Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Ne vous fiez pas à son titre apparemment timide. Sous son emballage de petit film d'auteur soigné, Pas un mot est à vrai dire assez grandiose. Discrètement. Mais d'autant plus puissamment, comme une lame de fond. Précisément pour cette friction entre l'infime et l'immense, bel et bien ineffable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sur la Symphonie n°5 de Mahler, un film sublime autour du lien.
L'Obs
par Isabelle Danel
Signée Claire Mathon, l’image glacée de ce drame de la communication, élégant mais un peu trop appuyé, est sublime.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt.
Nina répète la Symphonie n° 5, de Gustav Mahler (1860-1911), et le film se révèle tout aussi musical dans son traitement sonore, une fine orchestration de bruits remplaçant souvent les dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans cette île froide et venteuse, les obstacles à ce dialogue - le silence du fils, le travail de sa mère, accrochée à son téléphone – vont peu à peu se dissoudre. Jusqu’à une fin plus lumineuse et réconfortante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Jacques Morice
La présence forte de Maren Eggert (actrice fétiche de la cinéaste Angela Shanelec, remarquée aussi dans I’m Your Man) ajoute à la singularité du tableau, où visages et paysages riment en musique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Clément Colliaux
Il leur faudra s’exiler en pleine nature, loin de tous ces parasites high-tech, pour espérer se retrouver ; on comprend vite le genre d’oppositions un peu grossières qui jalonnent ce film à la partition malheureusement bien manichéenne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Anthéa Claux
Mais tout cela ne fonctionne qu’en apparence. On ne parvient jamais vraiment à parler de Lars. La réalisatrice fait l’énième récit d’un conflit familial, monotone, et discordant, où l’abcès n’est pas totalement percé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Ne vous fiez pas à son titre apparemment timide. Sous son emballage de petit film d'auteur soigné, Pas un mot est à vrai dire assez grandiose. Discrètement. Mais d'autant plus puissamment, comme une lame de fond. Précisément pour cette friction entre l'infime et l'immense, bel et bien ineffable.
Les Fiches du Cinéma
Sur la Symphonie n°5 de Mahler, un film sublime autour du lien.
L'Obs
Signée Claire Mathon, l’image glacée de ce drame de la communication, élégant mais un peu trop appuyé, est sublime.
Le Monde
Nina répète la Symphonie n° 5, de Gustav Mahler (1860-1911), et le film se révèle tout aussi musical dans son traitement sonore, une fine orchestration de bruits remplaçant souvent les dialogues.
Le Parisien
Dans cette île froide et venteuse, les obstacles à ce dialogue - le silence du fils, le travail de sa mère, accrochée à son téléphone – vont peu à peu se dissoudre. Jusqu’à une fin plus lumineuse et réconfortante.
Télérama
La présence forte de Maren Eggert (actrice fétiche de la cinéaste Angela Shanelec, remarquée aussi dans I’m Your Man) ajoute à la singularité du tableau, où visages et paysages riment en musique.
Libération
Il leur faudra s’exiler en pleine nature, loin de tous ces parasites high-tech, pour espérer se retrouver ; on comprend vite le genre d’oppositions un peu grossières qui jalonnent ce film à la partition malheureusement bien manichéenne.
Première
Mais tout cela ne fonctionne qu’en apparence. On ne parvient jamais vraiment à parler de Lars. La réalisatrice fait l’énième récit d’un conflit familial, monotone, et discordant, où l’abcès n’est pas totalement percé.