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Un visiteur
4,5
Publiée le 8 mai 2022
Que dire de ce film à part que pour moi cela a été un BEAU remerciement et un BEL HOMMAGE AUX POMPIERS qui ont SAUVES ce bel EDIFICE car sans eux il aurait sûrement entièrement brûlé Lorsque l'on voit le "bordel' qu'il y a dans la capitale on se demande vraiment comment ils ont fait !!!!! D'ailleurs je pense que je n'étais pas la seule à avoir ADORE ce film car nous étions TOUS DEBOUT et TOUS à applaudir ce film ou les pompiers (à vous de voir)
Un très beau film. Je recommande. J'avais hésité à y aller car je pensais qu’il s'agissait d'un documentaire, je n'ai pas été déçue. On découvre Notre-Dame, on est plongé au cœur de la force dévastatrice d’un incendie, les images sont époustouflantes. Je salue l’effort de reconstitution et le travail de mise en scène. Les dysfonctionnements rapportés laissent perplexes, la catastrophe aurait pu être évitée.... Notre-Dame est passée à un fil de la destruction et je salue tout particulièrement le courage et la ténacité des pompiers qui ont réussi à sauver ce magnifique bâtiment. .
Plus jamais çà! Quand on voit ce film on découvre l'arbre des causes de ce drame horrible qui a choqué le monde par cet incendie de Notre-Dame de Paris. Le réalisateur Jean-Jacques Annaud arrive à trouver un rythme digne des plus grands films de catastrophe à travers un montage subtil et un décor trés réaliste, et tout cela sous une pression constante et bien menée. Ce qui est mis en avant c'est le courage surtout de la Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris à vaincre ce feu malgré les problématiques structurelles parisiennes bien exposées dans ce film avec notamment la cohabitation des moyens de circuler sur Paris qui est infernale vu le nombre de personnes y circulant et le peu de place pour y circuler. On est effaré par les défaillances qui ont conduit à ce drame et toutes les problématiques rencontrées par la Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris. Plus jamais çà c'est surtout pour dénoncer cet incendie qui aurait dû être évité, l'incendie s'est déroulé en 2019, une année où on devrait être dotée d'une technologie développé et non vétuste, comment peut-on en arriver là, et comment arriver ce que cela ne se produise plus ? Ce film doit servir de témoignage et de mémoire collective pour nous rappeler qu'un monument historique telle que Notre-Dame de Paris doit être muni dune meilleure protection avec notamment de meilleurs outils technologiques qui doivent être vérifiés et régulièrement contrôlés pour assurer une meilleure confiance et plus de sérénité sur cette cathédrale qui est l'un des monuments les plus emblématiques de Paris et de la France. Plus jamais çà!
Malgré un dénouement connu, le film est bluffant car on revient à l’essence même du cinéma, l’illusion. On a beau savoir qu’il s’agit d’une reconstitution, d’un tournage en studio, le film est crédible ; il l’est par son côté documentaire (énoncé des causes probables de l’incendie tel qu’un mégot mal éteint d’un ouvrier travaillant à la restauration de l’édifice, malgré l’interdiction de fumer, système électrique vétuste, provoquant des fausses alarmes sans qu’aucune mesure ne soit prise, difficulté de circulation des pompiers pour se rendre sur les lieux alors que leur caserne n’est qu’à 850 m) et par sa narration chronologique mais cela demeure un film de fiction avec des acteurs, un montage et même quelques touches d’humour (malgré la gravité de la situation).
Un film qui vous saisit dès la première seconde par son actualité. Chaque scène est plus haletante que la précédente. Histoire reproduisant bien le stress qui s'empara de Paris dans ce moment d'histoire.
Dommage aue ce flim n'est pas sur hazebrouck pour ce aui ne peut pas aller dans les autre cinema mais autrement je adore ce flim je vais le voir avec na classe as Armermentier mais il juste pour la classe apres il ne reste pas dans le cinema
Ce film m'a tenu en haleine de bout en bout et suscité des moments d'émotions intenses. J'ai trouvé la mise en scène brillante et le réalisme très réussi de ce drame; mais je n'en attendais pas moins de Jean Jacques Annaud dont j'apprécie depuis très longtemps le travail de réalisateur.
Le 15 avril 2019 est une date marquée d'une pierre blanche... noircie par la suie : l'incendie de Notre Dame est l'un des évènements récents qui a le plus marqué les Français. lorsque j'ai appris la réalisation d'un film sur ce fait divers, j'étais plutôt sceptique, craignant un film étayant des thèses complotistes à grand spectacle. Quand on apprend que c'est Jean-Jacques Annaud, un metteur en scène talentueux, on se sent un peu soulagé. Le long métrage est au final un film qui s'intéresse surtout au travail des pompiers, de leur courage et leur dévouement, avec des acteurs pas ou peu connus, un choix du cinéaste assez bien vu, pour qu'un acteur célèbre ne vole pas la vedette à la véritable vedette, c'est à dire Notre Dame. Le résultat est excellent, et on peut dire que le réalisateur a réussi sa "Guerre contre le feu"
Notre Dame brûle brille par sa réalisation très réaliste et ressemblant à un documentaire. Il rend surtout hommage au pompiers ayant combattut le feu. Le point noir du film,c'est qu'il est répétitif du coup un sentiment de lassitude s'installe au bout d'une heure de film.
Dans ce spectaculaire opus, Jean-Jacques Annaud rend un bel hommage à l’héroïsme des pompiers de Paris, qui ont sauvé la cathédrale mythique d’une destruction annoncée. J’avais suivi l’incendie à la télé française, le cœur serré et les larmes aux yeux. J’étais à Paris. J’étais même passé tout près de Notre-Dame en après-midi. En me rendant au cinéma, je me demandais si le réalisateur de « La guerre du feu » était parvenu à rendre cette émotion qui s’était propagée, en quelques heures, presque à la terre entière. Eh bien oui ! En mêlant brillamment films d’archive et reconstitutions, Annaud réussit à faire revivre la conflagration. On a l’impression d’y être. Il faut dire qu’il pouvait compter sur des artisans exceptionnels et sur une équipe technique hors pair. Quand on voit le film, ce qui frappe, outre le courage des sapeurs, c’est ce que le cinéaste appelle la « fascinante cascade de contretemps, d’obstacles, de dysfonctionnements ». « Du pur invraisemblable, lance-t-il, mais vrai ! » Je comprends qu’Annaud y ait vu immédiatement tous les éléments d’un scénario de fiction. Bien sûr, on peut reprocher à sa réalisation quelques scènes un peu mièvres, des moments un peu répétitifs, une musique parfois tonitruante. Mais dans l’ensemble, quelle maestria ! Une belle réussite, vraiment !
Revenir si tôt sur un drame qui a bouleversé le monde par sa valeur symbolique était peut-être risqué de la part de Jean-Jacques Annaud. Lui qui sort d’une traversée du désert de près de dix ans, parsemée de bides commerciaux et/ou artistiques dont le summum fut cette anomalie cinématographique qu’était « Sa majesté Minor ». Mais il faut rappeler que l’incendie qui a ravagé l’un des monuments les plus visités au monde, Notre-Dame de Paris, n’a fait aucune victime. Rien à voir donc, par exemple, avec les attentats du 11 septembre 2001 (le « World Trade Center » d’Oliver Stone ou le « Vol 93 » de Paul Greengrass avaient fait grincer des dents et choquer certaines familles de victimes à l’époque car trop frais dans les mémoires) ou avec ceux de Paris du 13 novembre, dont le souvenir trop vif a fait reporter ou annuler certains projets jugés trop opportunistes et sujets à discorde. Ici, c’est de la pierre et « Notre-Dame brûle » peut se voir autant comme une reconstitution de cet impressionnant spectacle de désolation dont tout le monde se souvient que comme un hommage appuyé au travail des pompiers. Dans les deux cas, c’est un pari gagné dans les grandes lignes.
Dans les grandes lignes seulement car « Notre-Dame brûle » souffre de quelques maladresses flirtant parfois avec le ridicule ou le malvenu et de certaines lourdeurs inhérentes à ce type de projet que l’on pourrait qualifier de commémoratif. Dans la première catégorie on note certaines séquences comme celles concernant la vieille dame et son chat ou la réaction de Trump sur Twitter, toutes deux totalement hors propos. Quant à la seconde, on pense à cette séquence niaise au possible avec la petite fille et sa bougie mais aussi un excès de symbolisme parfois gênant (la Vierge qui pleure en est le parfait exemple). On ne savait pas Annaud si candide. Pour le reste, l’émotion vient plutôt de ces parisiens chantant en cœur des chants chrétiens ou de ce prêtre remerciant Dieu d’avoir sauvé la Couronne d’épines. Plus réaliste, plus concret, plus vrai et touchant. De plus, le film est très instructif aussi bien sur la manière dont s’est déroulé le drame mais aussi sur le fonctionnement d’un tel monument. On est presque dans le documentaire.
Et c’est ce choix du cinéaste de se positionner entre la fiction et le documentaire qui permet au long-métrage de cocher toutes les cases de la réussite. Si, dans ce contexte de film presque catastrophe, il s’était plongé dans une pure fiction avec éventuellement une histoire d’amour à la clé à la « Titanic », il y avait de fortes probabilités de sombrer dans un pathos de mauvais aloi. Quant à un pur documentaire, on aurait eu une impression de déjà-vu (la télévision s’en est chargée) et un manque d’émotion. Cet entre-deux s’avère donc l’angle privilégié à raison. Le fait de prendre des acteurs non-professionnels ou méconnus renforce le sentiment d’identification et c’est bien vu. En mêlant également reconstitution très réussie grâce à d’excellents effets spéciaux et des images d’archives ou réelles, Annaud trouve le bon équilibre et rend son film spectaculaire et immersif. On n’a pas le temps de souffler et de voir comment toute cette suite d’infimes événements a pu aboutir à un tel désastre est passionnant. Annaud a réussi un retour fracassant, certes non dénué de défauts, mais qui vaut clairement le coup d’œil.
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Excellent film de Jean-Jacques Arnaud! Une petite larme est coulée sur la joue de ma mamie, en même temps que la Vierge du film, ayant longtemps connu Notre-Dame de Paris. Chef d'œuvre à aller voir en famille. 4.85326/5 ;)
Points + : 1) C'est un film instructif sur les difficultés rencontrées par les pompiers tout au long de leur intervention, sur le déroulé des événements en général. C'est un travail minutieux de reconstitution des faits et le film rend hommage au courage des pompiers. 2) C'est visuellement impressionnant et spectaculaire (le feu est très "télégénique"), c'est presque un spectacle immersif tant on a l'impression d'être au cœur de l'action. Points - : 1) Jean-Jacques Annaud en fait un spectacle à l'américaine, avec ses défauts, notamment : - des scènes tire-larmes qui se veulent maladroitement attendrissantes (la petite fille qui veut allumer sa bougie, le chat sur le toit,...). - des scènes très cucul la praline (la foule de spectateurs qui chante des prières tout autour de Notre-Dame en flammes). - une interprétation moyenne qui sonne faux dans certaines scènes, c'est joué par des acteurs globalement transparents (au niveau d'un téléfilm). Plus généralement, il y a un manque de subtilité dans l'interprétation et les dialogues (trop surlignés), comme dans de nombreux films américains. 2) Le film passe rapidement sur les origines possibles de l'incendie...et les hypothèses avancées ne sont pas très crédibles (mégot de cigarette, nids de pigeons, court-circuit).
Il y a un peu deux oeuvres en une. L'aspect docu-fiction qui explique l’enchainement des faits, bien documenté, mêlant prises de vues réelles et prises de cinéma, très bien fait. Et il y a une tentative de romancer le tout en ajoutant des scènes que je qualifierai de maladroites (et non pas ridicules comme certains vont jusqu'à dire), comme la fameuse "larme" qui coule sur la joue de la statue (dans la bande-annonce) et d'autres scènes vaguement mystiques. Là, on croirait plutôt qu'on a voulu essayer de raccrocher certains types de publics. J'aurais préféré un vrai documentaire à 100% que quelque chose d'hybride. Quoi qu'il en soit, l'hommage aux pompiers et aux intervenants du patrimoine pendant l'incendie est réel et ce qui importe.