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Votre avis sur Jeepers Creepers, le chant du diable ?
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Encore un teen-movie d'horreur ! M'écrias-je en voyant le couple cheminer sur la Gran'route. Eh bien non ce n'est pas vraiment ça, nous avons là un vrai film d'horreur et d'angoisse, un scénario orignal, et une action servie par des acteurs qui se donnent à fond, la prestation de Gina Philips est extraordinaire, mais Justin Long nous prouve aussi qu'il est un bon acteur. Le film est plein de petites trouvailles et le fait que les protagonistes soient frère et sœur et non pas petits amis modifie les rapports habituels Le second degré et l'autodérision ne sont pas exclu ainsi un moment Gina dira à Justin "Dans les films d'horreur, il y a toujours un con qui déconne… T'es ce con-là !" on encore la scène du dévidoir ou Gina t
spoiler:
ient Justin par les pieds, en sait bien qu'elle va les lâcher ses pieds
…et c'en est que plus jouissif ! L'empathie pour les deux "héros" fonctionne très bien, ce qui 'est pas toujours évident dans ce genre de film. Enfin le monstre est très réussi conservant sa part de mystère et parvenant à nous surprendre (voir la fin). Quand aux critiques qui nous pompent l'air en parlant de la décision idiote prise au début par Justin, je dirais deux choses : déjà dans la vraie vie on est tous amené à prendre parfois des décisions idiotes, et puis si tout le monde restait dans ses clous, le cinéma serait bien triste ! Un très bon film de genre, une très belle Gina Philips, que du bonheur !
…et c'en est que plus jouissif ! L'empathie pour les deux "héros" fonctionne très bien, ce qui 'est pas toujours évident dans ce genre de film. Enfin le monstre est très réussi conservant sa part de mystère et parvenant à nous surprendre (voir la fin). Quand aux critiques qui nous pompent l'air en parlant de la décision idiote prise au début par Justin, je dirais deux choses : déjà dans la vraie vie on est tous amené à prendre parfois des décisions idiotes, et puis si tout le monde restait dans ses clous, le cinéma serait bien triste ! Un très bon film de genre, une très belle Gina Philips, que du bonheur !
Long-métrage visuellement talentueux et au potentiel horrifique audacieux !
Le scénario est originalement mis en oeuvre !
La bande originale est honorablement géniale !
Les acteurs et actrices offrent une maîtrise intensive dans leurs rôles respectifs !!!
Une véritable réussite à l'ambiance effrayante !!!
Le scénario est originalement mis en oeuvre !
La bande originale est honorablement géniale !
Les acteurs et actrices offrent une maîtrise intensive dans leurs rôles respectifs !!!
Une véritable réussite à l'ambiance effrayante !!!
Un film sympathique qui nous présente un personnage intriguant, le Creeper. Hâte de voir la suite et d'en apprendre plus sur ce personnage. Jeepers Creepers !!!!
Alexarod
Mouais, très moyen, un film d'horreur sympathique mais qui n'apporte rien au genre car trop balisé.
On se doute de tout, la trame n'étant pas des plus originales, l'histoire est un peu banale mais la mise en scène est claire. De même, le maquillage et le costume du monstre sont un peu fait à la va vite par moments, d'où le côté foireux série B. Si le face à face en voiture rappelle Duel (comme beaucoup l'ont remarqué), les ados poursuivis c'est trop cliché, comme les morts de ceux-ci et les dialogues. Du coup leur jeu est médiocre, complètement n.ul pour certains autres. Une autre critique disait qu'on souhaite les voir mourir, c'est pas faux. On ne peut cacher que, si le début et la fin sont biens, entre deux c'est limite mauvais, dommage. En cause, outre le réalisme oublié, une horreur pas terrifiante et virant presque à l'humour. Je ne sais pas si c'est voulu mais dans tous les cas l'épouvante est loupée et le comique ne fait pas rire, même cet entre-deux n'est pas forcément réjouissant car on ne sait où se placer dans le registre. Quant à l'obscurité elle est mal gérée, tantôt trop pour cacher les imperfections du costume de monstre, tantôt pas assez ce qui étonne pour une nuit noire, mais rarement gérée de façon à ce qu'on ne décroche pas à force de rien ou trop voir.
La musique reste bonne par contre et les FX moyens. Il faut surtout noter que le rythme se tient, assez soutenu il ne descend que pour laisser des paliers de repos, faire avancer un peu l'histoire et l'intrigue. Résultat : peu de longueurs ou de scènes inutiles, ça fait un peu teen movie car la profondeur et la psychologie des personnages n'existe guère mais on se laisse porter par l'élan et ça divertit.
Au final, le mélange des genres (humour-épouvante voulu ou non voulu/road et teen movie avec survival) se plante. Ou c'est mal fait ou le mix ne marche pas, il aurait fallu être bien plus précis et rigoureux pour réussir, et avec de tel acteurs (aucun n'a percé, Justin Long est déjà oublié) ça partait mal. Ah, et une fois n’est pas coutume, je trouve la suite meilleure mais pas de beaucoup.
On se doute de tout, la trame n'étant pas des plus originales, l'histoire est un peu banale mais la mise en scène est claire. De même, le maquillage et le costume du monstre sont un peu fait à la va vite par moments, d'où le côté foireux série B. Si le face à face en voiture rappelle Duel (comme beaucoup l'ont remarqué), les ados poursuivis c'est trop cliché, comme les morts de ceux-ci et les dialogues. Du coup leur jeu est médiocre, complètement n.ul pour certains autres. Une autre critique disait qu'on souhaite les voir mourir, c'est pas faux. On ne peut cacher que, si le début et la fin sont biens, entre deux c'est limite mauvais, dommage. En cause, outre le réalisme oublié, une horreur pas terrifiante et virant presque à l'humour. Je ne sais pas si c'est voulu mais dans tous les cas l'épouvante est loupée et le comique ne fait pas rire, même cet entre-deux n'est pas forcément réjouissant car on ne sait où se placer dans le registre. Quant à l'obscurité elle est mal gérée, tantôt trop pour cacher les imperfections du costume de monstre, tantôt pas assez ce qui étonne pour une nuit noire, mais rarement gérée de façon à ce qu'on ne décroche pas à force de rien ou trop voir.
La musique reste bonne par contre et les FX moyens. Il faut surtout noter que le rythme se tient, assez soutenu il ne descend que pour laisser des paliers de repos, faire avancer un peu l'histoire et l'intrigue. Résultat : peu de longueurs ou de scènes inutiles, ça fait un peu teen movie car la profondeur et la psychologie des personnages n'existe guère mais on se laisse porter par l'élan et ça divertit.
Au final, le mélange des genres (humour-épouvante voulu ou non voulu/road et teen movie avec survival) se plante. Ou c'est mal fait ou le mix ne marche pas, il aurait fallu être bien plus précis et rigoureux pour réussir, et avec de tel acteurs (aucun n'a percé, Justin Long est déjà oublié) ça partait mal. Ah, et une fois n’est pas coutume, je trouve la suite meilleure mais pas de beaucoup.
Succès surprise de l'année 2001, produit par Francis Ford Coppola et sorti le même mois que l'effondrement des deux tours, Jeepers Creepers s'imposait alors comme une authentique réussite du cinéma horrifique. Réalisé par le méconnu Victor Salva, déjà réalisateur de Clownhouse, Bad Company et Powder, le film suit le périple routier de deux étudiants, frangin et frangine, profitant des vacances estivales pour rejoindre leurs parents. Alors qu'ils font route à travers la campagne isolée, ils remarquent un fourgon sinistre garé dans un champ, le même qui avait embouti l'arrière de leur voiture quelques kilomètres plus tôt. Ils aperçoivent alors son chauffeur, un homme à l'aspect inquiétant, en train de jeter dans une canalisation ce qui semble être un cadavre. Intrigués, les deux jeunes attendent que l'homme reparte pour aller voir ce qu'il y a caché. Ce qu'ils trouvent, au fond d'une cave sordide, en dit alors suffisamment long sur la dangerosité de l'inconnu.
A partir d'un postulat minimaliste au possible, le scénario de Jeepers Creepers déroule une intrigue se révélant à l'image de son antagoniste : en constante évolution. Loin de se complaire à livrer un énième boogeyman masqué de slasher, le réalisateur et scénariste imagine une créature totalement originale au look hybride (comme les mutants de Mimic) et dont les motivations, tout autant que la nature, demeureront indéterminées. Tout juste nous sera-t-il révélé au détour de quelques dialogues que la bête (qui n'a d'ailleurs pas de nom dans le film) se réveille tous les vingt-trois ans pour se repaître de chairs fraîches sans préciser réellement de quelle façon (quel peut-être son mode de prédation ?). Cette ambiguïté des motivations de la créature participe à instaurer une réelle tension anxiogène tout au long de cette course-poursuite effrénée, d'autant que le monstre paraît de prime abord invulnérable et que son évolution morphologique semble aller de paire avec sa détermination vorace.
Face à la menace représentée par leur poursuivant, la relation fraternelle entre les deux jeunes protagonistes tend à se resserrer inextricablement pour aboutir à cet épilogue étonnant qui, outre son aspect purement dramatique, tend à ériger le creeper en une sorte d'icône horrifique, hyper-sexualisée et foncièrement déviante, dont on s'interroge longtemps sur la nature de l'appétit (il faut voir comme il flaire de très près les vêtements de ses proies pour choisir sa future victime) et sur ses goûts musicaux en matière de musique jazzy (le morceau enjoué Jeepers Creepers de Jack Teagarden et Johnny Mercer, écouté en boucle par le monstre, contrebalance à merveille l'ambiance sordide du métrage). Les deux séquelles, bien moins réussies que ce premier opus, apporteront à peine plus de réponses.
Il convient surtout de revenir sur le passé criminel du réalisateur, Victor Salva, pour tenter de s'expliquer cette sexualisation malsaine du creeper. Reconnu coupable d'attouchements sexuels sur un jeune interprète de Clownhouse, le cinéaste aura été contraint de mettre plusieurs fois en stand-by sa carrière (notamment pour purger une peine de prison de quinze mois). Ayant plaidé coupable lors de son procès, Salva a révélé plus tard que Jeepers Creepers avait été pour lui l'occasion d'exorciser ses démons en inventant la figure dérangeante et sexuellement malsaine du creeper. Tout aussi réussi soit-il, son film peut ainsi difficilement s'apprécier quand on connait le passif pédophile de son réalisateur. Il s'agit alors soit de considérer Jeepers Creepers pour ce qu'il est, un très bon survival horrifique, soit de le condamner purement et simplement pour ce que représente Salva. Un sujet qui n'est pas loin de rejoindre la polémique ayant animé la dernière cérémonie des césars au sujet de Roman Polanski et qui démontre toujours la difficulté morale de distinguer la qualité d'une oeuvre du passif dégueulasse de son auteur.
A partir d'un postulat minimaliste au possible, le scénario de Jeepers Creepers déroule une intrigue se révélant à l'image de son antagoniste : en constante évolution. Loin de se complaire à livrer un énième boogeyman masqué de slasher, le réalisateur et scénariste imagine une créature totalement originale au look hybride (comme les mutants de Mimic) et dont les motivations, tout autant que la nature, demeureront indéterminées. Tout juste nous sera-t-il révélé au détour de quelques dialogues que la bête (qui n'a d'ailleurs pas de nom dans le film) se réveille tous les vingt-trois ans pour se repaître de chairs fraîches sans préciser réellement de quelle façon (quel peut-être son mode de prédation ?). Cette ambiguïté des motivations de la créature participe à instaurer une réelle tension anxiogène tout au long de cette course-poursuite effrénée, d'autant que le monstre paraît de prime abord invulnérable et que son évolution morphologique semble aller de paire avec sa détermination vorace.
Face à la menace représentée par leur poursuivant, la relation fraternelle entre les deux jeunes protagonistes tend à se resserrer inextricablement pour aboutir à cet épilogue étonnant qui, outre son aspect purement dramatique, tend à ériger le creeper en une sorte d'icône horrifique, hyper-sexualisée et foncièrement déviante, dont on s'interroge longtemps sur la nature de l'appétit (il faut voir comme il flaire de très près les vêtements de ses proies pour choisir sa future victime) et sur ses goûts musicaux en matière de musique jazzy (le morceau enjoué Jeepers Creepers de Jack Teagarden et Johnny Mercer, écouté en boucle par le monstre, contrebalance à merveille l'ambiance sordide du métrage). Les deux séquelles, bien moins réussies que ce premier opus, apporteront à peine plus de réponses.
Il convient surtout de revenir sur le passé criminel du réalisateur, Victor Salva, pour tenter de s'expliquer cette sexualisation malsaine du creeper. Reconnu coupable d'attouchements sexuels sur un jeune interprète de Clownhouse, le cinéaste aura été contraint de mettre plusieurs fois en stand-by sa carrière (notamment pour purger une peine de prison de quinze mois). Ayant plaidé coupable lors de son procès, Salva a révélé plus tard que Jeepers Creepers avait été pour lui l'occasion d'exorciser ses démons en inventant la figure dérangeante et sexuellement malsaine du creeper. Tout aussi réussi soit-il, son film peut ainsi difficilement s'apprécier quand on connait le passif pédophile de son réalisateur. Il s'agit alors soit de considérer Jeepers Creepers pour ce qu'il est, un très bon survival horrifique, soit de le condamner purement et simplement pour ce que représente Salva. Un sujet qui n'est pas loin de rejoindre la polémique ayant animé la dernière cérémonie des césars au sujet de Roman Polanski et qui démontre toujours la difficulté morale de distinguer la qualité d'une oeuvre du passif dégueulasse de son auteur.
Un vrai film d'horreur comme on est fait quasiment plus . Il y a un scénario bien solide . Ca démarre comme souvent avec deux jeunes. Et un camion fou qui roule à vive allure . Et une ancienne église abandonné, des corbeaux tout autour et le camion avec un étrange personnage..... on rentre directement dans le film et on en sort agréablement bien . Je suis pas film d'horreur mais j'ai beaucoup aimé. Beaucoup de rebondissements , des personnages attachants. Tres bon
Autant la première moitié du film est vraiment très bonne, autant une fois que le "Creeper" se révèle, ça prend une tournure un peu trop série B pour moi et on finit par décrocher. C'est dommage parce que, encore une fois, je trouve la première partie vraiment réussie, que ce soit dans la mise en scène bien pensée ou dans le suspense plutôt bien dosé. De plus, le jeu des acteurs (sans non plus être exceptionnel) n'est pas mal, rajoutant une petite touche de kitch bienvenue.
L'ayant découvert depuis tout jeune, je me rends compte aujourd'hui que le film n'a pris aucune ride. Jeepers Creepers, le chant du diable, est sans doute l'un de ces films d'horreur intemporel qui ne vieillit jamais ! Ce malgré le temps qui passe. On assiste à une redécouverte de la peur au sens salvateur du terme. Et on ne peut que féliciter son Créateur, de cette pépite ! de l'horreur qui lui vaudra sûrement une place parmi les réalisateurs (les plus créatifs) qui ont su réinventer le genre.
J’ai trouvé ce film génial. À l'époque il a d’ailleurs remporté un franc succès chez les amateurs d’horreur. Cela lui donnera même droit à une suite en 2003 puis un troisième opus en 2017. La réussite tient à l’atmosphère qui respire le pur style horrifique. Nous avons les deux adolescents innocents. C’était le premier film de Justin Long que j’avais croisé par la suite dans l’excellente comédie ADMIS À TOUS PRIX. Il passe du coq à l’âne. Je les ai beaucoup aimés dans leur panique et leur logique à se jeter dans la gueule du loup propre à ce genre. Après, on a la créature qui les poursuit. Sa dégaine à un côté à la fois imposant et terrifiant. Je l’ai adoré. Quoi qu’il arrive, elle ne les lâche pas ! Une détermination digne des plus grands. Et en clou du spectacle, on aura des morts bien violentes. Tous les ingrédients pour passer un bon moment sont là. Au-delà, il faut aussi que la manière soit correcte et c’est le cas. Le rythme est bon sans ralentissements qui casseront notre délire. Et le visuel malgré le faible budget est travaillé. JEEPERS CREEPERS, LE CHANT DU DIABLE nous montre que sans grand moyen, on peut quand même faire un film d’horreur qui restera dans les mémoires de ceux qui auront croisé sa route.
Le film commençait bien.
En particulier avec la scène dans la grotte qui est assez tendue et malsaine.
Honnêtement le film aurait continué de cette manière, je l'aurai trouvé plutôt moyen, avec quelques défauts et des moments un peu bizarres, mais somme toute, ça passe.
Sauf que les persos sont insupportables.
Surtout la fille.
Tellement insupportable que j'avais envie de rentrer dans l'écran pour la taper tellement elle me saoulait.
Et mon problème, c'est que j'ai aucune patience. Avec des persos insupportables, je commence à m'énerver devant le film et je passe un très mauvais moment, donc voilàaaaa.
En particulier avec la scène dans la grotte qui est assez tendue et malsaine.
Honnêtement le film aurait continué de cette manière, je l'aurai trouvé plutôt moyen, avec quelques défauts et des moments un peu bizarres, mais somme toute, ça passe.
Sauf que les persos sont insupportables.
Surtout la fille.
Tellement insupportable que j'avais envie de rentrer dans l'écran pour la taper tellement elle me saoulait.
Et mon problème, c'est que j'ai aucune patience. Avec des persos insupportables, je commence à m'énerver devant le film et je passe un très mauvais moment, donc voilàaaaa.
un film captivant , la créature est plutot bien faite et il y a pas mal d'action... je donne donc la note de 4/5
C'est la première fois que je vois un truc pareil... comment est-ce possible de réaliser un film de manière aussi sérieuse avec un "grand méchant" aussi absurde ? À mi-chemin entre l'homme et le monstre, le personnage nage entre deux eaux, ce qui déstabilise le spectateur que je suis. C'est dommage parce que les acteurs jouent bien et la réalisation est correct. Mais à vouloir faire un scénario trop original, le créateur est tombé dans le burlesque involontairement. Le chant du diable, hein ? Eh bien le diable chante comme une casserole ^^
On est d'accord ce n'est pas le top de la décennie d'autant que "Jeepers Creepers" sorti en 2001 aurait parfaitement eu sa place dans les années 80 par son type de réalisation. Reste que ce film est tout à fait recommandable avec une tension bien présente. Anecdote, il a été co-produit par Francis Ford Coppola qui ne doit pas être du genre à placer ses dollars dans la 1ere série Z venue. Cette histoire de 2 ados (frére et soeur) paumés dans un bled du fin fond des states aux prises avec une créature cauchemardesque a pas mal d'atouts pour elle. Le patelin ou on sent la population à la limite de la consanguinité et les attaques assez "grand guignol". Reproche en ce qui me concerne, je trouve que la créature fait un peu kitsch et à l'air de sortir de Star Treck ou de Battlestar Galactica. Plus terrifiant ca aurait valu une demi étoile de plus.... 3 / 5 car j'ai passé un bon moment sans prise de tête
Dans le domaine du fantastique et de l'horreur, les recettes les plus simples sont souvent les meilleures.
Même si le scénario n 'a rien d'original et qu'on se doute un petit peu de ce qui va se passer, on reste figé devant l'écran. La maîtrise de la réalisation, la qualité de jeu des acteurs qui -parait-il- ne connaissaient pas l'apparence du creeper avant d'être filmés et le côté "Amérique profonde" avec vieilles bagnoles, fast food et personnages plutôt "country" donnent un aspect pas forcément original mais rudement efficace.
De plus, il y a un côté humoristique (la scène ou le personnage de Darry veut entrer, seul, dans le tunnel sous la maison du tueur alors que sa soeur lui explique qu'il n'y a que dans les mauvais films qu'un personnage peut prendre de tels risques) ce qui renforce la qualité intrinsèque de cette histoire. Bientôt 20 ans et pas une ride !
Même si le scénario n 'a rien d'original et qu'on se doute un petit peu de ce qui va se passer, on reste figé devant l'écran. La maîtrise de la réalisation, la qualité de jeu des acteurs qui -parait-il- ne connaissaient pas l'apparence du creeper avant d'être filmés et le côté "Amérique profonde" avec vieilles bagnoles, fast food et personnages plutôt "country" donnent un aspect pas forcément original mais rudement efficace.
De plus, il y a un côté humoristique (la scène ou le personnage de Darry veut entrer, seul, dans le tunnel sous la maison du tueur alors que sa soeur lui explique qu'il n'y a que dans les mauvais films qu'un personnage peut prendre de tels risques) ce qui renforce la qualité intrinsèque de cette histoire. Bientôt 20 ans et pas une ride !
RealPrime
Personnage que j'ai découverts sur Allociné lors de la semaine de sortie d'"Halloween", le site à en effet regrouper en diapo tous les criminels du cinéma d'horreur, il fut le seul que je ne connaissais pas. Intriguer et du coup vu en entier, je peux confirmer qu'il est en quelque sorte le successeur de freddy sans trop exagérer non plus. Mais avant çà,
spoiler:
on découvre 2 jeunes, frère et sœur qui partent en vacances chez leurs parents et tombe sur la demeure de ce psychopathe sanguinaire. L'action met certes du temps à arriver mais pas trop car l'ambiance stressante et le très bon jeu de tous fait que l'ensemble n'ennuie jamais. Et notre criminel arrive dans sa fourgonnette rouillée à une ultra vive allure pour atteindre on ne sait quel objectif. Puis le sous sol de sa demeure, une église vieille comme le monde ou y sont entasser des corps sans vie et nus. En plus de çà, ces derniers sont comme plastifier, ce qui les rend joli à regarder, pas comme des corps décomposer et puants.Le décors donc est très bien assurer. Enfin, la scène avec tous les policiers dans leur bâtiment en combat et en stress contre ce diable est géniale. Et notre même anti-héros qui se relève d'entre les morts avec ses ailes est juste géniale, jamais j'aurais cru çà.
Un premier film très prometteur pour la suite accompagner d'une superbe interprétation.
Un premier film très prometteur pour la suite accompagner d'une superbe interprétation.
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