Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le spectateur aussi est enthousiaste devant la performance de la comédienne dont le charisme et la détermination éclairent Kung-Fu Zorah.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Mad Movies
par François Cau
En lieu et place de la comédie délirante redoutée, s'affirme un drame en délicats pointillés sur la violence conjugale et toutes les manipulations toxiques afférentes.
Voici
par La Rédaction
Une fable féministe qui, entre Karaté Kid et Kille Bill, traite sur un mode léger le lourd sujet des violences conjugales.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un féminisme de combat, souple et bondissant, qui vaut le coup.
Ecran Large
par Simon Riaux
Un récit détonant, qui part trop fréquemment dans trop de directions pour tenir toutes ses vigoureuses promesses, mais qui étonne, voire impressionne, sitôt qu'il se repose sur l'action menée par ses deux formidables interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Sabrina Ouazani, lasse de se prendre des claques dans la gueule par son méchant mari, Ramzy Bédia à contre-emploi, découvre avec les arts martiaux que la meilleure défense, c’est l’attaque. Un féminisme de combat, souple et bondissant, qui vaut le coup.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Mabrouk el Mechri, dont on sait l’amour pour le cinéma d’action et d’arts martiaux chinois, rend un bel hommage aux classiques du genre avec Bruce Lee et Jackie Chan (en reprenant même les bruitages), à travers ce film très en colère, qui dénonce les violences conjugales.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Entre drame et clins d’œil au cinéma d’arts martiaux, ce film un peu bancal est sublimé par le talent éclatant de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un mélange des genres audacieux entre drame social, comédie absurde et tribute aux films de kung-fu.
Première
par Sylvestre Picard
Trois cinémas qui ont l’air de s’être sévèrement castagnés en salle de montage. Mais voilà, Sabrina Ouazani et Ramzy Bedia sont absolument surpuissants, à la fois dans le naturel et le « surjeu », et bouffent chaque scène jusqu’à leur ultime -et fabuleux- combat. Rien que pour leur duo, on vous assure que ça vaut le coup.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Malgré un scénario qui aurait mérité d’être plus écrit, le réalisateur, qui s’inspire d’un trauma familial, ne passe pas à côté de son sujet et offre un final réussi.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
D'abord film grand public intelligent sur les violences conjugales, Kung-Fu Zohra succombe aux sirènes d'un cinéma d'action plus trivial.
Le Parisien
par La Rédaction
On le trouvait intrigant, ce scénario. Une façon originale, décalée, pensait-on, de traiter les violences conjugales. Déception. Le tout sonne malheureusement faux. Les mécanismes d’emprise sont à peine effleurés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Marie Sauvion
Difficile de savoir ce qui est le pire ici, entre les interminables séances d’entraînement de Sabrina Ouazani et le cartoonesque affrontement final. Le réalisateur de JCVD (2008) s’empare d’un sujet de société pour revisiter Karaté Kid. Son douteux « Karaté bide » fait mal à la tête.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le spectateur aussi est enthousiaste devant la performance de la comédienne dont le charisme et la détermination éclairent Kung-Fu Zorah.
Mad Movies
En lieu et place de la comédie délirante redoutée, s'affirme un drame en délicats pointillés sur la violence conjugale et toutes les manipulations toxiques afférentes.
Voici
Une fable féministe qui, entre Karaté Kid et Kille Bill, traite sur un mode léger le lourd sujet des violences conjugales.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un féminisme de combat, souple et bondissant, qui vaut le coup.
Ecran Large
Un récit détonant, qui part trop fréquemment dans trop de directions pour tenir toutes ses vigoureuses promesses, mais qui étonne, voire impressionne, sitôt qu'il se repose sur l'action menée par ses deux formidables interprètes.
Le Dauphiné Libéré
Sabrina Ouazani, lasse de se prendre des claques dans la gueule par son méchant mari, Ramzy Bédia à contre-emploi, découvre avec les arts martiaux que la meilleure défense, c’est l’attaque. Un féminisme de combat, souple et bondissant, qui vaut le coup.
Le Journal du Dimanche
Mabrouk el Mechri, dont on sait l’amour pour le cinéma d’action et d’arts martiaux chinois, rend un bel hommage aux classiques du genre avec Bruce Lee et Jackie Chan (en reprenant même les bruitages), à travers ce film très en colère, qui dénonce les violences conjugales.
Les Fiches du Cinéma
Entre drame et clins d’œil au cinéma d’arts martiaux, ce film un peu bancal est sublimé par le talent éclatant de ses interprètes.
Ouest France
Un mélange des genres audacieux entre drame social, comédie absurde et tribute aux films de kung-fu.
Première
Trois cinémas qui ont l’air de s’être sévèrement castagnés en salle de montage. Mais voilà, Sabrina Ouazani et Ramzy Bedia sont absolument surpuissants, à la fois dans le naturel et le « surjeu », et bouffent chaque scène jusqu’à leur ultime -et fabuleux- combat. Rien que pour leur duo, on vous assure que ça vaut le coup.
Télé 7 Jours
Malgré un scénario qui aurait mérité d’être plus écrit, le réalisateur, qui s’inspire d’un trauma familial, ne passe pas à côté de son sujet et offre un final réussi.
CinemaTeaser
D'abord film grand public intelligent sur les violences conjugales, Kung-Fu Zohra succombe aux sirènes d'un cinéma d'action plus trivial.
Le Parisien
On le trouvait intrigant, ce scénario. Une façon originale, décalée, pensait-on, de traiter les violences conjugales. Déception. Le tout sonne malheureusement faux. Les mécanismes d’emprise sont à peine effleurés.
Télérama
Difficile de savoir ce qui est le pire ici, entre les interminables séances d’entraînement de Sabrina Ouazani et le cartoonesque affrontement final. Le réalisateur de JCVD (2008) s’empare d’un sujet de société pour revisiter Karaté Kid. Son douteux « Karaté bide » fait mal à la tête.