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Fardos M.
9 abonnés
40 critiques
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0,5
Publiée le 10 mars 2022
Dans ce film il ya que le rôle de Ramzy est présent Sabrina pppfffff Ques quel fait pitié franchement Je l'ai préféré ds taxi 5 uniquement Ce film 🎥 es Nul ,a chaque fois les mêmes scénario Bus caisse au supermarché boulot dodo métro etc... Perte du temps total
Une comédie dramatique sous influence tarantinesque assez réussie sur les violences conjugales. Très bien joués par Sabrina Ouazani et Ramzy Bedia (vraiment flippant en pervers manipulateur violent), bien réalisé par Mabrouk El Mechri et avec un gag hilarant avec Shue Tien.
Le thème de ce drame sur les violences conjugales, tout à fait dans l’actualité, est traité avec originalité et parfois avec des touches d’humour sans toutefois éviter quelques clichés. L’histoire de cette femme ZOHRA qui prend des cours de Kung-Fu pour se sortir de cette situation infernale est intéressante à suivre. La réalisation bien rythmée est correcte et l’interprétation plutôt convaincante.
Ce film est décidément une honte pour le cinéma français ! Argent et temps perdu… Sabrina Ouzani nous propose une prestation digne d’une pièce de théâtre d’une classe de cm2 sans parler des stéréotypes qu’elle se réjouit de jouer. En bref une merde sans nom
Une bonne petite comédie sur le thème très sérieux des violences intra-familiales Le chemin que doit suivre l'héroïne pour se libérer de l'emprise de son mari violent est bien analysé Le kung-fu amène une touche d'humour et de folie. La chorégraphie des combats est digne d'un Bruce Lee Accessit pour Sabrina Ouazani très convaincante et Ramzy à contre emploi Mon ressenti est celui d'un amateur de cinéma (2x semaine) qui aime se faire son propre avis malgré des critiques très tranchées
J’avais adoré la bande-annonce du film, vendu comme une comédie française sur les violences conjugales pimentées par des scènes d’arts martiaux.
La bande-annonce était allé jusqu’à me rappeler le nanaresque mais drôle Rémo sans arme mais dangereux (1986), où les auteurs surfaient sur l’appropriation culturelle des films d’arts martiaux asiatiques des années 70, mêlé à un thriller d’espionnage des plus convenu.
Mais non, notre réalisateur français s’inspire pour son oeuvre des drames sociaux médiocres comme il en sort deux ou trois chaque semaine, agrémenté vers la fin de quelques séquences d’actions, ouvertement inspirées par la filmographie de Jackie Chan (Jackie Chan dans le Bronx 1995).
Le film repose entièrement sur la prestation de Sabrina Ouazani, qui arrive plus ou moins à nous faire aimer son personnage, dont l’écriture pêche par médiocrité et fainéantise.
Tous les spectateurs savent ce qu’est un mari violent, manipulateur, qui menace son épouse de perdre la garde de leur fille pour l’obliger à rester.
À aucun moment, on ne connaîtra ses véritables pensées, et la présence d’une voix-off provenant d’un personnage secondaire en est le parfait exemple.
Il manque aussi à l’histoire une réelle complicité entre Zohra et Chang son prof d’arts martiaux.
On sent que le réal a vu un reportage sur les femmes battues suivis d’une rediffusion de Karate Kid (1984) et s’est fendu d’un « Ouah… j’ai une idée de film! » (le cerveau humain est d’une rare complexité).
Le film a un grave problème de rythme, puisque les 3/4 du film, c’est le drame social tout pourri et sans idées fortes, suivi des séquences d’actions qui clôture le long-métrage.
L’humour est le grand absent, les séquences décalées de la bande-annonce n’étant pas drôles une fois remises en contexte.
Où est la folie, le piquant, le décalage vendu par le film?
Il est tout à fait possible de mélanger l’action et la comédie, faut-il encore en avoir le talent et la vision artistique associée.
Zohra (Sabrina Ouazani) a quitté la Tunisie pour suivre Omar (Ramzy Bedia) en France. Le couple s'est installé en banlieue parisienne et a bientôt une ravissante fillette. Si Omar est un père parfait avec son enfant, il se révèle vite un mari alcoolique, veule et violent qui lève volontiers la main sur Zohra, les soirs de match. Zohra aimerait quitter Omar mais s'y refuse pour l'amour de sa fille. Elle encaisse les coups sans mot dire avant de prendre une décision radicale au contact d'un gardien de nuit expert en arts martiaux : apprendre à se défendre.
Le réalisateur belge Mabrouk El Mechri, qui avait signé en 2008 un portrait décalé de Jean-Claude Van Damme, a opté pour un parti radical : le titre de son film, son affiche le classent immédiatement dans la catégorie des kung-fu vintage. Pourtant "Kung-Fu Zohra" ne se réduit pas à cette seule dimension-là. C'est d'abord, c'est surtout un film sur les violences conjugales qui raconte l'asservissement d'une femme battue et son combat, évidemment victorieux, pour renverser la domination qu'elle subissait.
Ce combat, Zohra le livre, au propre et au figuré, avec ses poings. Et il faut saluer la performance de Sabrina Ouazani dont les heures de coaching sportif qu'elle a dû subir pour la préparation de ce film se sentent et se voient (elle était beaucoup moins à l'aise avec une raquette dans les mains dans Mica).
Mais hélas, ce mélange audacieux entre kung-fu et drame social ne marche pas. Pendant la première moitié du film, on est ému par la détresse de Zohra et touché par la complicité sororale de son amie Binta (Eye Haïdara révélée par "Le Sens de la fête"). La seconde moitié du film ressemble à un Rocky, où on voit Zohra s'entraîner avec son complice, un vieux maître chinois façon "Karaté Kid". Le film se termine par la scène qu'on attendait depuis plus d'une heure et demie : le combat dantesque entre Zohra et Omar (il faut au passage saluer la prestation à contre-emploi de Ramzy Bedia décidément aussi convaincant dans les rôles de grands héros lunaires que dans ceux de sales types). Pris de remords, Mabrouk El Mechri nous gratifie d'une scène de post-générique qu'il ne faut pas manquer, même si l'échec du film ne nous a pas incités à nous attarder.
Zohra est une femme comblée mais une femme battue. Elle n’arrive pas à quitter son mari Omar de crainte de perdre sa fille. Le sujet du film est malheureusement tourné au ridicule avec des scènes d’une vacuité absolu. Chaque année plus d’une centaine de femmes meurent sous les coups de leur compagnon. Ce n’est clairement pas avec ce film que les choses changeront.
En étant le plus sincère du monde, c’est le pire film que j’ai vu. Je suis parti avant la fin, vraiment n’aller pas le voir au cinéma, ne l’achètez pas en DVD et je demande même aux fournisseurs IPTV de pas le mettre dans le catalogue svp 🙏 0,5 etoiles et c’est déjà une bonne note !