue avant tout la carte du rèalisme! Et là c'est un choix dèlibèrè de la part du rèalisateur Antoine Fuqua! Immersion totale dans ce conflit au Nigeria! Mais ce qui est intèressant c'est de voir ou revoir ce mètrage un peu plus de dix ans après sa sortie! Pourquoi ? Parce qu'on a l'occasion de voir un Willis qui rappelle parfois Gary Cooper, une star hollywoodienne d'antan qui parlait peu mais agissait! C'est un peu le cas (mais alors un chouïa) de Bruce avec très peu de mots dans le film mais on peut quasiment lire tout ce qu'il pense! Jeu intèrieur donc pour le hèros d'action de la franchise "Die Hard" qui est servi par une belle image et une approche complètement diffèrente des films de genre! Evacuer le prêtre, Monica et les deux nonnes! Voilà la mission de Bruce! Du patriotisme excessif à foison (la musique très « Michael Bay »est là pour nous le rappeler) mais c'est efficace et âpre! N’en demandez surtout pas à plus à Fuqua...
C'et vrai que ce film a des intentions humanistes mais déjà le scénario est d'une piètre originalité. De plus Bruce Willis est d'une platitude à s'en prendre une roquette dans le dos ! Dans sa seconde partie le film prend une autre tournure et vire à la propagande en hommage à la grosse artillerie américaines et à ses soldats qui seront toujours les meilleurs. A part les scènes d'actions comme à la fin tout cela est très peu emballant
La filmographie d’Antoine Fuqua est tellement inégale qu’on ne peut que se demander si le type ne serait schizophrène. Globalement, ses films impairs sont bons, ses films pairs mauvais.
Les Larmes du Soleil est son quatrième film et la règle se confirme ici. En effet, il est incroyable de voir à quel point le film n’a rien compris au genre des films de guerre contemporains et se complait dans un manichéisme primaire d’une bêtise absolue, qui tue à peu près tout suspense quant à la fin du film. On passe par tous les clichés de la mission pourrie : les mecs refusent d’abord, acceptent à cause de leur conscience (et de la fille), tombent sur un traitre dont on a menacé la famille, meurent un par un dans le Final Showdown… Si seulement tout cela n’était pas aussi manipulateur au niveau des émotions, ou même seulement bien mis en scène (on en est très loin), Les Larmes du Soleil ne serait pas si nul. Antoine Fuqua ne parvient même pas à rendre sa dernière fusillade réussie, alors que c’est le Big Payoff du film, après 2h de supplice visuel et auditif (surtout avec le score très pompier d’Hans Zimmer). Les acteurs font le minimum syndical et on les a tous vu bien meilleurs auparavant.
On pourrait chercher pendant des heures, mais rien n’y fait, Les Larmes du Soleil est un bien mauvais film qui n’est même pas un tantinet soit peu divertissant pour un sou.
« spoiler: Pour que le mal triomphe seule suffit l’inaction des hommes de bien. »
"Tears of the Sun" suit une équipe de sauvetage des Navy SEAL dont la mission est de récupérer des civils œuvrant pour la paix, la santé et la vie, au milieu d'une guerre civile provoquée par des criminels de guerre. Dont le but est la destruction de l’État de droit afin de commettre leurs crimes contre l’humanité – le génocide des minorités ethniques et religieuses en toute impunité.
Pendant ce temps, le Dr Lena Fiore Kendricks (Monica Bellucci) spoiler: et ses fidèles du Service de santé publique préféreraient mourir avec leur contribution de toute une vie plutôt que de tout abandonner malgré les atrocités, forçant ainsi le Lieutenant A.K. Waters (Bruce Willis) à reconsidérer la règle d'engagement .
Quand Waters et son équipe composée de Zee (Eamonn Walker), Slo (Nick Chinlund), Red (Cole Hauser), Lake (Johnny Messner), Silk (Charles Ingram), Doc (Paul Francis) et Flea (Chad Smith) sont témoins des spoiler: outrages constants commis par les Peuls contre les Igbo, ils finissent par revoir leurs priorités afin de respecter leur sens de l'éthique et de la morale .
En route vers spoiler: la sécurité, ils s'enfoncent dans la jungle avant de traverser les montagnes marquant la frontière avec le Cameroun. Partout, les villages sont jonchés de cadavres et de survivants mutilés par la bassesse et la cruauté des troupes peules .
En fin de compte, spoiler: leur sacrifice assure le passage des survivants Igbo au Cameroun dans une bataille finale épique pour la survie et la liberté .
Ce thriller d'action perspicace, efficacement réalisé par Antoine Fuqua et produit par Bruce Willis à travers sa société de production Cheyenne Enterprises, est une dénonciation vitale du génocide silencieux commis par Boko Haram et les bergers peuls du Nigeria.
Un film intense porté par les performances de Bruce Willis, de Monica Bellucci et du reste du casting, qui compte également Tom Skerritt dans le rôle du capitaine Bill Rhodes, et l'une des meilleures bandes originales de Hans Zimmer.
Un très bon scénario certes très manichéen mais qui montre que même des forces spéciales peuvent être bouleversées au point de changer leur mentalité. Les scènes d'action sont de très haut niveau sans oublier énormément d'émotion via d'excellents acteurs et des scènes à la fois très tristes et réalistes.