Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ecran Large
par La rédaction
Grâce à la tendresse de son écriture qui s'attelle toujours à cerner l'ambiguïté des conflits de ses personnages, Rebel parvient à emporter le spectateur dans une odyssée certes inégale, mais chargée émotionnellement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une vision inédite de l’enrôlement qui ne cède rien à la véracité du propos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
À la croisée des genres et des styles, le nouveau film d’Adil El Arbi et Bilal Fallahregorge d’ambitions et d’idées formelles, mais se fourvoie dans une quête du spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par Daniel Blois
Adil El Arbi et Bilall Fallah confirment leur talent et leur ambition dans Rebel.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
En se concentrant sur Kamal, dont les talents de caméraman le conduisent à devenir un rouage de la propagande de Daech, et sur Nassim, qui en devient une cible malgré son jeune âge, Rebel montre l’efficacité de cet outil par des allers-retours déchirants entre les atrocités commises en Syrie et le recrutement de nouveaux combattants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Les cinéastes belgo-marocains Adil El Arbi et Bilall Fallah s’emparent du sujet périlleux du djihad pour pointer la perte de l’innocence et interroger sur notre rapport aux images de violence et de propagande. Tout en intercalant des parenthèses musicales et poétiques dans une immersion sans complaisance au cœur du chaos.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par François Léger
Plans- séquence léchés au milieu des fusillades, exécutions d’otages répétées ad nauseam : la fiction n’aura jamais approché d’aussi près les méthodes de cet Hollywood de la terreur.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par N. S.
Hélas, « Rebel » devient embarrassant lorsqu’il bascule en mode comédie musicale façon Bollywood du pauvre, sur des paroles dignes d’un TikTokeur fan de Diam’s. Osé mais hasardeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Cette mise en scène abusivement spectaculaire d’un thème complexe finit par lasser, ce qu’on peut regretter compte tenu du courage des deux cinéastes de s’opposer ainsi aux ravages de l’obscurantisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Frédéric Strauss
Avec leur énergie de cinéma qui pourrait déplacer des montagnes, El Arbi et Fallah se figent malheureusement en plein communautarisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’approche tous azimuts – comédie musicale dans le kebab, romance amoureuse dans le désert, giclées de sang et enfants martyrs… – est loin de convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Si le film s'essaie, de bout en bout, à raconter la perversité d'un terrifiant crime organisé, il ne parvient jamais à prendre à bras le corps la question de la radicalisation, se cantonnant à déguiser son discours au cœur d'une mêlasse sentimentaliste dont la mère se fait le héraut au désarroi peu crédible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
Tortures, décapitations, viols nous sont alors infligés pendant plus de deux heures vingt, sans que les auteurs se posent la moindre question sur ce qu’ils montrent, leur seul objectif étant de choquer en étalant leur (réel) savoir-faire technique.
Ecran Large
Grâce à la tendresse de son écriture qui s'attelle toujours à cerner l'ambiguïté des conflits de ses personnages, Rebel parvient à emporter le spectateur dans une odyssée certes inégale, mais chargée émotionnellement.
Le Figaro
Une vision inédite de l’enrôlement qui ne cède rien à la véracité du propos.
Les Fiches du Cinéma
À la croisée des genres et des styles, le nouveau film d’Adil El Arbi et Bilal Fallahregorge d’ambitions et d’idées formelles, mais se fourvoie dans une quête du spectaculaire.
Voici
Adil El Arbi et Bilall Fallah confirment leur talent et leur ambition dans Rebel.
La Croix
En se concentrant sur Kamal, dont les talents de caméraman le conduisent à devenir un rouage de la propagande de Daech, et sur Nassim, qui en devient une cible malgré son jeune âge, Rebel montre l’efficacité de cet outil par des allers-retours déchirants entre les atrocités commises en Syrie et le recrutement de nouveaux combattants.
Le Journal du Dimanche
Les cinéastes belgo-marocains Adil El Arbi et Bilall Fallah s’emparent du sujet périlleux du djihad pour pointer la perte de l’innocence et interroger sur notre rapport aux images de violence et de propagande. Tout en intercalant des parenthèses musicales et poétiques dans une immersion sans complaisance au cœur du chaos.
Première
Plans- séquence léchés au milieu des fusillades, exécutions d’otages répétées ad nauseam : la fiction n’aura jamais approché d’aussi près les méthodes de cet Hollywood de la terreur.
L'Obs
Hélas, « Rebel » devient embarrassant lorsqu’il bascule en mode comédie musicale façon Bollywood du pauvre, sur des paroles dignes d’un TikTokeur fan de Diam’s. Osé mais hasardeux.
Le Parisien
Cette mise en scène abusivement spectaculaire d’un thème complexe finit par lasser, ce qu’on peut regretter compte tenu du courage des deux cinéastes de s’opposer ainsi aux ravages de l’obscurantisme.
Télérama
Avec leur énergie de cinéma qui pourrait déplacer des montagnes, El Arbi et Fallah se figent malheureusement en plein communautarisme.
Le Monde
L’approche tous azimuts – comédie musicale dans le kebab, romance amoureuse dans le désert, giclées de sang et enfants martyrs… – est loin de convaincre.
Les Inrockuptibles
Si le film s'essaie, de bout en bout, à raconter la perversité d'un terrifiant crime organisé, il ne parvient jamais à prendre à bras le corps la question de la radicalisation, se cantonnant à déguiser son discours au cœur d'une mêlasse sentimentaliste dont la mère se fait le héraut au désarroi peu crédible.
Positif
Tortures, décapitations, viols nous sont alors infligés pendant plus de deux heures vingt, sans que les auteurs se posent la moindre question sur ce qu’ils montrent, leur seul objectif étant de choquer en étalant leur (réel) savoir-faire technique.