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A la fois puritaine et anti-fondamentaliste, Breillat dévoile el continent noir sans lui ôter son secret (...) La picturalité des images et l'intelligence littéraire des dialogues font mythe.
La mise en scène impressionne par des images d'une violence, d'une inspiration, d'une fulgurance, d'une précision, d'une expressivité qui rappellent le cinéma muet et font oublier le discours du film.
C'est un film théorique, qui a l'intelligence d'être joué comme tel, c'est-à-dire anatomique. Par deux acteurs que l'on n'avait jamais vus ainsi avant.
Comme Romance et Sex is comedy, Anatomie de l'enfer use de partis pris spectaculaires pour asséner quelques vérités essentielles sur les rapports standard entre les hommes et les femmes. La force du discours se nourrit d'un aboutissement esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Il faut être très sensible à l'oeuvre de Catherine Breillat (Romance, A ma soeur !...) pour vraiment apprécier Anatomie de l'enfer, car pour arriver à l'approcher il faut aller bien au-delà de la simple projection du film.
La critique complète est disponible sur le site Aden
C'est ici la rhétorique du scandale et de l'irrecevabilité qui, balisant d'avance toute réception possible, désarme la radicalité par le geste même de la claironner.
Le travail de Catherine Breillat sur les poses de ses acteurs, ses clins d'oeil à la peinture du Caravage, Amira Casar en odalisque à chair blanche apparaissent comme les stigmates d'un auteur qui signe un film aussi moral que transgressif.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Anatomie de l'enfer est (très) cru. Quelquefois drôle. Toujours intrépide. Pas mal énervant dans sa volonté obstinée d'épurer le récit au profit d'un discours incantatoire et péremptoire.
Cette fois néanmoins, la cinéaste est allée trop loin. Non dans la provocation ou le discours, mais dans ce registre dictatorial, ce fascisme qui, selon elle, serait propre au dispositif cinématographique. Si le cinéma est un art de pouvoir, et il l'est ici, nous sommes en droit de nous en libérer et choisir de ni voir ni écouter.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le spectateur, lui aussi, contemple (...) prisonnier du dispositif mis en place par la réalisatrice autopromue penseuse, assommé par une voix off logorrhéique, interminable enfilade de lieux communs dont la sottise satisfaite rivalise avec la prétention.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cinéastes
A la fois puritaine et anti-fondamentaliste, Breillat dévoile el continent noir sans lui ôter son secret (...) La picturalité des images et l'intelligence littéraire des dialogues font mythe.
L'Humanité
Catherine Breillat s'emploie à peindre sur les ténèbres de l'obscurantisme une oeuvre poétique qui tire sa force de son architecture implacable.
Les Inrockuptibles
La mise en scène impressionne par des images d'une violence, d'une inspiration, d'une fulgurance, d'une précision, d'une expressivité qui rappellent le cinéma muet et font oublier le discours du film.
Libération
C'est un film théorique, qui a l'intelligence d'être joué comme tel, c'est-à-dire anatomique. Par deux acteurs que l'on n'avait jamais vus ainsi avant.
Positif
Comme Romance et Sex is comedy, Anatomie de l'enfer use de partis pris spectaculaires pour asséner quelques vérités essentielles sur les rapports standard entre les hommes et les femmes. La force du discours se nourrit d'un aboutissement esthétique.
Aden
Il faut être très sensible à l'oeuvre de Catherine Breillat (Romance, A ma soeur !...) pour vraiment apprécier Anatomie de l'enfer, car pour arriver à l'approcher il faut aller bien au-delà de la simple projection du film.
Cahiers du Cinéma
C'est ici la rhétorique du scandale et de l'irrecevabilité qui, balisant d'avance toute réception possible, désarme la radicalité par le geste même de la claironner.
Le Monde
Le travail de Catherine Breillat sur les poses de ses acteurs, ses clins d'oeil à la peinture du Caravage, Amira Casar en odalisque à chair blanche apparaissent comme les stigmates d'un auteur qui signe un film aussi moral que transgressif.
Première
Anatomie de l'enfer est (très) cru. Quelquefois drôle. Toujours intrépide. Pas mal énervant dans sa volonté obstinée d'épurer le récit au profit d'un discours incantatoire et péremptoire.
aVoir-aLire.com
Une position extrême qui montre qu'avec ce dixième film Catherine Breillat n'a pas résolu la question de la féminité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Cette fois néanmoins, la cinéaste est allée trop loin. Non dans la provocation ou le discours, mais dans ce registre dictatorial, ce fascisme qui, selon elle, serait propre au dispositif cinématographique. Si le cinéma est un art de pouvoir, et il l'est ici, nous sommes en droit de nous en libérer et choisir de ni voir ni écouter.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Le spectateur, lui aussi, contemple (...) prisonnier du dispositif mis en place par la réalisatrice autopromue penseuse, assommé par une voix off logorrhéique, interminable enfilade de lieux communs dont la sottise satisfaite rivalise avec la prétention.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Ce conte pour adultes en quatre nuits finit par lasser sérieusement tant le film est froid, clinique et sans saveur.
TéléCinéObs
(...) le premier éclat de rire de votre année 2004 (à condition d'avoir beaucoup d'humour).
Télérama
Pas inintéressant à entendre. Mais pas comme ça. Pas par cette installation " branchouille " qui ne provoque qu'ennui.
aVoir-aLire.com
Concentré ravageur de nombreuses années de bouillonnement psy, Anatomie de l'enfer est une oeuvre inadmissible (...)