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Un visiteur
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Ce film m'a beaucoup plus. Beau retournement de situation. Juste dommage de la présence d'un certain ''écrivain''médiocre prénommé frédérique à la fin du film.
Les acteurs sont bons, la compagne de Bouchitey crève carrément l'écran avec un rôle pourtant à 90 % muet. Le rythme du film lent ou plutôt calme colle parfaitement avec la nature de l'intrigue, mais un petit bémol pourtant, le début ne colle pas assez avec la fin à mon goût peut-être est-ce l'inverse en tous les cas la rapide intrigue "policière" me semble hors propos. Il n'en reste pas moins un film intelligent et intéressant, à voir donc.
J'ai aimé avec un beau 4etoiles. Malgré un scénario qui nous annonce tout de suite l'arbre du film,une BS abominable qui aurait dû je pense rester sur le choix de la musique classique.Le reste est une pépite de scènes et d'images...avec une adorable Charlotte. Pas pour tout public c'est sûr. Le film à plusieurs niveaux de lectures... plus profond qu'il n'y paraît.J aime le cinéma pour ça !
Un "thriller littéraire" qui se laisse regarder comme une bonne série B.Patrick Bouchitey n'a pas manqué d'ambition, mais ses tentatives visant à se démarquer du genre ne sont pas toutes réussies.Des passages encombrés de symboles semblent peser des tonnes;d'autres au contraire basculent dans un onirisme témoignant de la richesse de l'univers du cinéaste.Les lourdeurs sont en partie effacées par la composition toute en finesse de Laetitia Chardonnet, qui parvient à marquer les esprits malgré un rôle un peu ingrat.Trop linéaire, ce film au dénouement prévisible parvient à susciter malgré tout l'intérêt grâce aux fulgurances de son réalisateur.
très beau film dont le montage participe beaucoup à la mise en scène. Bons acteurs, beaux cadrages, belle lumière. On ne s'ennuie pas une seconde. Merci Patrick et à quand le prochain ?
Imposture est un film intelligent qui à l'inverse d'autres films n'utilise pas des effets de violence pour les scènes de sequestration. Celle-ci serait peut-être plus une métaphore d'un écrivain raté qui aimerait s'approprier le génie d'un autre. La violence est celle du pouvoir de la création, de notre impuissance à créer nous-mêmes et envier le talent d'autrui. Les non-dits, les silences sont très bavards et ambigus. On sent une réelle complicité des deux entités. Bravo!