Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Solaire et tendre, ce film est une déambulation poétique et charnelle, où l’expérience de la rencontre se fait à travers une ville nouvelle, Cergy, dans la respiration du quotidien, dans ces chemins de traverse comme dans les voix qui se racontent.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le cinéma français ne peut plus se passer d'Annie Ernaux. Régis Sauder filme Cergy, ville nouvelle où résident l'actrice et d'autres habitants qui disent leur bonheur de vivre dans cette banlieue sans histoire. Haletant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Régis Sauder poursuit sa réflexion sur l’enracinement et la mémoire en arpentant la ville de Cergy, lieu de résidence d’Annie Ernaux. Entremêlant les voix de l’autrice et de multiples habitants, le cinéaste en dresse un portrait plein de finesse et de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un portrait sensible et mélancolique de Cergy et de ses habitants.
Positif
par Eithne O’Neill
Une note mélancolique est élaborée par des textes méditatifs lus par les habitants, ou cités en off, signés d’Annie Ernaux, dont le visage paraît dans une surimpression poétique.
Transfuge
par Serge Kaganski
Loin des micro-trottoirs qui font l’ordinaire télévisuel, Régis Sauder filme Cergy et ses citoyens en cinéaste : il prend le temps de les regarder, de les écouter, de laisser advenir leur parole, imprimant un tempo flâneur au film, de même qu’il tente de saisir avec sa caméra les vertus conviviales de Cergy.
Télérama
par François Ekchajzer
Une « ville nouvelle » comme une fiction et ses habitants comme des personnages, dans un film dont la beauté tient à la part de rêve induite par ce décor théâtral.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le parti pris atmosphérique accentué par la souplesse du dispositif ne dissipe jamais l'impression d'un film trop "bordé" par ses sources et sa propre genèse: la correspondance avec Ernaux, un atelier avec des lycéens qui a nourri le projet, et le discours que les autorités et institutions produisent elles-mêmes sur la ville entravent tout geste alternatif de mise en scène.
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Avec Ernaux, Sauder se rend attentif aux menus détails par lesquels se signale le glissement de la vie matérielle vers la construction d’une subjectivité partagée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une quasi-utopie dont l’auteur de « Retour à Forbach » montre les réussites comme les impasses. Passionnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sauder préfère effleurer, s'en tenir aux sensations. On imagine qu'il suffirait à son bonheur de donner l'envie à son spectateur de déménager séance tenante en ces lieux. De ce point de vue, le film est une vraie réussite.
Première
par Thierry Chèze
Le résultat, tout en délicatesse, mélancolie mais inscrit dans la réalité d’aujourd’hui est un régal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Laura Tuillier
Voulant faire sa petite place à tout le monde et débordant d’une bienveillance qu’on peut finir par trouver suspecte (car elle ne rend possible aucun pas de côté critique, aucune confrontation), le film manque d’un véritable angle d’attaque autant que de rigueur topographique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Solaire et tendre, ce film est une déambulation poétique et charnelle, où l’expérience de la rencontre se fait à travers une ville nouvelle, Cergy, dans la respiration du quotidien, dans ces chemins de traverse comme dans les voix qui se racontent.
Le Figaro
Le cinéma français ne peut plus se passer d'Annie Ernaux. Régis Sauder filme Cergy, ville nouvelle où résident l'actrice et d'autres habitants qui disent leur bonheur de vivre dans cette banlieue sans histoire. Haletant.
Les Fiches du Cinéma
Régis Sauder poursuit sa réflexion sur l’enracinement et la mémoire en arpentant la ville de Cergy, lieu de résidence d’Annie Ernaux. Entremêlant les voix de l’autrice et de multiples habitants, le cinéaste en dresse un portrait plein de finesse et de poésie.
Ouest France
Un portrait sensible et mélancolique de Cergy et de ses habitants.
Positif
Une note mélancolique est élaborée par des textes méditatifs lus par les habitants, ou cités en off, signés d’Annie Ernaux, dont le visage paraît dans une surimpression poétique.
Transfuge
Loin des micro-trottoirs qui font l’ordinaire télévisuel, Régis Sauder filme Cergy et ses citoyens en cinéaste : il prend le temps de les regarder, de les écouter, de laisser advenir leur parole, imprimant un tempo flâneur au film, de même qu’il tente de saisir avec sa caméra les vertus conviviales de Cergy.
Télérama
Une « ville nouvelle » comme une fiction et ses habitants comme des personnages, dans un film dont la beauté tient à la part de rêve induite par ce décor théâtral.
Cahiers du Cinéma
Le parti pris atmosphérique accentué par la souplesse du dispositif ne dissipe jamais l'impression d'un film trop "bordé" par ses sources et sa propre genèse: la correspondance avec Ernaux, un atelier avec des lycéens qui a nourri le projet, et le discours que les autorités et institutions produisent elles-mêmes sur la ville entravent tout geste alternatif de mise en scène.
Critikat.com
Avec Ernaux, Sauder se rend attentif aux menus détails par lesquels se signale le glissement de la vie matérielle vers la construction d’une subjectivité partagée.
L'Obs
Une quasi-utopie dont l’auteur de « Retour à Forbach » montre les réussites comme les impasses. Passionnant.
Le Monde
Sauder préfère effleurer, s'en tenir aux sensations. On imagine qu'il suffirait à son bonheur de donner l'envie à son spectateur de déménager séance tenante en ces lieux. De ce point de vue, le film est une vraie réussite.
Première
Le résultat, tout en délicatesse, mélancolie mais inscrit dans la réalité d’aujourd’hui est un régal.
Libération
Voulant faire sa petite place à tout le monde et débordant d’une bienveillance qu’on peut finir par trouver suspecte (car elle ne rend possible aucun pas de côté critique, aucune confrontation), le film manque d’un véritable angle d’attaque autant que de rigueur topographique.