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Gourmetdefilms
59 abonnés
657 critiques
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2,5
Publiée le 5 mai 2012
C'est l'histoire de tic et tac qui non contents d'avoir échappé au meurtre d'un tueur fou, décident de lui laisser une nouvelle chance en se jetant cette fois ci dans sa gueule! Ca donne le ton sur l'incohérence et la bêtise des personnages et du scénario. C'est dommage car sinon il y a un peu de rythme, un peu de suspens et un semblant d'originalité. En résumé une histoire potable et une bonne ambiance même si on aperçoit pas grand chose, mais il y a de très grosses faiblesses dans le scénario!
Produit par, entre autres, F.F. Coppola, ce petit film d'horreur pose son ambiance et des personnages bien loin des stéréotypes du genre : 2 ados certes mais pas agaçants et superficiels comme bon nombre de protagonistes depuis ou encore avant. Le perso féminin est de loin le plus intéressant (bien plus que dans la saga "Scream" par exemple) et il est joué par une actrice convaincante et loin des stéréotypes du genre. Convoquant le Spielberg des débuts, V. Salva travaille son ambiance et son script, fait monter la sauce patiemment, maîtrise ses cadres et ses lumières avant de confronter nos héros au boogeyman. Sauf qu'à partir de là (après la scène avec la vieille aux chats, par ailleurs très réussie), le film s’essouffle un peu et a du mal à poser sa mythologie. Le final est un peu raté, malgré quelques plans magnifiques et le faible budget du film se sent parfois mais il est compensé par l'intelligence de la mise en scène. Cette partie plus faible est bien rattrapée par une scène finale d'anthologie, nouvelle preuve du talent à suivre de son auteur... qui aura bien du mal à confirmer par la suite. D'autres critiques sur
Le film commence sur les chapeaux de roue en introduisant un duo de personnages principaux beaucoup plus crédible et attachant que les clichés sur pattes qui hantent la plupart des films d’horreur. Les dialogues sont bien sentis et le suspense monte crescendo pour atteindre son paroxysme lors de la découverte de « l’antre de la bête ». On se dit alors qu’on va assister à un grand moment d’épouvante...et là c’est le drame! La première apparition du monstre coïncide avec le déclin du film qui enchaine les scènes d’actions sans âmes. L’atmosphère mise en place pendant la première moitié du film retombe comme un soufflé à mesure que les cadavres s’entassent. Comble de la torture: la scène finale est absolument géniale, comme pour mieux nous rappeler qu’on n’est pas passé loin d’un grand film.
Je met une étoile et demie pour le début, prometteur en road movie, la suite étant moins réussie, à partir du moment où le jeune homme décide, (stupidement et de façon complètement inconséquente), de revenir au lieu où ils vu des choses pas très catholiques se passer. Arrive une créature surnaturelle et invincible, d'aspect vu et revu dans maints films, et le film bascule dans l'ennui, avec une voyante et des dialogues inconsistants. La peur est absente, et aucune espèce de second degré ne viennent améliorer l'ensemble. Malheureusement, ce navet a eu des suites.
Le film commence comme un road-movie et c'est plutôt réussi puis on bascule dans le thriller horrifique quand la camionnette (une fusée d'ailleurs) pourchasse les deux héros charismatiques mais qu'on a envie de voir mourir très vite à force de les entendre se disputer. Puis vient la rencontre avec la créature, il faut dire que la grosse bébête n'est pas franchement effrayante et est mal faite. Enfin on bascule réellement dans l'horreur quand vient la scène de la station service et le suspens est à son comble. Au final un film qui est involontairement drôle mais qu'on ne s'y trompe pas l'horreur est quand même là.
A la coloc' du père Legris, on passe notre temps à mater des films du genre.
Or voyez vous, mes amis, celui-ci était sûrement le plus POURRI que l'on ait vu de notre vie. Toutefois, si vous n'avez ni conjoint, ni amis, ni famille, ni animal de compagnie, ni internet, ni la télé et bien dans ce cas là...en fait non même dans ce cas là préférez LARGEMENT la corde et le tabouret.
C'était un message du père Legris , et croyez le bien, pas le dernier.
Après avoir tâté de la clownerie horrifique dans les années 1980 avec " Clownhouse " et de la fable dépigmentée avec " Powder "pour Disney dans les années 1990, Victor Salva signe avec " Jeepers creepers ", dans les années 2000, son petit chef d’œuvre et démarre ainsi une franchise qui compte aujourd’hui deux suites. " Le chant du diable " (sous-titre français de l’original) marque les débuts d’une nouvelle figure du cinéma horrifique américain, le Creeper, une créature ailée, née de sa propre imagination, se muant aussi bien dans les airs qu’au volant d’une camionnette poussiéreuse qui arpente les routes du terroir du sud des Etats Unis. A la recherche de nouvelles proies pour régénérer sa vieille carcasse antique, cette créature nombriliste, mi-cowboy, mi-drag queen, pourrait ête issue d’un western moderne de Carpenter, de par son look, mais sévit ici dans le cadre ultra codé de Massacre à la tronçonneuse et consorts, dans des contrées isolées de la civilisation urbaine, au-delà du rationnel légendaire du FBI, une région sur laquelle chacun fantasme disparition et dégénérescence. Porté sur l’homoérotisme - sniffant le slip sale du jeune héros, roulant un palot à un flic décapité, ravissant les corps de jeunes mâles pour les priver de certains de leurs attributs, le Creeper devient dans la deuxième partie la star explicite d’un film tout de même bien barge. Pourtant, toute la réussite provient d’une première demi-heure mémorable où, justement, le monstre n’apparaît que brièvement à travers l’image de son camion de chauffard furibard, lors de scènes d’une grande intensité dramatique rappelant le Duel de Spielberg. Si la visite de son antre par le couple de héros atypiques, un frère et une sœur, ingénieusement interprétés, représente la pierre angulaire de ce « creepshow », la suite, marquée par le retour à la civilisation (notamment lors de l’assaut d’un commissariat) supporte mal la comparaison, tout en restant dans les sphères d’un cinéma de genre respectable.
pas mal comme film,scenario original,tres sombre et malsain dommage que l'on ne voit pas gd chose,notamment ds le commisariat mais c'est ce qui le rend plus angoissant et j'ai aodré la vieille camionette tt pourrir qui fait vraiment flipper et va bien avec cette chose 3,5/5.A voir au moins une fois
Plus que moyen dans l'ensemble , ce genre de film n'apporte rien de nouveau.De gros plans sur les visages des ados bouche grande ouverte et yeux ecarquillés saoulent de plus en plus tout au long du film (surtout le garçon qui ne sait faire que ça).Pour surprendre le spectateur, le réalisateur a choisi d'amplifier exagerement certains bruit (moteur du camion fou ou l'arrivé du méchant par exemple).A part ça , c'est fade et un peu kitch: on se demande quel drole d'idée a eu le scénariste pour inclure cette musique débile qui annonce l'arrivé du vilain. Reste la derniere image du film , sympathique.
2 ados hystériques et cons comme un manche qui font tout pour se faire tuer ,une ambiance pas terrible bref , un navet faut être fort pour en faire 3?.
Il y a une bonne chose dans ce film, ses belles images. Sinon, le Creepers est pas effrayant, d'accord la décoration de sa maison est asser glauque et ce qui fait à Daryl, les discours sont consternant et plus un amalgame de tout les clichés. En claire très décevant.
La force de ce film réside dans ses personnages attachants et sans trop de fioritures. La créature énigmatique et solitaire est sympathique à découvrir.
Un croquemitaine vraiment marquant dans ce film d'horreur pas mal stressant (surtout dans la première moitié d'ailleurs). Macabre sans être gore et avec plusieurs scènes d'effrois efficace mais pas exceptionnelles.