Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
XAVIER H
6 abonnés
106 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 19 septembre 2022
totalement irréaliste , les années supposées 42 flirtent plus vers les années 80 , coiffures des jeunes , habillement dérisoire , pattes d'éph , survol léger de l'étoile qui nous indique l'époque difficile , sauf la boulangerie qui regorge de pains appétissants , les assiettes des repas trop bien remplies , répétitions de scènes inutiles , bref beaucoup de négatif pour ce premier film. Je n'ai à aucun moment réussi à rentrer dans ce film , dommage les bons sentiments ne font pas toujours les meilleurs film . J'oubliais la musique qui ne colle pas du tout à l'époque . Quel gâchis !!!
Une énorme bouse ! C'est long, plat, incohérent, bourré d'anachronismes... Il ne se passe quasiment rien de tout le film. Et le pire de tout, c'est que cela donne une image complétement irréaliste de Paris sous l'occupation. C'est un bon exemple de ce que le cinéma français peut faire de pire.
Complètement irréaliste pas rigolo du tout, mal joué, vraiment hyper décevant ... je ne comprends absolument pas les critiques positives faites par certains journalistes. Au secours Sandrine Kiberlain !!! En tant qu'actrice, vous êtes tellement naturelle dans tous vos rôles, c'est le bonheur. Mais pas la réalisation !!! Flo
Un sujet passionnant qui aurait mérité meilleur traitement. Entre longueurs et lenteur, on attend le dernier quart d'heure ... heureusement, il y a la jeune lumineuse Rebecca qui promet beaucoup, et la confirmation d'Anthony Bajon qui a tout d'un futur très grand.
Mièvre, fabriqué et surjoué. Avec une actrice principale qui minaude et en fait des tonnes. J'ai trouvé ce film pénible et ennuyeux. Ouf, en sortant. Quel ennui ! Les décors sont ..... décoratifs, les acteurs ..... également. Il ne se passe rien pendant pratiquement 2heures. La même chose se répète à longueur d'images, avec une complaisance pour rendre cette image jolie comme une page de magazine en oubliant la profondeur. Cela ressemble à un reportage de mode. Je n'ai pas du tout aimé et me suis vraiment ennuyée. Désolant.
Pour son premier long-métrage, Sandrine Kiberlain fait preuve d'un manque flagrant d'inspiration avec ce drame ennuyant qui enfile des scènes décousues, parfois redondantes, et aux dialogues d'une pauvreté affligeante. Qui plus est, le contexte historique est extrêmement mal retranscrit et l'insouciance dont fait preuve le personnage principal est plus que déroutante. Tout comme le choix de la BO, anachronique et sans aucune homogénéité.
Dépeindre une année 1942 à Paris aussi insouciante pour une jeune juive, c'est tout simplement du négationnisme. Marre des anachronismes mais celui-là est pire que les autres.
J'aime beaucoup Sandrine Kimberlain mets le film est une catastrophe Tout seul faut tout est hors-sol hors contexte on s'ennuie on est pas touché on est agacé Je crois comprendre l'intention mais c'est manquer. La seule chose à sauver est le jeu de Rebecca Madère l'actrice qui a indéniablement du talent
Tout sonne faux dans ce film : les jeunes de 1942 qui parlent comme des banlieusards de 2022. Les décors totalement impersonnels pour ne pas faire de reconstitution d'époque, la grand mère avec ses lunettes et sa coupe de cheveux bien modernes et ses fringues qu'on dirait achetées au marché d'Aubervilliers ... L'histoire m'a paru touchante, c'est la réalisation qui est nulle.
Gentil petit film mais pas tout à fait abouti malgré le charme indéniable de ses jeunes acteurs Sandrine Kiberlain malgré sa volonté de bien faire n'est pas réalisatrice et cela ce voit à l'écran dans l'histoire comme dans les dialogues
Curieux film, particulièrement culotté, que ce premier essai de Sandrine Kiberlain.
Une jeune fille qui va bien est basé sur un principe pas si courant au cinéma : on suit une histoire commune (une jeune fille est amoureuse, et nourrit beaucoup d'espoir pour l'avenir), tout en connaissant le contexte historique de l'histoire que nous découvrons, alors que les personnages, eux, en ignore tout.
Nous savons l'horreur de ce qui attend Irène et sa famille, mais pendant une demi-heure, rien n'arrive de spécifique concernant cette famille juive prise dans le vif de son quotidien de 1942. L'identification de l'époque n'est pas évidente. Cela rend d'autant plus touchant la manière dont les premières mesures anti-juives viennent heurter le récit d'apprentissage qui nous est présenté.
L'ensemble du film, et son principe fondateur à la fois léger et casse-gueule, ne fonctionne que par la grâce d'un casting plus que parfait : Rebecca Marder est absolument époustouflante, André Marcon parfait, Anthony Bajon convaincant à l'extrême (comme d'habitude...) et Françoise Widhoff génialement attendrissante en grand-mère compréhensive.
Un film délicat subtil qui n est pas sans rappeler le cinéma d Eric Rohmer. Un casting sans faute et une interprétation de haute volée pour les quatre personnages principaux . Le choix de la cinéaste de montrer le désir, la passion, l innocence qui transcendent les événements historiques est judicieux et remarquablement efficace.
Tous les personnages sont campés par de brillants comédiens ; on sent aussi la patte de la Comédie Française.
Irène, cette jeune fille qui vit sa jeunesse en croquant la vie à pleines dents, est remarquable.
Sandrine Kimberlain nous offre un film très différent de ceux portant sur la question juive. C'est frais, joyeux, avec, à travers les yeux de l'héroïne pleine de vie, la promesse d'un avenir certain et sans ombre. spoiler: Seuls sont montrés les débuts du "marquage identitaire juif" et les premiers regards malveillants.
L'horreur du sort réservé aux juifs en est encore plus brutale et spoiler: est bien démontrée mais en finesse (comme l'ensemble du film d'ailleurs) à la dernière image du film . Bravo et merci à Sandrine Kimberlain pour cet autre regard sur cette page d'Histoire tragique.