Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Cela aurait pu facilement devenir une pose agaçante, de la nostalgie facile comme le suggérait ce titre d'une mièvrerie courageusement assumée. Mais le premier long métrage d'Yves Caumon (...) échappe avec élégance, et même brio, aux nombreux pièges tendus par son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Elodie Lepage
C'est un film doux et amer à la fois. Un joli coup d'essai.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Amour d'enfance se situe assez crânement sur le fil ténu du rasoir qui tranche entre la vie et la mort, l'humour et le tragique, l'enfance et l'âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Retour à la campagne : idyllique en surface, désespéré en profondeur. Prix Un Certain regard 2001, un premier film aussi cruel que séduisant.
Libération
par Philippe Azoury
(...) le film est moins celui d'un retour (aux sources) que d'un retournement (de situation), à juger comment Caumon interroge son difficile rapport cinématographique avec ses frères humains.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Gorin
Lettre de rupture forcément mélancolique, le film a ses blancs, ses fautes de frappe, une touche ici trop appuyée. Mais son entêtement à tenir la même note, à la fois douce et déchirante, s'accorde bien à un sujet rudimentaire et délicat : le double arrachement de Paul à la terre et à l'enfance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Plus que du déchirement initial de Paul, le citadin de retour à la campagne, Amour d'enfance tire sa force de ce véritable retour au source (le western comme seul moyen de filmer un paysage), qui coupe l'herbe sous le pied à toute tentative d'échappée bucolique et donne toute sa grandeur à ce mélodrame campagnard.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par N.T Binh
(...) un premier film exceptionnel d'humanité et d'émotion.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Jean Roy
La sensibilité de l'auteur est omniprésente, parfois poussée jusqu'à une exacerbation qui en vient à imposer une forme de distance, comme ces confessions qui, pour éviter l'impudeur, obligent celui qui en est le témoin à feindre la réserve.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
Comme le propos, par ailleurs, est aussi mince que prévisible, tablant sur une émotion complice qui peine à naître tant elle est mécaniquement programmée, le désir de maîtrise du jeune cinéaste révèle alors une ambition à la fois hautaine et sèche. Dans ce premier long métrage, la simplicité, si calculée, semble feinte.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Chronic'art.com
Cela aurait pu facilement devenir une pose agaçante, de la nostalgie facile comme le suggérait ce titre d'une mièvrerie courageusement assumée. Mais le premier long métrage d'Yves Caumon (...) échappe avec élégance, et même brio, aux nombreux pièges tendus par son sujet.
L'Obs
C'est un film doux et amer à la fois. Un joli coup d'essai.
Le Monde
Amour d'enfance se situe assez crânement sur le fil ténu du rasoir qui tranche entre la vie et la mort, l'humour et le tragique, l'enfance et l'âge adulte.
Les Inrockuptibles
Retour à la campagne : idyllique en surface, désespéré en profondeur. Prix Un Certain regard 2001, un premier film aussi cruel que séduisant.
Libération
(...) le film est moins celui d'un retour (aux sources) que d'un retournement (de situation), à juger comment Caumon interroge son difficile rapport cinématographique avec ses frères humains.
Télérama
Lettre de rupture forcément mélancolique, le film a ses blancs, ses fautes de frappe, une touche ici trop appuyée. Mais son entêtement à tenir la même note, à la fois douce et déchirante, s'accorde bien à un sujet rudimentaire et délicat : le double arrachement de Paul à la terre et à l'enfance.
Urbuz
Plus que du déchirement initial de Paul, le citadin de retour à la campagne, Amour d'enfance tire sa force de ce véritable retour au source (le western comme seul moyen de filmer un paysage), qui coupe l'herbe sous le pied à toute tentative d'échappée bucolique et donne toute sa grandeur à ce mélodrame campagnard.
Zurban
(...) un premier film exceptionnel d'humanité et d'émotion.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
La sensibilité de l'auteur est omniprésente, parfois poussée jusqu'à une exacerbation qui en vient à imposer une forme de distance, comme ces confessions qui, pour éviter l'impudeur, obligent celui qui en est le témoin à feindre la réserve.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Comme le propos, par ailleurs, est aussi mince que prévisible, tablant sur une émotion complice qui peine à naître tant elle est mécaniquement programmée, le désir de maîtrise du jeune cinéaste révèle alors une ambition à la fois hautaine et sèche. Dans ce premier long métrage, la simplicité, si calculée, semble feinte.