Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Azor, avec humilité, élit [...] l’atemporel non pour bomber le torse sur le plan formel ou mythologique, mais pour saisir la triste constance de la reproduction sociale et financière qui, aussi exacte que la révolution des astres, est un azur livide.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Un premier long métrage intense et déconcertant, parfois agaçant, qui propose une vision du thriller originale et parfaitement maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Le premier long métrage du Suisso-Argentin Andreas Fontana se présente sous forme d’énigme, de jeux de mots, de message chiffré. [...] C’est un film périlleux sur l’ennui, qui s’approche sans chercher à le percer le langage secret des banques privées et des colons, des propriétaires terriens et des spéculateurs, la langue des affairistes, des ecclésiastiques, à chacun son pouvoir et son autorité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
Mariano Llinás a coécrit ce récit labyrinthique qui tire sa force d’un minimalisme aussi puissamment suggestif que les atmosphères sonores qui imprègnent le film.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Très habilement, le film manie des éléments d’intrigue politico-financière mais, par son rythme indolent, sa plongée dans la bulle calfeutrée du pouvoir, ses lieux à la fadeur entretenue, où ne percent jamais les échos du monde, il ressemble plutôt aux pièges de fiction tissés par un Jorge Luis Borges, ou les feuilletons de Gustave Le Rouge.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film envoûtant, romanesque et politique, aussi effrayant que drolatique dans sa description d’un univers dément, cruel, qui semble avoir été inventé par un vieil écrivain plein d’imagination
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Michel Bezbakh
Le réalisateur, dont c’est le premier long métrage, fait le pari de nous captiver avec un rythme lent, des plans fixes, un drôle d’univers sonore… Il y parvient parfois, malgré un scénario qui ne convainc qu’à moitié.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Un bel exemple de thriller, que l’on pourrait qualifier de politico-bancaire, qui dit beaucoup sur le pouvoir de l’argent tout en ne montrant quasiment rien !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thierry Chèze
Le film épouse l’obsession du secret qui lie ses protagonistes mais si on se laisse embarquer par son atmosphère intrigante et feutrée, il se trouve peu à peu abîmé par une cérébralité mal domptée et un sentiment d’artificialité qui rend sa dernière ligne frustrante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Azor, avec humilité, élit [...] l’atemporel non pour bomber le torse sur le plan formel ou mythologique, mais pour saisir la triste constance de la reproduction sociale et financière qui, aussi exacte que la révolution des astres, est un azur livide.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage intense et déconcertant, parfois agaçant, qui propose une vision du thriller originale et parfaitement maîtrisée.
Libération
Le premier long métrage du Suisso-Argentin Andreas Fontana se présente sous forme d’énigme, de jeux de mots, de message chiffré. [...] C’est un film périlleux sur l’ennui, qui s’approche sans chercher à le percer le langage secret des banques privées et des colons, des propriétaires terriens et des spéculateurs, la langue des affairistes, des ecclésiastiques, à chacun son pouvoir et son autorité.
Positif
Mariano Llinás a coécrit ce récit labyrinthique qui tire sa force d’un minimalisme aussi puissamment suggestif que les atmosphères sonores qui imprègnent le film.
Le Monde
Très habilement, le film manie des éléments d’intrigue politico-financière mais, par son rythme indolent, sa plongée dans la bulle calfeutrée du pouvoir, ses lieux à la fadeur entretenue, où ne percent jamais les échos du monde, il ressemble plutôt aux pièges de fiction tissés par un Jorge Luis Borges, ou les feuilletons de Gustave Le Rouge.
Les Inrockuptibles
Un film envoûtant, romanesque et politique, aussi effrayant que drolatique dans sa description d’un univers dément, cruel, qui semble avoir été inventé par un vieil écrivain plein d’imagination
Télérama
Le réalisateur, dont c’est le premier long métrage, fait le pari de nous captiver avec un rythme lent, des plans fixes, un drôle d’univers sonore… Il y parvient parfois, malgré un scénario qui ne convainc qu’à moitié.
aVoir-aLire.com
Un bel exemple de thriller, que l’on pourrait qualifier de politico-bancaire, qui dit beaucoup sur le pouvoir de l’argent tout en ne montrant quasiment rien !
Première
Le film épouse l’obsession du secret qui lie ses protagonistes mais si on se laisse embarquer par son atmosphère intrigante et feutrée, il se trouve peu à peu abîmé par une cérébralité mal domptée et un sentiment d’artificialité qui rend sa dernière ligne frustrante.