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apotheme
116 abonnés
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1,5
Publiée le 21 mars 2022
Quel mauvaise surprise que ce kung-fu Zohra. Au départ on s'attend au vu de la bande d'annonce à un film drôle et grosse déception,on se retrouve face à un drame qui traite de la violence conjugal. Et pire,ce film d'un côté traite de ce sujet et de l'autre on se retrouve face à un film de kung-fu.
Film extrêmement mais extrêmement pourri ya tout les condensé du pures cliches dedans! du racisme de la moquerie du mepris… ya tout! je sais meme pas comment qualifie cette daube on peut meme pas appeler cela un film meme pas un brouillon! L’actrice fait peine a voir le jeu d’acteur est catastrophique!!on devrait etre payes pour regarder ce navet qui fais office de film!! Pourrie pourrie tu perd 1h40 de ta life!!!!! Nul nul nul
Sur le thème des violences conjugales, Kung-Fu Zohra entremêle des tonalités qui se nuisent les unes les autres et que ne maîtrise jamais un réalisateur soucieux d’articuler un cinéma d’arts martiaux hongkongais sous influences bis à un cinéma social français, mais qui échoue dans pareille entreprise. La mise en place du récit laissait pourtant présager le meilleur : rencontre improbable, vie menée entre deux pays et deux cultures, montée progressive de la violence associée à un emploi machinal et aux conséquences qu’il fait peser sur Omar. Pourtant, les ellipses grossières segmentent un film qui ne s’intéresse qu’à l’esthétisation de quelques séquences d’action ; le reste souffre d’une réalisation aguicheuse, presque publicitaire, qui ne compose jamais ses plans, ne dit rien par leur agencement en scènes. La mise en scène n’existe pas, elle illustre à peine une initiation à l’autodéfense qui, de légitime, devient ridicule, la faute à des influences parasites et à une réelle incapacité à faire évoluer ses personnages. Le ventre mou s’installe, jusqu’à cette clausule grotesque qui témoigne de l’échec du projet.
J'ai essayé de regarder le film, la bande annonce paraissait cool. Et franchement j'ai perdu une place de ciné. Le film est très mal construit et lassant. L'humour qu'essaient d'apporter les acteurs est juste incipide. Je n'ai pas bien saisis comment un aussi bon casting à pu se terminer en un film aussi pourrie... Vraiment DÉÇU
Ce film est une purge de A à Z . On a l'impression qu'il dure 5h . Le scénario est très faible soutenu par une morale assez triste contre les violences conjugales mais traité tel un enfant de cinq ans.
Perso, j'ai adoré ce film. Il est juste, pas trop dans la caricature ni dans le mélodrame. Le personnage principal de l'histoire montre une résilience et une détermination qui donne envie quand on sort de la salle de cinéma de faire pareil et dire adieu à la procrastination.
Extrêmement nul c'était nullissime, je mérite d'être remboursé. Louuuuurd en cliché mais avec cette actrice il fallait si attendre c'est donc ma faute je pensais que ça passerais et bah non fidèle aux rôles qu'elle a l'habitude de jouer minable. Heureusement qu'il y a Leila Bekthi ! "Jeu" d'acteur si nul que ça en est malaisant.
Zohra (Sabrina Ouazani) a quitté la Tunisie pour suivre Omar (Ramzy Bedia) en France. Le couple s'est installé en banlieue parisienne et a bientôt une ravissante fillette. Si Omar est un père parfait avec son enfant, il se révèle vite un mari alcoolique, veule et violent qui lève volontiers la main sur Zohra, les soirs de match. Zohra aimerait quitter Omar mais s'y refuse pour l'amour de sa fille. Elle encaisse les coups sans mot dire avant de prendre une décision radicale au contact d'un gardien de nuit expert en arts martiaux : apprendre à se défendre.
Le réalisateur belge Mabrouk El Mechri, qui avait signé en 2008 un portrait décalé de Jean-Claude Van Damme, a opté pour un parti radical : le titre de son film, son affiche le classent immédiatement dans la catégorie des kung-fu vintage. Pourtant "Kung-Fu Zohra" ne se réduit pas à cette seule dimension-là. C'est d'abord, c'est surtout un film sur les violences conjugales qui raconte l'asservissement d'une femme battue et son combat, évidemment victorieux, pour renverser la domination qu'elle subissait.
Ce combat, Zohra le livre, au propre et au figuré, avec ses poings. Et il faut saluer la performance de Sabrina Ouazani dont les heures de coaching sportif qu'elle a dû subir pour la préparation de ce film se sentent et se voient (elle était beaucoup moins à l'aise avec une raquette dans les mains dans Mica).
Mais hélas, ce mélange audacieux entre kung-fu et drame social ne marche pas. Pendant la première moitié du film, on est ému par la détresse de Zohra et touché par la complicité sororale de son amie Binta (Eye Haïdara révélée par "Le Sens de la fête"). La seconde moitié du film ressemble à un Rocky, où on voit Zohra s'entraîner avec son complice, un vieux maître chinois façon "Karaté Kid". Le film se termine par la scène qu'on attendait depuis plus d'une heure et demie : le combat dantesque entre Zohra et Omar (il faut au passage saluer la prestation à contre-emploi de Ramzy Bedia décidément aussi convaincant dans les rôles de grands héros lunaires que dans ceux de sales types). Pris de remords, Mabrouk El Mechri nous gratifie d'une scène de post-générique qu'il ne faut pas manquer, même si l'échec du film ne nous a pas incités à nous attarder.
Un film sur la maltraitance conjugale. Pas très rythmé. Couple équipé d'un frigo magique. Dans la scène de combat final, la porte s'ouvre, puis se ferme, puis se re ouvre. Fallait pas ouvrir la porte madame.
Catastrophique de base le sujet parle d’un fléau qui se passe en France pour au final le tourner en comédie action à la française bien sur, honnetement x’est l’un des film les plus nul et ennuyant de toute ma vie si ce n’est le film le plus mauvais , mal écrit mal jouer …