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Un visiteur
2,5
Publiée le 14 mai 2008
Malgré un casting impressionnant, l'idée est mal exploitée, prévisible et on rigole que quelques fois. Mais la distraction est là et le film se laisse regarder facilement.
Du pur hollywood... Tandis que Zeta-Johnes et Cusack convainquent avec peine, Roberts et Cristal sont en dessous de tout et à baffer ! On retiendra la géniale intervention en fin de film de Christopher Walken qui parvient à nous faire sourire...
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2,5
Publiée le 3 février 2021
Règle n°1 : Toujours s'attribuer le mèrite! Règle n°2 : Attendez qu'on vous dise que l'on aime ce que vous avez fait! Les autres règles vous les apprendrez en chemin...dans les coulisses de Hollywood! Un couple de stars qui ne s'aime plus vraiment perdu, en pleine cambrousse! John Cusack et Catherine Zeta-Jones se dètestent tandis que Julia Roberts et Billy Crystal trouvent les mots qui sauvent pour faciliter les rapports! Vendu comme la comèdie romantique de l'annèe 2001, "America's Sweethearts" vaut pour son casting de stars! Distrayant, le film en rajoute plaisamment dans les querelles, le rèalisateur trouvant le ton juste, sans prètention et avec humour! Ça ne casse pas toujours des briquettes sous les sunlights de Hollywood! mais le quatuor passe plutôt bien à l'ècran! A noter que c'est l'une des premières apparitions de Emma Roberts au cinèma...
Je m'attendais au pire en regardant ce film… j'étais loin du compte ! Il n'y a rien à sauver ici : c'est long, ennuyeux, sans intérêt et absolument pas drôle, ni émouvant ! En plus c'est censé être un pastiche de toutes ces comédies romantiques hollywoodiennes… C'est réussi : ça en devient même encore plus mièvre et inepte.
Parce que j'adore Julia Roberts et que certaines scènes sont assez drôles, en particulier une projection de film. Autrement pas la peine de voir ce schmates.
Une comédie romantique, et burlesque qui doit beaucoup à son très bon casting.Julia Roberts vraiment à l'aise dans ce genre de rôle, où elle excelle. Et aussi la paire John Cusack et Zeta Jones qui fonctionne bien. Les quiproquos de ce couple qui veut faire bonne figure fonctionnent bien. Un scénario correct , bien écrit , qui supporte le film, sans temps morts.
parfait de la comédie américaine guimauve qui n’a aucun intérêt. Cette soi-disant satire du milieu hollywoodien est un beau navet. L’ensemble est vraiment poussif.
Une comédie très inégale, qui hésite entre de bons moments de gags drôles et inventifs (le doberman, la scène du cactus, la tentative de suicide manquée...) et des longueurs infernales (on décroche environ une dizaine de fois dans un film d'à peine plus de 1h30...). Les intrigues amoureuses principalement sont d'un ennui ferme car elles sont prévisibles, mièvres (la résolution finale des couples est une jolie guimauve...) et s'étirent dans la longueur. Le casting a tout pour lui, et les acteurs font ce qu'ils peuvent pour distraire, assez plaisamment car ils ont souvent des scènes bien ingrates et cocasses à interpréter (le chien qui lèche les parties intimes de Cristall, la scène de bagarre à coup de plateaux de restaurant... Pas évident ! Mais ils s'en sortent bien). Mention spéciale à la musique de Newton Howard qui nous régale comme d'habitude. Et à Hank Azaria qui décape souvent dans un jeu déjanté. Parfois drôle, mais beaucoup trop de longueurs et de bons sentiments, qui donnent un film moyen.
Est-ce Julia Roberts, qui, par son décollage rapide ayant remis la jeunesse en grâce à Hollywood, inspire aux grands studios la moquerie d'eux-mêmes ? Elle aura en tout cas au moins indirectement remis sur les rails le sporadique Joe Roth pour cette production où les rôles se sont échangés comme des chaises autour d'une table de restaurant. Intimiste pour le moins.
C'est dans une moquerie discrète toutefois que Roth donne des contours tangibles à ce que le "people", n'y adhérât-on pas, nous fait savoir de l'effet du soleil californien sur de célèbres crânes. Zeta-Jones est délicieusement abhorrable, Cusack parfaitement lui-même, et du coup les villas sont-elles cosy-comme ça le décor naturel à leurs satrapes. Comme pour une fusée russe de la Course à l'espace, les moteurs du film sont petits et multiples, et c'est un moindre mal si certains tombent à plat, comme l'humour de Crystal ou les touches de vaudeville. Les tentatives de renouvellement des codes sont elles aussi risibles, parfois, puisque la régie se cantonne à bien faire comprendre qu'elle en a eu conscience, sans de recherche véritable d'un palliatif.
Mais on garde le sourire aux débordements semi-crédibles de ces sacrés cinéphages que sont les stars, dont le grand mérite est de ne démentir le sentiment qu'on a de leurs faux semblants ni l'affection qu'on leur porte malgré tout. Il ne faudra pas rechercher l'expérimentalité de Soderbergh avec Full Frontal (exercice auquel Roberts se prête aussi très bien) ni celle du réalisateur Hal Ashby qui est à l'origine du personnage de Walken, mais il y a chez le couple de stars (à ne pas confondre avec l'anglais "a couple stars" désignant une bonne partie du casting) un petit quelque chose qui le rend regardable.
Bidon,les acteurs à la poubelle et la mise en scéne pareil.Un film de ce type ne sert strictement à rien. Vous perdez rien à voir un film comme celui-là.
Ce film n'a aucune autre ambition que de nous divertir ... et il atteint avec brio son but. Mais en plus de nous faire passer un très bon moment, le film fait passer quelques messages sur la manipulation des médias par le show-biz, sur les caprices des stars, parfois, jusqu'à l'outrance (cf. le gag des limousines), sur le fait qu'un film qui ne marche pas aux USA, même s'il connaît un grand succès en Europe, ne représente rien pour les américains... Tout cela bien intégré dans un ensemble de gags très visuels et très nombreux. La distribution du film jusque dans les seconds rôles (Larry King, Stanley Tucci, Christopher Walken) est merveilleuse. On déteste Catherine Zéta-Jones et on adore Julia Roberts mais surtout on apprécie tout particulièrement Billy Crystal dans son rôle de manipulateur pris d'affection par le chien de la star.