Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Lamb n’est pas un film facile. [...] C’est de sa singularité assumée que vient le charme de cette histoire envoûtante qui n’est pas sans rappeler Ricky de François Ozon.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"Lamb" vaut aussi beaucoup pour sa fin sidérante, s'achevant là où bien d'autres films auraient démarré.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Une fable morale d’une beauté et d’une finesse assez soufflantes, hantée par une mélancolie grisâtre qu’il est difficile de contrer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce récit audacieux est d’une grande maîtrise formelle. Valdimar Jóhannsson soigne ses atmosphères, ses plans, sa narration, dans un film unique.
Ecran Large
par La rédaction
Minimaliste, brumeux et peu inquiet de remplir les quotas de spectacle, le film de Valdimar Jóhannsson ne tient qu'à sa simplicité, au jeu très juste de Noomi Rapace et Hilmir Snær Guðnason et surtout à un effet spécial périlleux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
À voir pour Noomi Rapace, pour la beauté des effets spéciaux et des décors naturels.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Contemplatif, beau et sensible, Lamb transporte dans un monde froid et ouaté, merveilleux et cruel, au cœur d’une nature mythologique contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Noémie Luciani
Le plus étrange au demeurant (et le plus fort peut-être) n'est pas la part surnaturelle du récit, mais sa matière : Lamb est si épris de silence qu'il travaille à rebours de la narration, invite moins à interroger l'existence du couple de fermiers qu'il peint qu'à s'installer résolument, avec toute la force de l'imagination, dans ce que nous ignorons d'eux, ce passé douloureux que l'écriture écarte.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Surfant sur l'idée de la progéniture monstrueuse (déjà explorée cette année dans Annette, de Leos Carax), Lamb s'impose comme une fable cathartique et fantastique qui, à travers la métaphore, a le courage d'aborder le sujet de la mort d'un enfant tout en misant sur l'économie de dialogues et la tension ambiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La rédaction
Tourné dans la brume islandaise avec une Noomi Rapace totalement habitée, « Lamb » dégage une atmosphère épaisse, puissante, envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
La majesté visuelle de Lamb, son travail angoissant sur le son, son humour à froid et son dernier virage faisant monter encore d’un cran la dinguerie de son concept valent largement le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Remarquablement cadré, ce premier long-métrage tisse sa curieuse toile en silence, imposant au goutte-à-goutte sa bizarrerie poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marie Claire
par Emily Barnett
Étrange, dérangeant, parfois grotesque : ce qu'un certain cinéma d'auteur scandinave épuré a de mieux à nous offrir.
Positif
par Dominique Martinez
Le style fantastique minimaliste de Valdimar Jóhannsson veut être plus qu’une entreprise esthétique dérangeante. Il est au service d’une critique spéciste qui se venge de l’homme et de son chien, mais qui épargne le chat.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Une tension et un désespoir électrifiés par la partition d'une Noomi Rapace toujours sur la corde raide.
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Dans le rôle de la « mère », Noomi Rapace, émouvante, apporte de la crédibilité à cette étrangeté d'une maîtrise bluffante, primée à Cannes dans la section Un certain regard.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Entre drame familial et naturalisme horrifique, un conte aussi surprenant que perturbant, où la tension monte crescendo jusqu'au final, glaçant.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un film à suspense superbe, d’une fabuleuse originalité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un ton minimaliste et apaisé, Valdimar Jóhannsson déroule avec âpreté et intelligence l’horreur d’un couple condamné à élever une brebis à défaut d’un nourrisson. Un film stupéfiant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
On aimerait connaître les légendes locales dont s’imprègne ce premier film hors norme pour mieux en apprécier le mystère et le rythme contemplatif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le parti pris du film qui réunit les fermiers et les animaux dans une même humanité ou « naturalité », et en fait sa singularité, se dilue malheureusement au fur et à mesure de l’avancée du récit vers sa résolution finale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par La rédaction
Atmosphère envoûtante, décors somptueux et interprétation sans failles.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Pour son premier film, le réalisateur islandais Valdimar Johannsson s’est inspiré de plusieurs contes de son pays pour raconter une histoire simple mais puissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Une fable aussi austère qu’incongrue, dont l’étrangeté s’insinue dans les détails – les sons, l’agitation des bêtes –, et hors champ.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Culotté ou outré, provocateur ou grand-guignolesque, chacun y comptera ses moutons...
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
La surabondance allégorique du récit condamne ses personnages à un jeu de plateau, et leur destinée à celle de pions déplacés d’une main sentencieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Tout l’amour que l’on porte à la présence papillotante de Noomi Rapace ne suffit pas à sauver Lamb, chiche en sensations à force de remplir son contrat d’épure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
On en vient à se demander à qui le film s'adresse, étant sûrement trop bizarre pour le public "auteur" et trop prudent pour des fans de fantastique qui font bien de s'en méfier.
Première
par Thomas Baurez
Chaque dialogue, chaque intrusion, chaque geste, vient valider et justifier un fantastique qui s’excuserait presque d’être là. On remerciera Valdimar Jóhannsson d’aller au bout d’une logique que n’aurait pas renié certains clippers stars des 90’s.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le film est tellement involontairement drôle que l’on se demande longtemps s’il ne s’agit pas d’une farce pince sans rire.
20 Minutes
Lamb n’est pas un film facile. [...] C’est de sa singularité assumée que vient le charme de cette histoire envoûtante qui n’est pas sans rappeler Ricky de François Ozon.
CinemaTeaser
"Lamb" vaut aussi beaucoup pour sa fin sidérante, s'achevant là où bien d'autres films auraient démarré.
Culturopoing.com
Une fable morale d’une beauté et d’une finesse assez soufflantes, hantée par une mélancolie grisâtre qu’il est difficile de contrer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce récit audacieux est d’une grande maîtrise formelle. Valdimar Jóhannsson soigne ses atmosphères, ses plans, sa narration, dans un film unique.
Ecran Large
Minimaliste, brumeux et peu inquiet de remplir les quotas de spectacle, le film de Valdimar Jóhannsson ne tient qu'à sa simplicité, au jeu très juste de Noomi Rapace et Hilmir Snær Guðnason et surtout à un effet spécial périlleux.
Elle
À voir pour Noomi Rapace, pour la beauté des effets spéciaux et des décors naturels.
Franceinfo Culture
Contemplatif, beau et sensible, Lamb transporte dans un monde froid et ouaté, merveilleux et cruel, au cœur d’une nature mythologique contemporaine.
La Septième Obsession
Le plus étrange au demeurant (et le plus fort peut-être) n'est pas la part surnaturelle du récit, mais sa matière : Lamb est si épris de silence qu'il travaille à rebours de la narration, invite moins à interroger l'existence du couple de fermiers qu'il peint qu'à s'installer résolument, avec toute la force de l'imagination, dans ce que nous ignorons d'eux, ce passé douloureux que l'écriture écarte.
Le Journal du Dimanche
Surfant sur l'idée de la progéniture monstrueuse (déjà explorée cette année dans Annette, de Leos Carax), Lamb s'impose comme une fable cathartique et fantastique qui, à travers la métaphore, a le courage d'aborder le sujet de la mort d'un enfant tout en misant sur l'économie de dialogues et la tension ambiante.
Le Parisien
Tourné dans la brume islandaise avec une Noomi Rapace totalement habitée, « Lamb » dégage une atmosphère épaisse, puissante, envoûtante.
Le Point
La majesté visuelle de Lamb, son travail angoissant sur le son, son humour à froid et son dernier virage faisant monter encore d’un cran la dinguerie de son concept valent largement le détour.
Les Echos
Remarquablement cadré, ce premier long-métrage tisse sa curieuse toile en silence, imposant au goutte-à-goutte sa bizarrerie poétique.
Marie Claire
Étrange, dérangeant, parfois grotesque : ce qu'un certain cinéma d'auteur scandinave épuré a de mieux à nous offrir.
Positif
Le style fantastique minimaliste de Valdimar Jóhannsson veut être plus qu’une entreprise esthétique dérangeante. Il est au service d’une critique spéciste qui se venge de l’homme et de son chien, mais qui épargne le chat.
Rolling Stone
Une tension et un désespoir électrifiés par la partition d'une Noomi Rapace toujours sur la corde raide.
Télé 2 semaines
Dans le rôle de la « mère », Noomi Rapace, émouvante, apporte de la crédibilité à cette étrangeté d'une maîtrise bluffante, primée à Cannes dans la section Un certain regard.
Télé Loisirs
Entre drame familial et naturalisme horrifique, un conte aussi surprenant que perturbant, où la tension monte crescendo jusqu'au final, glaçant.
Télérama
Un film à suspense superbe, d’une fabuleuse originalité.
aVoir-aLire.com
Dans un ton minimaliste et apaisé, Valdimar Jóhannsson déroule avec âpreté et intelligence l’horreur d’un couple condamné à élever une brebis à défaut d’un nourrisson. Un film stupéfiant.
L'Obs
On aimerait connaître les légendes locales dont s’imprègne ce premier film hors norme pour mieux en apprécier le mystère et le rythme contemplatif.
La Croix
Le parti pris du film qui réunit les fermiers et les animaux dans une même humanité ou « naturalité », et en fait sa singularité, se dilue malheureusement au fur et à mesure de l’avancée du récit vers sa résolution finale.
La Voix du Nord
Atmosphère envoûtante, décors somptueux et interprétation sans failles.
Le Figaro
Pour son premier film, le réalisateur islandais Valdimar Johannsson s’est inspiré de plusieurs contes de son pays pour raconter une histoire simple mais puissante.
Le Monde
Une fable aussi austère qu’incongrue, dont l’étrangeté s’insinue dans les détails – les sons, l’agitation des bêtes –, et hors champ.
Paris Match
Culotté ou outré, provocateur ou grand-guignolesque, chacun y comptera ses moutons...
Les Inrockuptibles
La surabondance allégorique du récit condamne ses personnages à un jeu de plateau, et leur destinée à celle de pions déplacés d’une main sentencieuse.
Libération
Tout l’amour que l’on porte à la présence papillotante de Noomi Rapace ne suffit pas à sauver Lamb, chiche en sensations à force de remplir son contrat d’épure.
Mad Movies
On en vient à se demander à qui le film s'adresse, étant sûrement trop bizarre pour le public "auteur" et trop prudent pour des fans de fantastique qui font bien de s'en méfier.
Première
Chaque dialogue, chaque intrusion, chaque geste, vient valider et justifier un fantastique qui s’excuserait presque d’être là. On remerciera Valdimar Jóhannsson d’aller au bout d’une logique que n’aurait pas renié certains clippers stars des 90’s.
Cahiers du Cinéma
Le film est tellement involontairement drôle que l’on se demande longtemps s’il ne s’agit pas d’une farce pince sans rire.