Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
En retraçant la mise en place du capitalisme industriel et international, amené à devenir la base de notre présent commun, Désordres capte aussi un instant d’affirmation des mouvances antinationalistes et antiautoritaires.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film frappe d’emblée par une inscription historique inhabituelle, tissant un riche réseau de sens, et sa façon de trancher avec les attendus romanesques du genre, par des plans aux points de vue flottants et décentrés, agglomérant la clameur collective comme celle les bruissements du monde alentour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film d’une beauté esthétique insigne, résonnant à plein avec notre rapport actuel au temps.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Dans un geste pointilliste délicieusement envoûtant, qui fonde sa matière autant sur ce qu’il montre à l’image que sur ce qu’il omet volontairement, Désordres explore les arcanes secrets d’une société en mutation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Le film, dans sa très grande intelligence, son sens mesuré de la dissension, mêle le géographique et le temporel, les limites à ne pas dépasser qui sont autant inscrites sur le sol que marquées par le tempo des horloges.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Cyril Schäublin rend sensible la domination paternaliste, le chantage feutré et les sourdes tensions qui composent le quotidien d’un écosystème.
L'Obs
par X.L.
Un film un peu trop pensé, mais intelligemment mis en images.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Une œuvre aussi intrigante que captivante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Aux ordres, Cyril Schäublin oppose, en conservant une sérénité tout helvétique, les désordres de la pensée anarchiste, dont la rencontre entre une ouvrière et un Pierre Kropotkine de passage propose une traduction apaisée, mais résolue. À rebours du cinéma de la démonstration, cette pudeur est salutaire.
Télérama
par Frédéric Strauss
Malgré une fiction minimaliste et des effets de cadrage parfois inutilement conceptuels, ce premier film fascine par la précision de son observation et la richesse de sa documentation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
En retraçant la mise en place du capitalisme industriel et international, amené à devenir la base de notre présent commun, Désordres capte aussi un instant d’affirmation des mouvances antinationalistes et antiautoritaires.
Le Monde
Le film frappe d’emblée par une inscription historique inhabituelle, tissant un riche réseau de sens, et sa façon de trancher avec les attendus romanesques du genre, par des plans aux points de vue flottants et décentrés, agglomérant la clameur collective comme celle les bruissements du monde alentour.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une beauté esthétique insigne, résonnant à plein avec notre rapport actuel au temps.
Les Inrockuptibles
Dans un geste pointilliste délicieusement envoûtant, qui fonde sa matière autant sur ce qu’il montre à l’image que sur ce qu’il omet volontairement, Désordres explore les arcanes secrets d’une société en mutation.
Libération
Le film, dans sa très grande intelligence, son sens mesuré de la dissension, mêle le géographique et le temporel, les limites à ne pas dépasser qui sont autant inscrites sur le sol que marquées par le tempo des horloges.
Positif
Cyril Schäublin rend sensible la domination paternaliste, le chantage feutré et les sourdes tensions qui composent le quotidien d’un écosystème.
L'Obs
Un film un peu trop pensé, mais intelligemment mis en images.
Première
Une œuvre aussi intrigante que captivante.
Transfuge
Aux ordres, Cyril Schäublin oppose, en conservant une sérénité tout helvétique, les désordres de la pensée anarchiste, dont la rencontre entre une ouvrière et un Pierre Kropotkine de passage propose une traduction apaisée, mais résolue. À rebours du cinéma de la démonstration, cette pudeur est salutaire.
Télérama
Malgré une fiction minimaliste et des effets de cadrage parfois inutilement conceptuels, ce premier film fascine par la précision de son observation et la richesse de sa documentation.