Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Zoé Lin
Sans théoriser, sans pathos ni jugement à l'emporte-pièce, le film laisse l'histoire se construire au gré des aléas amoureux, des hésitations, des séparations qui dessinent d'autres projets de vie (...) Avec ce quatrième long métrage, Bruno Bontzolakis signe un film sans prétention mais qui sonne juste.
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
(...) un film simple et touchant, dans lequel (Bruno Bontzolakis) distille l'émotion tout au long de son récit, sans trop appuyer, et en se mettant au service de ses personnages joliment dessinés.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Je t'aime, je t'adore pourrait juste être un de ces films dans l'air du temps. Or, le long-métrage de Bruno Bontzolakis a, au final, un vrai supplément d'âme. Grâce aux comédiens, tous très bons, mais aussi à une mise en scène sensible et jamais larmoyante, on s'attache à cette histoire, à ses personnages et à leurs valses-hésitations (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Philippe Piazzo
Modeste radiographie de la fin d'un couple, mais assez percutante dans les détails. Même si la mise en scène n'arrive pas à donner assez de souffle à l'ensemble pour vraiment décoller, on peut être très sensible aux pointillés dessinés par le film.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Ce portrait de femme refusant les malédictions (...) est (...) l'une des forces du film. Si les acteurs sont inégaux (...), le problème du film est ailleurs : dans l'incapacité à élever la mise en scène au niveau du cinéma. Dialogues basiques, cadrages serrés, style inexistant : Je t'aime, je t'adore est un attachant téléfilm.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
En dépit (de) quelques scories (...) l'ensemble est fin, exact, de bon aloi, mais le film se boucle si bien et retombe si posément sur ses pattes que l'on reste un peu sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Eric Aeschimann
Sarah Grappin éclaire un film à la mise en scène poussive.
Première
par Olivier de Bruyn
(...) les personnages sont présentement engoncés dans les stéréotypes psy, et le film peine à échapper aux clichés... Restent quelques scènes où le réalisme scrupuleux de Bontzolakis parvient à donner vie à ce drame intimiste trop prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
Ni fait ni à faire conviendrait mieux, hélas, tant le film de Bruno Bontzolakis semble n'avoir pas encore émergé à la réalisation.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Ni le cardiogramme, ni l'encéphalogramme ne sont tout à fait plats. Mais la léthargie, l'indigence de la mise en scène, la tranquillité du scénario et la mollesse des acteurs empêchent le film d'exister pour de bon.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Comme Delphine, le film fait des longueurs. Il va d'un homme à l'autre, et retour. Pendant ce temps, le spectateur fait tapisserie.
MCinéma.com
par Caroline Collard
On n'a rien contre a priori, sauf que les scènes se succèdent sans qu'on entre réellement dans une histoire incarnée, en ce qui concerne le couple de départ. Leur histoire s'effiloche sans surprises, sans aspérités, avec une certaine banalité peu enthousiasmante.
Positif
par Eithne O'Neill
(...) le propos du film, s'appuyant sur une direction d'acteurs peu inspirée, sur une écriture tout en surface, sur une platitude visuelle, donne un cinéma adolescent qui n'accroche guère le spectateur, qui reste de glace devant le sort de ces personnages.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Mis en scène avec l'ardeur d'un Rohmer sous Tranxène, le film ne parvient que très rarement à sonder le désir qui rôde, à instiller un peu de trouble dans cette ambiance gentiment policée et à mettre en valeur l'intrigue de cette histoire exagérément prévisible...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Sans théoriser, sans pathos ni jugement à l'emporte-pièce, le film laisse l'histoire se construire au gré des aléas amoureux, des hésitations, des séparations qui dessinent d'autres projets de vie (...) Avec ce quatrième long métrage, Bruno Bontzolakis signe un film sans prétention mais qui sonne juste.
MCinéma.com
(...) un film simple et touchant, dans lequel (Bruno Bontzolakis) distille l'émotion tout au long de son récit, sans trop appuyer, et en se mettant au service de ses personnages joliment dessinés.
TéléCinéObs
Je t'aime, je t'adore pourrait juste être un de ces films dans l'air du temps. Or, le long-métrage de Bruno Bontzolakis a, au final, un vrai supplément d'âme. Grâce aux comédiens, tous très bons, mais aussi à une mise en scène sensible et jamais larmoyante, on s'attache à cette histoire, à ses personnages et à leurs valses-hésitations (...)
Aden
Modeste radiographie de la fin d'un couple, mais assez percutante dans les détails. Même si la mise en scène n'arrive pas à donner assez de souffle à l'ensemble pour vraiment décoller, on peut être très sensible aux pointillés dessinés par le film.
Le Monde
Ce portrait de femme refusant les malédictions (...) est (...) l'une des forces du film. Si les acteurs sont inégaux (...), le problème du film est ailleurs : dans l'incapacité à élever la mise en scène au niveau du cinéma. Dialogues basiques, cadrages serrés, style inexistant : Je t'aime, je t'adore est un attachant téléfilm.
Les Inrockuptibles
En dépit (de) quelques scories (...) l'ensemble est fin, exact, de bon aloi, mais le film se boucle si bien et retombe si posément sur ses pattes que l'on reste un peu sur sa faim.
Libération
Sarah Grappin éclaire un film à la mise en scène poussive.
Première
(...) les personnages sont présentement engoncés dans les stéréotypes psy, et le film peine à échapper aux clichés... Restent quelques scènes où le réalisme scrupuleux de Bontzolakis parvient à donner vie à ce drame intimiste trop prévisible.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Ni fait ni à faire conviendrait mieux, hélas, tant le film de Bruno Bontzolakis semble n'avoir pas encore émergé à la réalisation.
Chronic'art.com
Ni le cardiogramme, ni l'encéphalogramme ne sont tout à fait plats. Mais la léthargie, l'indigence de la mise en scène, la tranquillité du scénario et la mollesse des acteurs empêchent le film d'exister pour de bon.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Comme Delphine, le film fait des longueurs. Il va d'un homme à l'autre, et retour. Pendant ce temps, le spectateur fait tapisserie.
MCinéma.com
On n'a rien contre a priori, sauf que les scènes se succèdent sans qu'on entre réellement dans une histoire incarnée, en ce qui concerne le couple de départ. Leur histoire s'effiloche sans surprises, sans aspérités, avec une certaine banalité peu enthousiasmante.
Positif
(...) le propos du film, s'appuyant sur une direction d'acteurs peu inspirée, sur une écriture tout en surface, sur une platitude visuelle, donne un cinéma adolescent qui n'accroche guère le spectateur, qui reste de glace devant le sort de ces personnages.
aVoir-aLire.com
Mis en scène avec l'ardeur d'un Rohmer sous Tranxène, le film ne parvient que très rarement à sonder le désir qui rôde, à instiller un peu de trouble dans cette ambiance gentiment policée et à mettre en valeur l'intrigue de cette histoire exagérément prévisible...