Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Le premier long-métrage écrit et réalisé par Sandrine Kiberlain est d’une beauté renversante. Un hymne fervent — en un temps de menace et de mort — à la vie, la jeunesse et l’amour du théâtre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Portrait d'une jeunesse pendant l'Occupation, « Une jeune fille qui va bien » reconstitue l'enfer dans des couleurs d'été. Après une trentaine d'années devant les caméras, Sandrine Kiberlain réussit son premier long-métrage de réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Transfuge
par Serge Kaganski
Porté par des actrices et acteurs magnifiques, Une Jeune fille qui va bien mélange des traces de l’autobiographie de Sandrine Kiberlain (les cours d’art dramatique) et de la biographie réinventée de ses ascendants (l’Occupation) : une réussite superbe et délicate, un film qui va bien.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Une jeune fille qui va bien » offre un rôle magnifique à Rebecca Marder.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Le passage de Sandrine Kiberlain derrière la caméra est une réussite. Son film est incroyable de justesse et d'intelligence, que ce soit à travers sa mise en scène, son écriture ou le talent de sa distribution.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Sandrine Kiberlain, pour son premier film, fait de Rebecca Marder, en toute délicatesse, "Une jeune fille qui va bien (...).
Femme Actuelle
par La Rédaction
(...) un fort impact émotionnel, renforcé par le charme fou de Rebecca Marder.
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Un beau portrait filmé avec justesse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Etienne Sorin
On ne sait pas si Une jeune fille qui va bien , sélectionné à la Semaine de la critique au dernier Festival de Cannes, est un «film d’actrice», catégorie floue et fourre-tout. C’est en tout cas un film qui ressemble à son auteur, léger et grave, solaire et douloureux, fragile et fort.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Dans son premier long-métrage derrière la caméra, l’actrice propose un regard neuf et déchirant sur l’Occupation, à travers le portrait d’une amoureuse de la vie de 19 ans, juive.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Un récit intimiste, délicat et très tenu - presque trop - de la tragédie de l’occupation nazie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette fiction sensible prouve que l’actrice n’a rien perdu de son exigence en passant derrière la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le tout fait que ce premier film est une réussite. Une proposition qui fait évidemment penser aux journaux d'Anne Frank et d’Hélène Berr.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
C’est à la fois grave et lumineux, très personnel et tristement moderne.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O’Neill
Un premier long métrage, classique, élégant et subtil.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Pour son premier long-métrage derrière la caméra, Sandrine Kiberlain signe, avec une maîtrise impressionnante et une sensibilité constante (la pulsion de vie de son héroïne palpite à chaque plan), un très beau film.
Télérama
par Frédéric Strauss
Car ce portrait inoubliable, entre ombre et lumière, semble porté par la légèreté d’Irène, sa force et son courage d’aller bien. Le titre a la résonance d’un message de résistance éternel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une fable tragique et bouleversante.
L'Obs
par Sophie Grassin
Abrupt, le finale décoche une flèche au cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Sandrine Kiberlain, une des actrices les plus attachantes du cinéma français, passe pour la première fois derrière la caméra pour raconter, avec sensibilité et sans pathos, la Shoah à travers le portrait d'une jeune fille candide et optimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Une jeune fille qui va bien ne cherche pas à reconstituer le passé, qui est aussi l’histoire familiale de Kiberlain. Il est au contraire dans l’épure, sans cesse animé par une forme de présent permanent menacé à tout moment de s’interrompre, de se dérober sous les pas pressés d’Irène, et qu’enfin elle s’écroule pour de bon.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Anne Diatkine
Le pari de Sandrine Kiberlain est ardu : conjuguer la fougue et la légèreté de la jeunesse avec la tragédie historique, sans que celle-ci ne soit directement perceptible au risque de faire basculer son film dans une tonalité parfois un chouïa trop ténue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Avec au cœur de cet équilibre vibrant, Rebecca Marder, une comédienne époustouflante, dont l’intensité, la vista comique, la cinégénie et la profondeur sont un enchantement de chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Cette chronique d’une apprentie comédienne juive sous l’Occupation séduit par son ton juste et sa maîtrise du hors-champ. Le premier long métrage en tant que réalisatrice de Sandrine Kiberlain est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Est-ce dû à la volonté de maintenir l’horreur hors champ jusqu’à la dernière scène ? Volon- tariste, la vitalité se fige et Une jeune fille qui va bien ne s’extirpe jamais du « film d’époque » fatigué. De cette terrible montée du fascisme – où les individus sont classés, essentialisés –, on ne reçoit qu’un écho amoindri.
La Croix
par Céline Rouden
L’actrice signe un film touchant mais maladroit sur une jeune juive bien décidée à vivre sa jeunesse malgré la menace de l’occupant allemand.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Murielle Joudet
Le premier film de Sandrine Kiberlain dérange par son désancrage historique excessif.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sandrine Kiberlain a choisi de se placer derrière la caméra pour un film consacré à une jeune fille passionnée de théâtre sous l’Occupation.
Bande à part
Le premier long-métrage écrit et réalisé par Sandrine Kiberlain est d’une beauté renversante. Un hymne fervent — en un temps de menace et de mort — à la vie, la jeunesse et l’amour du théâtre.
Les Echos
Portrait d'une jeunesse pendant l'Occupation, « Une jeune fille qui va bien » reconstitue l'enfer dans des couleurs d'été. Après une trentaine d'années devant les caméras, Sandrine Kiberlain réussit son premier long-métrage de réalisatrice.
Transfuge
Porté par des actrices et acteurs magnifiques, Une Jeune fille qui va bien mélange des traces de l’autobiographie de Sandrine Kiberlain (les cours d’art dramatique) et de la biographie réinventée de ses ascendants (l’Occupation) : une réussite superbe et délicate, un film qui va bien.
20 Minutes
« Une jeune fille qui va bien » offre un rôle magnifique à Rebecca Marder.
Ecran Large
Le passage de Sandrine Kiberlain derrière la caméra est une réussite. Son film est incroyable de justesse et d'intelligence, que ce soit à travers sa mise en scène, son écriture ou le talent de sa distribution.
Elle
Sandrine Kiberlain, pour son premier film, fait de Rebecca Marder, en toute délicatesse, "Une jeune fille qui va bien (...).
Femme Actuelle
(...) un fort impact émotionnel, renforcé par le charme fou de Rebecca Marder.
Franceinfo Culture
Un beau portrait filmé avec justesse.
Le Figaro
On ne sait pas si Une jeune fille qui va bien , sélectionné à la Semaine de la critique au dernier Festival de Cannes, est un «film d’actrice», catégorie floue et fourre-tout. C’est en tout cas un film qui ressemble à son auteur, léger et grave, solaire et douloureux, fragile et fort.
Le Parisien
Dans son premier long-métrage derrière la caméra, l’actrice propose un regard neuf et déchirant sur l’Occupation, à travers le portrait d’une amoureuse de la vie de 19 ans, juive.
Les Fiches du Cinéma
Un récit intimiste, délicat et très tenu - presque trop - de la tragédie de l’occupation nazie.
Marianne
Cette fiction sensible prouve que l’actrice n’a rien perdu de son exigence en passant derrière la caméra.
Ouest France
Le tout fait que ce premier film est une réussite. Une proposition qui fait évidemment penser aux journaux d'Anne Frank et d’Hélène Berr.
Paris Match
C’est à la fois grave et lumineux, très personnel et tristement moderne.
Positif
Un premier long métrage, classique, élégant et subtil.
Télé 7 Jours
Pour son premier long-métrage derrière la caméra, Sandrine Kiberlain signe, avec une maîtrise impressionnante et une sensibilité constante (la pulsion de vie de son héroïne palpite à chaque plan), un très beau film.
Télérama
Car ce portrait inoubliable, entre ombre et lumière, semble porté par la légèreté d’Irène, sa force et son courage d’aller bien. Le titre a la résonance d’un message de résistance éternel.
Voici
Une fable tragique et bouleversante.
L'Obs
Abrupt, le finale décoche une flèche au cœur.
Le Journal du Dimanche
Sandrine Kiberlain, une des actrices les plus attachantes du cinéma français, passe pour la première fois derrière la caméra pour raconter, avec sensibilité et sans pathos, la Shoah à travers le portrait d'une jeune fille candide et optimiste.
Les Inrockuptibles
Une jeune fille qui va bien ne cherche pas à reconstituer le passé, qui est aussi l’histoire familiale de Kiberlain. Il est au contraire dans l’épure, sans cesse animé par une forme de présent permanent menacé à tout moment de s’interrompre, de se dérober sous les pas pressés d’Irène, et qu’enfin elle s’écroule pour de bon.
Libération
Le pari de Sandrine Kiberlain est ardu : conjuguer la fougue et la légèreté de la jeunesse avec la tragédie historique, sans que celle-ci ne soit directement perceptible au risque de faire basculer son film dans une tonalité parfois un chouïa trop ténue.
Première
Avec au cœur de cet équilibre vibrant, Rebecca Marder, une comédienne époustouflante, dont l’intensité, la vista comique, la cinégénie et la profondeur sont un enchantement de chaque instant.
aVoir-aLire.com
Cette chronique d’une apprentie comédienne juive sous l’Occupation séduit par son ton juste et sa maîtrise du hors-champ. Le premier long métrage en tant que réalisatrice de Sandrine Kiberlain est une réussite.
Cahiers du Cinéma
Est-ce dû à la volonté de maintenir l’horreur hors champ jusqu’à la dernière scène ? Volon- tariste, la vitalité se fige et Une jeune fille qui va bien ne s’extirpe jamais du « film d’époque » fatigué. De cette terrible montée du fascisme – où les individus sont classés, essentialisés –, on ne reçoit qu’un écho amoindri.
La Croix
L’actrice signe un film touchant mais maladroit sur une jeune juive bien décidée à vivre sa jeunesse malgré la menace de l’occupant allemand.
Le Monde
Le premier film de Sandrine Kiberlain dérange par son désancrage historique excessif.
Sud Ouest
Sandrine Kiberlain a choisi de se placer derrière la caméra pour un film consacré à une jeune fille passionnée de théâtre sous l’Occupation.