Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Brazil
par Caroline Vié
Ce qui aurait pu être un énième film de séquestration (...) tourne à l'histoire d'amour délicieusement perverse (...). Bouchitey se plaît à étudier ses rapports avec sa muse, la révélation Laetitia Chardonnet, sans ménager le moins du monde ses personnages. Réflexion ironique sur les affres de la création où bourreau et victime échangent leurs rôles avec délectation, Imposture emporte benoîtement dans une spirale étouffante ventilée de juste ce qu'il faut d'ironie.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
S'il a gardé la trame du livre, Patrick Bouchitey a transformé le personnage de psychopathe meurtrier en kidnappeur berné. Il forme, avec Laetitia Chardonnet, un parfait et étrange duo sans héros ni vaincu et nous tient en haleine tout au long de ce passionnant suspense.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Patrick Bouchitey (....) s'en tire aussi bien que son héros : fine analyse psychologique des personnages, acteurs épatants et suspense habilement entretenu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
Patrick Bouchitey revient ici par la grande porte. Son film dépasse astucieusement et brillamment le thriller littéraire. Il plonge dans le genre par sa trame (...) mais en évite les écueils par une description très fine du milieu de l'édition et de ses bassesses. (...) L'ensemble est d'autant plus enthousiasmant que les acteurs, dont la débutante Laetitia Chardonnet, donnent le meilleur d'eux-mêmes.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
par La rédaction
(...) personnage que Patrick Bouchitey compose avec gourmandise pour installer effroi, détresse et cruauté (...) sa victime, campée avec une pathétique présence par la jeune Laetitia Chardonnet. (...) Cette duplicité est habilement installée, elle fait bien fonctionner le début du récit (...). La suite est moins convaincante, et guère plausible (...). Difficile d'éviter les scènes répétitives, et convenues, pour raconter le temps qui passe, jusqu'à un dénouement final qui n'ose pas jouer jusqu'au bout le jeu de la noirceur. Dommage.
Positif
par Pierre Eisenreich
La réalisation se contente d'orchestrer avec platitude une mécanique de l'internement, et oublie de tisser de réels liens dramatiques (...). Cette accumulation de maladresses ne doit pourtant pas ternir le ton plaisamment impoli de cette production (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
(...) un film noir assez classique, dans le fond comme dans la forme (...). Un véritable personnage chabrolien, psychopathe en puissance (...). Bien que traversée de moments lumineux, la [deuxième partie] déroule une logique assez prévisible jusqu'au twist final, plutôt raté. Mais la singularité de Bouchitey rachète grandement ces quelques approximations.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Anthony Wong
Passé un premier quart d'heure d'exposition qui pose lourdement les rouages du suspense (...), Bouchitey retrouve son goût pour la perversion humaine dans la dernière heure. Doucement mais sûrement, il instaure une relation entre le kidnappeur et la victime qui va tourner de manière ironique, transformant le sordide fait divers en un drame Agatha Christien. Au final, la morale ne sera pas sauve, mais l'honneur de Bouchitey, oui !
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Louis Guichard
(...) un thriller imparfait, mais énergique (...). Dans la première partie, Patrick Bouchitey réalisateur l'emporte au culot, tout à sa volonté de prendre le spectateur de vitesse, pour mieux faire passer l'énormité de l'argument. (...) Bouchitey prend la tangente, en tirant l'histoire vers le huis clos abstrait, la construction mentale. (...) Jusque-là guetté par une noirceur un peu crapoteuse, et contaminé par le cynisme de son protagoniste, le film en devient plus humain et plus équilibré - passons sur la maladresse de l'épilogue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Bien troussé, même si on était en droit d'attendre plus de Patrick Bouchitey. S'il y a un film français attendu cette année, c'est bien celui-ci (...) les ombres tutélaires de Chabrol et d'Hitchcock sont présentes, Bouchitey examine en creux tout un tas de choses passionnantes. (...) Le scénario, bien troussé, entraîne sans problème dans ses spirales paranos mais l'ensemble manque de folie comme de cruauté. La preuve avec la pirouette finale aussi prévisible que troublante.
Cahiers du Cinéma
par Imposture
Pas une seconde de suspense, petites scènes maltraitées en simples jalons du récit, un tel utilitarisme évoque le triomphant Jacques Audiard, dont l'âme semble s'être posée sur bouchitey, qu'on avait pourtant connu génialement digressif dans Lune froide. D'Audiard, Imposture affiche aussi l'imaginaire glauque à base de médiocrité pavillonnaire et de dépressiona aigre, litanie misanthrope aussi radoteuse que du Cioran -cité à plusieurs reprises.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) le film ambitionne visiblement de jouer une carte qui oscille entre l'absurde et le tragique. Il ne parvient ni à l'un ni à l'autre, en raison d'une mise en scène dont la platitude trahit l'excès de confiance placé dans l'excentricité du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
Dans les faits, le réalisateur erratique colle au livre durant la première moitié du film, pour ensuite s'en éloigner considérablement et, au passage, perdre le peu de crédibilité qu'on aurait pu lui concéder. (...) Mais, pour aussi astucieux que soit le sujet, la finition coince ici : maladroit dans la direction d'acteurs (...) Bouchitey manque d'abord de nuance et de subtilité pour explorer les tréfonds de l'âme et ce rapport contrarié à l'écriture qui noue l'intrigue. Ce qui donne en définitive l'impression d'un petit film bâclé (...).
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Après une première partie extrêmement lente et poussive, la captivité de la jeune étudiante par l'écrivain raté ne donne naissance qu'à des lieux communs. Pas de souffre ni d'ambiguïté, juste une banale histoire de maître-esclave où l'on découvre que le bourreau et la victime ne sont pas forcément ceux qu'on croit. Rien de neuf donc. Le film est de plus figé dans une narration et une esthétique très années 80. Imposture ? Non, mais vraie déception.
Brazil
Ce qui aurait pu être un énième film de séquestration (...) tourne à l'histoire d'amour délicieusement perverse (...). Bouchitey se plaît à étudier ses rapports avec sa muse, la révélation Laetitia Chardonnet, sans ménager le moins du monde ses personnages. Réflexion ironique sur les affres de la création où bourreau et victime échangent leurs rôles avec délectation, Imposture emporte benoîtement dans une spirale étouffante ventilée de juste ce qu'il faut d'ironie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
S'il a gardé la trame du livre, Patrick Bouchitey a transformé le personnage de psychopathe meurtrier en kidnappeur berné. Il forme, avec Laetitia Chardonnet, un parfait et étrange duo sans héros ni vaincu et nous tient en haleine tout au long de ce passionnant suspense.
TéléCinéObs
Patrick Bouchitey (....) s'en tire aussi bien que son héros : fine analyse psychologique des personnages, acteurs épatants et suspense habilement entretenu.
Zurban
Patrick Bouchitey revient ici par la grande porte. Son film dépasse astucieusement et brillamment le thriller littéraire. Il plonge dans le genre par sa trame (...) mais en évite les écueils par une description très fine du milieu de l'édition et de ses bassesses. (...) L'ensemble est d'autant plus enthousiasmant que les acteurs, dont la débutante Laetitia Chardonnet, donnent le meilleur d'eux-mêmes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
(...) personnage que Patrick Bouchitey compose avec gourmandise pour installer effroi, détresse et cruauté (...) sa victime, campée avec une pathétique présence par la jeune Laetitia Chardonnet. (...) Cette duplicité est habilement installée, elle fait bien fonctionner le début du récit (...). La suite est moins convaincante, et guère plausible (...). Difficile d'éviter les scènes répétitives, et convenues, pour raconter le temps qui passe, jusqu'à un dénouement final qui n'ose pas jouer jusqu'au bout le jeu de la noirceur. Dommage.
Positif
La réalisation se contente d'orchestrer avec platitude une mécanique de l'internement, et oublie de tisser de réels liens dramatiques (...). Cette accumulation de maladresses ne doit pourtant pas ternir le ton plaisamment impoli de cette production (...)
Première
(...) un film noir assez classique, dans le fond comme dans la forme (...). Un véritable personnage chabrolien, psychopathe en puissance (...). Bien que traversée de moments lumineux, la [deuxième partie] déroule une logique assez prévisible jusqu'au twist final, plutôt raté. Mais la singularité de Bouchitey rachète grandement ces quelques approximations.
Score
Passé un premier quart d'heure d'exposition qui pose lourdement les rouages du suspense (...), Bouchitey retrouve son goût pour la perversion humaine dans la dernière heure. Doucement mais sûrement, il instaure une relation entre le kidnappeur et la victime qui va tourner de manière ironique, transformant le sordide fait divers en un drame Agatha Christien. Au final, la morale ne sera pas sauve, mais l'honneur de Bouchitey, oui !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) un thriller imparfait, mais énergique (...). Dans la première partie, Patrick Bouchitey réalisateur l'emporte au culot, tout à sa volonté de prendre le spectateur de vitesse, pour mieux faire passer l'énormité de l'argument. (...) Bouchitey prend la tangente, en tirant l'histoire vers le huis clos abstrait, la construction mentale. (...) Jusque-là guetté par une noirceur un peu crapoteuse, et contaminé par le cynisme de son protagoniste, le film en devient plus humain et plus équilibré - passons sur la maladresse de l'épilogue.
aVoir-aLire.com
Bien troussé, même si on était en droit d'attendre plus de Patrick Bouchitey. S'il y a un film français attendu cette année, c'est bien celui-ci (...) les ombres tutélaires de Chabrol et d'Hitchcock sont présentes, Bouchitey examine en creux tout un tas de choses passionnantes. (...) Le scénario, bien troussé, entraîne sans problème dans ses spirales paranos mais l'ensemble manque de folie comme de cruauté. La preuve avec la pirouette finale aussi prévisible que troublante.
Cahiers du Cinéma
Pas une seconde de suspense, petites scènes maltraitées en simples jalons du récit, un tel utilitarisme évoque le triomphant Jacques Audiard, dont l'âme semble s'être posée sur bouchitey, qu'on avait pourtant connu génialement digressif dans Lune froide. D'Audiard, Imposture affiche aussi l'imaginaire glauque à base de médiocrité pavillonnaire et de dépressiona aigre, litanie misanthrope aussi radoteuse que du Cioran -cité à plusieurs reprises.
Le Monde
(...) le film ambitionne visiblement de jouer une carte qui oscille entre l'absurde et le tragique. Il ne parvient ni à l'un ni à l'autre, en raison d'une mise en scène dont la platitude trahit l'excès de confiance placé dans l'excentricité du scénario.
Libération
Dans les faits, le réalisateur erratique colle au livre durant la première moitié du film, pour ensuite s'en éloigner considérablement et, au passage, perdre le peu de crédibilité qu'on aurait pu lui concéder. (...) Mais, pour aussi astucieux que soit le sujet, la finition coince ici : maladroit dans la direction d'acteurs (...) Bouchitey manque d'abord de nuance et de subtilité pour explorer les tréfonds de l'âme et ce rapport contrarié à l'écriture qui noue l'intrigue. Ce qui donne en définitive l'impression d'un petit film bâclé (...).
MCinéma.com
Après une première partie extrêmement lente et poussive, la captivité de la jeune étudiante par l'écrivain raté ne donne naissance qu'à des lieux communs. Pas de souffre ni d'ambiguïté, juste une banale histoire de maître-esclave où l'on découvre que le bourreau et la victime ne sont pas forcément ceux qu'on croit. Rien de neuf donc. Le film est de plus figé dans une narration et une esthétique très années 80. Imposture ? Non, mais vraie déception.