Sabrina Ouazani y est époustouflante. Ramzy superbe à contre emploi. Sujet d'actualité ! Et les scènes de kung-fu y sont impressionnantes et bien filmées. Belle photo aussi !
vous prenez "Karaté Kid" sur un soupçon de "Plus Jamais" sauf que ce mélange avec la french touch ne prend pas du tout c est même un naufrage complet je mets une demie etoile pour Sabrina Ouazani qui joue bien dans un film sans scénario. la scène finale de bataille est digne de Bollywood avec ses effets spéciaux ...
Je ne vois pas où sont passées les 7 millions d'euros du budget. Pas dans le scenar déja. Ni dans les repetitions des acteurs non plus. Toutefois, je me demande quelle a bien pu etre l'objectif des structures ayant participé à cette production, vu qu'à la seule lecture du script, la médiocrité de l'ensemble ne peut que sauter aux yeux.
Il a problablement du echapper à l'auteur/réalisateur, ainsi qu'à ses deux acteurs principaux, que depuis un sacré petit moment en France, le denigrement et la discrimination des arabes/musulmans est à son paroxysme. Quel est l'argument de ceux qui s'assurent de maintenir ce statut quo? " ils sont violents / leur culture est incompatible avec la République, ils battent leurs femmes, leurs femmes sont prisonnière, etc..." Et dans ce film, en réalité, tout est fait pour donner raison à des propos mensongers et réducteurs.
Ca pose forcément la question du rôle du cinéma lorsqu'il s'agit de faire état d'une situation sociale particulière à un instant T. Ici, hormis se vautrer dans le cliché, n'en déplaise aux acteurs qui, cela dit en passant, participent depuis de très nombreuses années à des films du genre.
On est en 2022 en France, et on a l'impression d'être revenu en 1970 avec ce film. Et encore, dans les années 70, il y avait le film Dupont la joie qui denonçait déja le racisme et la condescendance d'une certaine caste à l'égard d'une minorité...
Au final, ce film résumé à peu près tout ça, à savoir assister à un sinistre agenda établi par on ne sait qui, pour on ne sait qui, dans le but d'ancrer une representation unique et dégradante d'une categorie de personne, pour laquelle personne n'a les moyens de contrer tout ce ceci par d'autres films, un peu comme Spike Lee à ses débuts lorsqu'il à lutté contre la representation typique de l'afro américain instaurée par Hollywood.
Sur le thème des violences conjugales, Kung-Fu Zohra entremêle des tonalités qui se nuisent les unes les autres et que ne maîtrise jamais un réalisateur soucieux d’articuler un cinéma d’arts martiaux hongkongais sous influences bis à un cinéma social français, mais qui échoue dans pareille entreprise. La mise en place du récit laissait pourtant présager le meilleur : rencontre improbable, vie menée entre deux pays et deux cultures, montée progressive de la violence associée à un emploi machinal et aux conséquences qu’il fait peser sur Omar. Pourtant, les ellipses grossières segmentent un film qui ne s’intéresse qu’à l’esthétisation de quelques séquences d’action ; le reste souffre d’une réalisation aguicheuse, presque publicitaire, qui ne compose jamais ses plans, ne dit rien par leur agencement en scènes. La mise en scène n’existe pas, elle illustre à peine une initiation à l’autodéfense qui, de légitime, devient ridicule, la faute à des influences parasites et à une réelle incapacité à faire évoluer ses personnages. Le ventre mou s’installe, jusqu’à cette clausule grotesque qui témoigne de l’échec du projet.
Certes le sujet traité de la violence conjugale mériterait un peu plus de sérieux. Je dois néanmoins avouer que, relativement hostile à ce film après avoir vu la bande annonce, je ressors de la projection moins critique que je pensais l'être. Il ne mérite pas tout à fait le nombre d'étoiles négatives qu'il reçoit. Il ne restera quand même pas dans les annales comme un modèle du genre...
C'est un film déroutant, très original. L'idée de mêler les arts martiaux dans la tradition du film d'action à une histoire dramatique, malheureusement ordinaire, ouvre des perspectives. Cela permet de sortir d'une situation fatale, autrement. Le vrai sujet du film, c'est la difficulté pour une personne de réagir à une forme de violence à laquelle elle ne sait pas répondre. C'est un sujet complexe, sensible, traité avec subtilité et gravité. Le réalisateur choisit de s'attarder longuement sur le processus de déni. Le twist inattendu du kung-fu change la dynamique du film et ajoute une dimension spectaculaire, irréelle, comme si l'auteur chosissait une issue fantastique au destn de son héroïne. On bascule dans une autre monde, comme s'il s'agissait d'un rêve d'enfant, de voir sa mère s'en sortir coûte que coûte, et son père entendre raison. C'est osé, courageux, neuf. #KungFuZohra
Sur le thème des violences conjugales, Kung-Fu Zohra entremêle des tonalités qui se nuisent les unes les autres et que ne maîtrise jamais un réalisateur soucieux d’articuler un cinéma d’arts martiaux hongkongais sous influences bis à un cinéma social français, mais qui échoue dans pareille entreprise. La mise en place du récit laissait pourtant présager le meilleur : rencontre improbable, vie menée entre deux pays et deux cultures, montée progressive de la violence associée à un emploi machinal et aux conséquences qu’il fait peser sur Omar. Pourtant, les ellipses grossières segmentent un film qui ne s’intéresse qu’à l’esthétisation de quelques séquences d’action ; le reste souffre d’une réalisation aguicheuse, presque publicitaire, qui ne compose jamais ses plans, ne dit rien par leur agencement en scènes.
La mise en scène n’existe pas, elle illustre à peine une initiation à l’autodéfense qui, de légitime, devient ridicule, la faute à des influences parasites et à une réelle incapacité à faire évoluer ses personnages. Le ventre mou s’installe, jusqu’à cette clausule grotesque qui témoigne de l’échec du projet.
Un très bon film sur la violence conjugale traité de manière allégorique. Le Kung Fu symbolise tout ce qu une femme doit mobiliser pour arriver à briser ses chaînes. Des acteurs convaincants et loin d être caricaturaux. Revisite le genre de manière innovante
Ce film est une purge de A à Z . On a l'impression qu'il dure 5h . Le scénario est très faible soutenu par une morale assez triste contre les violences conjugales mais traité tel un enfant de cinq ans.
J'ai essayé de regarder le film, la bande annonce paraissait cool. Et franchement j'ai perdu une place de ciné. Le film est très mal construit et lassant. L'humour qu'essaient d'apporter les acteurs est juste incipide. Je n'ai pas bien saisis comment un aussi bon casting à pu se terminer en un film aussi pourrie... Vraiment DÉÇU