Note moyenne
1,9
13 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Public
Ce beau film, à la saveur douce-amère, est une ode au partage, à l'amitié et à la famille ainsi qu'une jolie réflexion sur la vie.
Le Journal du Dimanche
Malgré l’empilage dispensable d’histoires familiales secondaires, un premier film touchant.
La Croix
Mais la plupart des personnages sont à peine esquissés, réduits à de simples éléments pour faire avancer l’intrigue. Les acteurs ont grand peine à leur donner de la profondeur, vu le peu qu’il leur revient de jouer.
Le Figaro
C'est parfois assez drôle et même touchant. Mais cela ne suffit pas à faire un film au goût inoubliable.
Le Monde
Dans ce feel-good movie, Depardieu joue un rôle attendu, celui d’un ogre qui sait être aussi bonne pâte. C’est lorsque le film sort de ses rails (trop peu) qu’il réussit à surprendre.
Le Parisien
On sourit parfois et on s’amuse carrément de ce personnage de naine qui joue du rock à ses cochons pour donner du goût à leur viande. Mais la minceur du scénario et la mièvrerie du message final ont malheureusement raison de ces notes d’humour.
Télé 2 semaines
Avec Gérard Depardieu dans le rôle d'un ogre à la dérive qui lui ressemble, un petit film à la fois fragile et très inégal.
Télé 7 Jours
Le récit, décousu, se révèle déconcertant, mais offre une authentique plongée dans la société nippone.
Télé Loisirs
Cet hymne aux petits plaisirs et à la cuisine, baigné par une douce mélancolie, ne manque pas de saveur.
L'Obs
Le scénario est brouillon, et la mise en scène ne concentre jamais les parfums exquis des comédiens (Bastien Bouillon, Rod Paradot). Le film n’est pas indigeste, il est terne. Et comme tétanisé par la stature de Depardieu, pourtant touchant dans ce rôle de colosse épuisé.
Les Echos
Dans « Umami », une comédie culinaire malheureusement dépourvue de saveur, le scénariste et réalisateur Slony Sow ne lésine pas sur les clichés et, dans l'Hexagone comme au Japon, aligne les scènes pesantes avec la régularité d'un métronome. Avec un Gérard Depardieu en roue libre, ce film poussif n'honore ni les plaisirs de la table ni ceux du cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Au cœur d’une œuvre informe, Depardieu tel qu’en lui-même, sommé de “faire cinéma” à lui seul, et dont la persona et la filmographie écrasent le personnage.
Télérama
Trop lourd, trop salé, plombé par l’omniprésence de Depardieu, un film indigeste et embarrassant.