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Molenbeek,Daesh,Etat islamique,radicalisation ou le parcours de jeunes égarés et récupérés.
C'est très bien fait,il faut le voir pour mieux comprendre ce qui nous attend.
C'est très bien fait,il faut le voir pour mieux comprendre ce qui nous attend.
Cinememories
Alors que la Warner a récemment coupé l’élan du duo belge, Adil El Arbi et Bilall Fallah (Gangsta, Bad Boys For Life), sur « Batgirl », ces derniers peuvent toujours se consoler avec des projets plus personnels et en dehors du joug hollywoodien. Dans l’économie de moyens et de munitions, les cinéastes savent comment convoquer un certain degré d’authenticité, tout en laissant la caméra capter le spectaculaire au milieu de la tension. Ils partent pour une mission, pas tout à fit diplomatique, en remontant vers les heures sombres syriennes, en 2014. Entre la Belgique et ce drame national, on y découvre la douleur d’une famille, qui se divise afin de chercher des réponses. La culpabilité sera d’ailleurs nettement soulignée dans une ouverture froide et qui nous immerge immédiatement dans un monde dont la violence n’est plus à démentir.
A Molenbeek, c’est la routine tranquille, entre quelques plans foireux et vie de famille qui bat des ailes. Mais lorsqu’un drame pousse le fils aîné, Kamal (Aboubakr Bensaihi), à rejoindre la Syrie en guerre, puis les forces de Daesh, tout ce qu’il aura laissé derrière lui ne sera qu’un souvenir. Le montage joue pourtant sur une temporalité fragmentée et décalé, afin d’établir le portrait d’une famille sur deux fronts. La radicalisation frappe comme une massue sur un Kamal tenu en laisse et montre toute sa fourberie dans une écurie occidentale, plein d’enfants à recruter. Le miroir du mal passe simplement par les actes odieux des rebelles, où les exécutions et autres décapitations ne seront pas les seuls avertissements à ceux qui s’opposent à leur suprématie. Cela place également des femmes dans un business inhumain et rares son celles qui peuvent en témoigner. Le documentaire « Sinjar, naissance des fantômes » en tire de nombreux témoignages sur leur situation, du côté de la frontière irakienne et dans cette même période de génocide massif.
Le film n’accuse pas frontalement la passivité de dirigeants occidentaux, relégués en arrière-plan, voir le hors-champ. La première heure place tout son propos dans une reconstitution réaliste, jusqu’à interroger les apparences, via un vidéo de propagande, où Kamal serait devenu un fer de lance maléfique dans cette tragédie. Et son frère cadet, Nassim (Amir El Arbi), resté seul avec sa mère (Lubna Azabal) à sa charge, finit par croire à des propos héroïques, de la valeur du sacrifice, l’éloignent inévitablement de son entourage, près à tout pour le préserver d’une guerre dont il n’a pas les codes, ni la conscience pour en discuter. Les cinéastes belges mettent insistent donc sur des pistes qui ont brisé l’avenir d’enfant, qui ne peuvent faire la différence entre la violence d’un jeu vidéo et celle qui apparaît sur les télévisions du monde entier.
Il faudra alors laisser la dernière partie développer une approche moins musclée et ressemble davantage à un commentaire social trop explicite, pour qu’on n’en remarque pas les limites d’écriture. « Rebel » cherche pourtant à insuffler une patine folklorique dans ce drame, en usant de la musique comme le prolongement des sentiments. Et les réalisateurs vont encore plus loin en stylisant certaines scènes, stylisées à la manière de clips, habiles pour laisser la mise en scène suggérer ce qui se déroule. Ce pari est réussi à plusieurs niveaux, mais il se permet également de contredire une brutalité, qui nous a encore plus convaincu un peu plus tôt. Les dialogues seront également présents pour diluer la pertinence de discours familiaux ou de recrues djihadistes dont on ne se sait pas toujours comment les nuancer, sinon les présenter à partir de leur innocence.
A Molenbeek, c’est la routine tranquille, entre quelques plans foireux et vie de famille qui bat des ailes. Mais lorsqu’un drame pousse le fils aîné, Kamal (Aboubakr Bensaihi), à rejoindre la Syrie en guerre, puis les forces de Daesh, tout ce qu’il aura laissé derrière lui ne sera qu’un souvenir. Le montage joue pourtant sur une temporalité fragmentée et décalé, afin d’établir le portrait d’une famille sur deux fronts. La radicalisation frappe comme une massue sur un Kamal tenu en laisse et montre toute sa fourberie dans une écurie occidentale, plein d’enfants à recruter. Le miroir du mal passe simplement par les actes odieux des rebelles, où les exécutions et autres décapitations ne seront pas les seuls avertissements à ceux qui s’opposent à leur suprématie. Cela place également des femmes dans un business inhumain et rares son celles qui peuvent en témoigner. Le documentaire « Sinjar, naissance des fantômes » en tire de nombreux témoignages sur leur situation, du côté de la frontière irakienne et dans cette même période de génocide massif.
Le film n’accuse pas frontalement la passivité de dirigeants occidentaux, relégués en arrière-plan, voir le hors-champ. La première heure place tout son propos dans une reconstitution réaliste, jusqu’à interroger les apparences, via un vidéo de propagande, où Kamal serait devenu un fer de lance maléfique dans cette tragédie. Et son frère cadet, Nassim (Amir El Arbi), resté seul avec sa mère (Lubna Azabal) à sa charge, finit par croire à des propos héroïques, de la valeur du sacrifice, l’éloignent inévitablement de son entourage, près à tout pour le préserver d’une guerre dont il n’a pas les codes, ni la conscience pour en discuter. Les cinéastes belges mettent insistent donc sur des pistes qui ont brisé l’avenir d’enfant, qui ne peuvent faire la différence entre la violence d’un jeu vidéo et celle qui apparaît sur les télévisions du monde entier.
Il faudra alors laisser la dernière partie développer une approche moins musclée et ressemble davantage à un commentaire social trop explicite, pour qu’on n’en remarque pas les limites d’écriture. « Rebel » cherche pourtant à insuffler une patine folklorique dans ce drame, en usant de la musique comme le prolongement des sentiments. Et les réalisateurs vont encore plus loin en stylisant certaines scènes, stylisées à la manière de clips, habiles pour laisser la mise en scène suggérer ce qui se déroule. Ce pari est réussi à plusieurs niveaux, mais il se permet également de contredire une brutalité, qui nous a encore plus convaincu un peu plus tôt. Les dialogues seront également présents pour diluer la pertinence de discours familiaux ou de recrues djihadistes dont on ne se sait pas toujours comment les nuancer, sinon les présenter à partir de leur innocence.
Et bien que voilà un film dur!!! J'avoue que ce qui à primé chez moi c'est la colère contre ces saletés de djihadistes où j'imaginais
spoiler:
bien une petite bombe au milieu..
.je m'égare. Mon état prouve juste que le film met bien en avant ce qu'ils sont et font et que cela ne laisse pas indifférent. Ici on voit l'histoire de ce jeune belge parti pour aider qui va dans un premier temps être acteur de la propagande puis va devoir en faire plus. On à donc l'histoire du grand frère en Syrie et en parallèle l'histoire du petit frère qui se laisse tenter par "le diable". On navigue de l'un à l'autre sans casser la tension de chacune des histoires. Par moment le film est raconté mode "comédie musicale", étonnant mais cela passe nickel et coupé en sorte de chapitre. En tous cas prenant , j'ai vraiment aimé!!
NOTE : 8.5/10
.je m'égare. Mon état prouve juste que le film met bien en avant ce qu'ils sont et font et que cela ne laisse pas indifférent. Ici on voit l'histoire de ce jeune belge parti pour aider qui va dans un premier temps être acteur de la propagande puis va devoir en faire plus. On à donc l'histoire du grand frère en Syrie et en parallèle l'histoire du petit frère qui se laisse tenter par "le diable". On navigue de l'un à l'autre sans casser la tension de chacune des histoires. Par moment le film est raconté mode "comédie musicale", étonnant mais cela passe nickel et coupé en sorte de chapitre. En tous cas prenant , j'ai vraiment aimé!!
NOTE : 8.5/10
Le film aurait été de très bonne facture s il se serait cantonné à mettre en scène plus sobrement, et faire confiance à son scénario qui contient un thème fort.
La ils ont stylisée trop le cadre en y insérant des chansons type comédie musicale qui est totalement vain et affadit l histoire.
C est dommage car le message présent dans ce film est de bon aloi.
La ils ont stylisée trop le cadre en y insérant des chansons type comédie musicale qui est totalement vain et affadit l histoire.
C est dommage car le message présent dans ce film est de bon aloi.
Étrange film dont on ne comprend pas le fil de l histoire ou la cohérence au début. Le scénario s ajuste au bout de 30 minutes, on comprend mieux le fil conducteur. Quelques effets spéciaux spectaculaires, voire un témoignage des violences barbares de Daesh donnent un caractère plus d actions et de film de guerre qui impressionnent pour de jeunes réalisateurs. Reste que c est étrange ces coupures musicales plus qu originales... mais pourquoi pas. Un film assez hétérogène au final original
Terrifiant sur le fond! Magnifique sur la forme!
Des clips brillantissimes qui bousculent sur des raps très bien écrits. Des plans séquence saisissants de bravoure (scène de guerre contre les soldats du califat caméraman filmé par un caméraman caméra à l'épaule, fusillade entre Onusiens et djihadistes avec la maman au milieu en Syrie)!
Beaucoup de sujets abordés : vente aux enchères de femmes syriennes musulmanes, embrigadement des enfants par des recruteurs en Belgique pour armer le front, propagande médiatisée, tortures,... Et on bascule entre les scènes de torture ou de grandes violences avec de magnifiques chansons aux paroles en arabe qui racontent l'histoire.
Un film choc!
Des clips brillantissimes qui bousculent sur des raps très bien écrits. Des plans séquence saisissants de bravoure (scène de guerre contre les soldats du califat caméraman filmé par un caméraman caméra à l'épaule, fusillade entre Onusiens et djihadistes avec la maman au milieu en Syrie)!
Beaucoup de sujets abordés : vente aux enchères de femmes syriennes musulmanes, embrigadement des enfants par des recruteurs en Belgique pour armer le front, propagande médiatisée, tortures,... Et on bascule entre les scènes de torture ou de grandes violences avec de magnifiques chansons aux paroles en arabe qui racontent l'histoire.
Un film choc!
Je ne suis pas particulièrement connaisseur en cinéma belge mais le duo Adil El-Arbi et Bilal Fallah a réussi à retenir mon attention. Ils ont produit des films belges comme Black sur les violences intercommunautaires à Bruxelles (dispo sur Netflix) et se sont fait suffisamment remarquer pour être admis à Hollywood où ils ont travaillé sur Bad Boys for life, la série Miss Marvel et l’infortuné projet Batgirl (paix à son âme). Les voilà de retour sur leurs thèmes de cœur avec un film sur l’Etat islamique et les musulmans de Belgique.
Le sujet du film permet un grand potentiel mais est-il atteint ? En grande partie selon moi. L’équilibre entre une bonne histoire et la dimension politique, la volonté de transmettre le point de vue des musulmans sur tout ce qui s’est passé là-bas (et toutes ses répercussions chez nous) est bien trouvé. Le plus marquant c’est les parties en Syrie avec des scènes de guerre grandioses (au même niveau que des films de guerre américains) et la reconstitution de la vie sous l’autorité de Daech. Les personnages sont très réussis, l’ambiance aussi et le tout est parfaitement complété par la BO.
La structure est un peu déroutante car le film se compose de 3 histoires en une : tout d’abord l’enrôlement de force du grand frère par Daech en Syrie, ensuite le processus de radicalisation du petit frère qui va conduire à son recrutement lui aussi, et enfin le récit de la mère qui va tout faire pour aller rechercher son fils là-bas. J’ai un peu la sensation que les réalisateurs ont voulu en faire trop, même si le sujet le mérite.
Ça fait très plaisir de voir des films avec une telle ambition dans le cinéma belge et j’espère que qu’ils auront la reconnaissance qu’ils méritent !
Le sujet du film permet un grand potentiel mais est-il atteint ? En grande partie selon moi. L’équilibre entre une bonne histoire et la dimension politique, la volonté de transmettre le point de vue des musulmans sur tout ce qui s’est passé là-bas (et toutes ses répercussions chez nous) est bien trouvé. Le plus marquant c’est les parties en Syrie avec des scènes de guerre grandioses (au même niveau que des films de guerre américains) et la reconstitution de la vie sous l’autorité de Daech. Les personnages sont très réussis, l’ambiance aussi et le tout est parfaitement complété par la BO.
La structure est un peu déroutante car le film se compose de 3 histoires en une : tout d’abord l’enrôlement de force du grand frère par Daech en Syrie, ensuite le processus de radicalisation du petit frère qui va conduire à son recrutement lui aussi, et enfin le récit de la mère qui va tout faire pour aller rechercher son fils là-bas. J’ai un peu la sensation que les réalisateurs ont voulu en faire trop, même si le sujet le mérite.
Ça fait très plaisir de voir des films avec une telle ambition dans le cinéma belge et j’espère que qu’ils auront la reconnaissance qu’ils méritent !
elriad
Si le sujet de l’embrigadement d'européens vers la Syrie a souvent été traité, " Rebel" ne manque pas d'originalité, autant par ses incursions musicales et chorégraphiées que par sa maitrise de la caméra lors de scènes de guerre et de chaos.
Le quartier Molenbeek de Bruxelles a déjà fait parler de lui pour son vivier d'intégristes, et la dramaturgie évolutive implacable dans laquelle va se retrouver l'excellente Lubna Azabal tient le spectateur en haleine tout au long du métrage. Une belle réalisation qui vient s'ajouter à tous ces films qui démontent le recrutement en amont et le lavage de cerveaux bien rodé durant l'entrainement dans les camps.
Le quartier Molenbeek de Bruxelles a déjà fait parler de lui pour son vivier d'intégristes, et la dramaturgie évolutive implacable dans laquelle va se retrouver l'excellente Lubna Azabal tient le spectateur en haleine tout au long du métrage. Une belle réalisation qui vient s'ajouter à tous ces films qui démontent le recrutement en amont et le lavage de cerveaux bien rodé durant l'entrainement dans les camps.
Un voyage éprouvant dans l’enfer de Daesh à travers le destin de deux frères belges soumis à l'embrigadement islamiste, terni malheureusement par quelques lourdeurs et longueurs scénaristiques. 3,25
Adeptes de "feel-good movies", passez votre chemin ! Comme on peut s'en douter à la lecture du pitch, le sujet traité n'est pas facile, et le film est très dur. On suit dans un premier temps l'arrivée du fils aîné en Syrie, puis son embrigadement et sa descente aux enfers dans l'univers de Daech. Le personnage n'est pas fondamentalement mauvais, il suit ses idéaux avant de se retrouver dépassé par les événements et plongé dans des scènes de guerre, visuellement très spectaculaires et souvent tournées en plans-séquence. Sur ce point, rien à envier à Hollywood, le réalisme est impressionnant. Mais il ne s'agit pas d'un film de guerre à proprement parler : la psychologie du "héros" et des autres personnages est aussi présentée de manière assez fine. De l'autre côté, en Belgique, on assiste
spoiler:
au "recrutement", glaçant, du petit frère pour qui le djihad devient peu à peu un idéal. On assite à l'impuissance des institutions et des associations face à la radicalisation des jeunes.
Et la fin est tout simplement une grande claque en pleine figure, laissant le spectateur cogiter un bon moment. Il est temps également d'évoquer les quelques séquences chantées / rappées, magnifiques, qui déroutent au premier abord mais qui à la réflexion s'intègrent parfaitement au récit et permettent de prendre du recul sur l'action. Que ce soit sur le fond ou la forme, c'est donc particulièrement réussi ! Un film coup de poing.
Et la fin est tout simplement une grande claque en pleine figure, laissant le spectateur cogiter un bon moment. Il est temps également d'évoquer les quelques séquences chantées / rappées, magnifiques, qui déroutent au premier abord mais qui à la réflexion s'intègrent parfaitement au récit et permettent de prendre du recul sur l'action. Que ce soit sur le fond ou la forme, c'est donc particulièrement réussi ! Un film coup de poing.
Ah que c'est dommage, le film est bon mais parfois mal réaliser. J'ai bien aimé la première moitié du film qui se déroule bien et moins la deuxième moitié. Il manque le développement de certains personnages à mon goût, surtout Noor.
De plus certaines scènes sont chanté et me fait penser à des films de bollywood (heureusement il y en à que trois de mémoire) c'est peut être que 10 min total dans le film mais c'est nul.
C'est un bon film qui aurait pu être meilleur, dommage.
De plus certaines scènes sont chanté et me fait penser à des films de bollywood (heureusement il y en à que trois de mémoire) c'est peut être que 10 min total dans le film mais c'est nul.
C'est un bon film qui aurait pu être meilleur, dommage.
Ce film est atroce... c'est tellement violent, réaliste et féroce ! J'en ai encore des frissons dans le dos tellement cette guerre en Syrie fait peur. Voir ce jeune artiste partir là bas & déchanter avant de vivre un calvaire m'a vraiment bouleversé... mais ce n'est rien à coté de la fin qui dépasse l'entendement ! Comment peut on envoyer un gamin de 12 ans en pature là bas ? Ca me dépasse... j'ai vu il y a quelques jours un docu 'Djihadistes de père en fils' et j'ai eu l'impression de m'y revoir et ca me glace les sangs ! Non vraiment ce film est un des plus brutal que j'ai vu à ce sujet... à voir pour comprendre enfin... du moins tenter de comprendre !
Film poignant, très dur, sur un thème tellement difficile et qui pourtant brûle l’actualité. Attention, c'est très violent, et ce document confirme le fléau, ce cancer, qui touche les enfants notamment - on ne le sait pas toujours - dans les familles dès lors qu'un déséquilibre, la misère économique ou familiale, permet au vers d'entrer dans le fruit ! Le film est un peu brouillon, désordonné, mais il traite admirablement de ce mal dont je n'écrirai même pas le nom.... Ce n'est pas mes thèmes de prédilection que j'aime voir traiter dans le 7ème art, mais bien entendu, si le romantisme, la beauté, la passion, me semblent être de meilleurs atouts, le mérite revient à ces 2 auteurs est remarquable. Nous sommes tous extrêmement perturbés par de tels visionnages, et celui-ci me rend humble et si démuni face à cette horreur. Je citerai juste le personnage de Leila ( Lubna Azabal) mère au caractère d'acier, formidable actrice. Malheureusement combien de situations connaissent une telle issue, probablement quasi nulle.....!!**
Un film fort violent dynamique, bouleversant avec des acteurs très convaincants. A voir . Un peu long
La force de ce film ne réside pas dans les exactions des djihadistes et des vertus de leur Etat Islamique, toutes ces horreurs avaient déjà été décrites dans "Soeur d'armes" de Caroline Fourest. ( le massacre des Yezidis, les femmes esclaves sexuels etc...). La force de ce film est de montrer le deuxième front c'est à dire celui des Banlieues, ici Moolenbeck où des "recruteurs" distillent la haine de l'Occident chez les jeunes issus de l'immigration. On est en plein dedans ! Le deuxième truc déstabilisant c'est que les réalisateurs ont introduit plusieurs scènes de "rap" dans leur scénario. C'est pas mal fait:, sans doute à destination d'un public plus jeune ?
C'est un film à voir, car on est en plein dedans. J'habite pas loin de St Etienne du Rouvray ...
C'est un film à voir, car on est en plein dedans. J'habite pas loin de St Etienne du Rouvray ...
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