Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Une plongée scientifique autant qu’existentielle où la vie et la mort s’enlacent sans relâche. Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Ce serait mentir de dire que le documentaire se regarde sans souffrance. Il s’adresse à autre chose qu’à nos affects ou à notre rétine, c’est notre corps tout entier qu’il remue. Notre corps, mais aussi le corps de la salle de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Des images véritablement sidérantes et pas toujours simples à appréhender mais qui, loin de tout sensationnalisme, débordent d’une incroyable humanité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Le film est beau mais il est d’une force inédite, et je n’ai jamais rien vu de ma vie d’aussi stupéfiant, d’aussi puissant que De Humani Corporis Fabrica.
Télérama
par Jérémie Couston
Ce voyage d’une beauté terrifiante, aux confins de l’abstraction, met au jour une terra incognita où les cellules cancéreuses observées au microscope deviennent des tableaux de Pollock. Et le gore de se muer en poésie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Bombarda
De Humani Corporis Fabrica est un voyage souvent insoutenable à l’intérieur du corps humain, se révélant néanmoins inédit et essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Véréna Paravel et Lucien Castaing-Taylor explorent l’humain comme personne encore, entre pragmatisme et spiritualité, corporéité et fantastique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Corentin Lê
De Humani Corporis Fabrica est autant un film sur le corps humain que sur le regard que nous posons sur lui.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par É. S.
Anatomie du corps humain à travers plusieurs opérations à l'hôpital, filmé de l'extérieur comme de l'intérieur. Entre une chirurgie de l'œil, la dissection d'un sein cancéreux et une césarienne, une expérience impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Eithne O’Neill
Si l’approche peut faire vaciller le spectateur hypersensible à la vue du sang, à aucun moment l’humanité du patient n’est oubliée.
L'Obs
par N. S.
Nul propos dans cette œuvre horrifique focalisée sur la dimension sépulcrale de l’AP-HP, mais une quête esthétique, encensée lors de sa présentation à la Quinzaine des Réalisateurs, qui frise la pornographie médicale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
On entre dans le film comme on entrerait dans un trou noir.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
« De Humani Corporis Fabrica » est une expérience longue, éprouvante, vraiment pas recommandé aux yeux sensibles. Pour les plus téméraires néanmoins, ce film ne ressemble à aucun autre dans son exploration du corps humain.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Plongée étourdissante dans les entrailles du monde hospitalier et de tous les corps qui l’habitent ou le traversent, le nouveau documentaire de Paravel et Castaing-Taylor offre une expérience aussi fascinante qu’éprouvante, quoique systématique dans la forme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Jérôme Momcilovic
S’il ne manque pas d’être saisissant, De humani corporis fabrica fait par moments l’impression triste d’un film déjà fait avant d’être tourné, et inévitablement blasé au spectacle de ses propres images.
Le Monde
par J. Ma.
L’affectation de ces images à la considération esthétique est, de fait, un coup de force, un geste délibéré de détournement et de transgression, dont on avoue ne pas comprendre les fins.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
Une plongée scientifique autant qu’existentielle où la vie et la mort s’enlacent sans relâche. Fascinant.
Les Inrockuptibles
Ce serait mentir de dire que le documentaire se regarde sans souffrance. Il s’adresse à autre chose qu’à nos affects ou à notre rétine, c’est notre corps tout entier qu’il remue. Notre corps, mais aussi le corps de la salle de cinéma.
Libération
Des images véritablement sidérantes et pas toujours simples à appréhender mais qui, loin de tout sensationnalisme, débordent d’une incroyable humanité.
Transfuge
Le film est beau mais il est d’une force inédite, et je n’ai jamais rien vu de ma vie d’aussi stupéfiant, d’aussi puissant que De Humani Corporis Fabrica.
Télérama
Ce voyage d’une beauté terrifiante, aux confins de l’abstraction, met au jour une terra incognita où les cellules cancéreuses observées au microscope deviennent des tableaux de Pollock. Et le gore de se muer en poésie.
Bande à part
De Humani Corporis Fabrica est un voyage souvent insoutenable à l’intérieur du corps humain, se révélant néanmoins inédit et essentiel.
CinemaTeaser
Véréna Paravel et Lucien Castaing-Taylor explorent l’humain comme personne encore, entre pragmatisme et spiritualité, corporéité et fantastique.
Critikat.com
De Humani Corporis Fabrica est autant un film sur le corps humain que sur le regard que nous posons sur lui.
Le Figaro
Anatomie du corps humain à travers plusieurs opérations à l'hôpital, filmé de l'extérieur comme de l'intérieur. Entre une chirurgie de l'œil, la dissection d'un sein cancéreux et une césarienne, une expérience impressionnante.
Positif
Si l’approche peut faire vaciller le spectateur hypersensible à la vue du sang, à aucun moment l’humanité du patient n’est oubliée.
L'Obs
Nul propos dans cette œuvre horrifique focalisée sur la dimension sépulcrale de l’AP-HP, mais une quête esthétique, encensée lors de sa présentation à la Quinzaine des Réalisateurs, qui frise la pornographie médicale.
La Septième Obsession
On entre dans le film comme on entrerait dans un trou noir.
Les Echos
« De Humani Corporis Fabrica » est une expérience longue, éprouvante, vraiment pas recommandé aux yeux sensibles. Pour les plus téméraires néanmoins, ce film ne ressemble à aucun autre dans son exploration du corps humain.
Les Fiches du Cinéma
Plongée étourdissante dans les entrailles du monde hospitalier et de tous les corps qui l’habitent ou le traversent, le nouveau documentaire de Paravel et Castaing-Taylor offre une expérience aussi fascinante qu’éprouvante, quoique systématique dans la forme.
Cahiers du Cinéma
S’il ne manque pas d’être saisissant, De humani corporis fabrica fait par moments l’impression triste d’un film déjà fait avant d’être tourné, et inévitablement blasé au spectacle de ses propres images.
Le Monde
L’affectation de ces images à la considération esthétique est, de fait, un coup de force, un geste délibéré de détournement et de transgression, dont on avoue ne pas comprendre les fins.