Note moyenne
3,0
20 titres de presse
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Paris Match
Energique, implacable, « Hyena » est un thriller très réussi, mais il a mauvaise haleine ! Normal, quand on plonge son museau dans une charogne bien vivante. Celle de notre monde en pleine décomposition…
20 Minutes
Comment rendre passionnant un héros lâche et corrompu.
Culturopoing.com
Loin de vouloir révolutionner le genre, "Hyena" séduit par un très juste équilibre entre des influences parfaitement digérées et le regard singulier d’un auteur à contre-courant des habitudes de son cinéma national.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller atmosphérique, qui mise sur la performance impressionnante de son interprète principale (le charismatique Peter Ferdinando), dépeint un univers fondamentalement nihiliste, violent et poisseux, où la rédemption n’existe pas. Captivant.
Le Parisien
Violent, transgressif, ce polar poisseux est somptueusement réalisé et basé sur un habile scénario. Il repose en outre sur la performance exceptionnelle de l'acteur massif Peter Ferdinando, qui marie désespérance, noirceur et sensibilité à fleur de peau.
Les Fiches du Cinéma
Un film noir violent, à l’esthétique soignée.
Ouest France
Un casting aux mines patibulaires, et des images fortes dans une violence sauvage. Ça secoue.
Première
Le refrain est connu (un "bad lieutenant" tente de déchiffrer un monde encore plus corrompu que lui), mais la version proposée ici est incroyablement teigneuse. Sauvage. Une certitude en sortant de "Hyena" : on sera là pour le suivant.
aVoir-aLire.com
Le dernier choc d'un genre urbain dégénéré. Un coup de maître !
L'Express
Soigneusement écrit et interprété, ce film anglais fait penser à la série The Shiled qui serait réalisée par Nicolas Winding Refn.
Studio Ciné Live
Recommandable, malgré un scénario qui s'essouffle.
Télérama
A partir de figures familières — l'inspecteur corrompu et alcoolique, les gros bras de la mafia de l'Est —, le cinéaste parvient à créer une ambiance à la fois nihiliste et électrique, mélange détonant d'adrénaline et de désespoir.
Critikat.com
Pour en arriver à un ultime et vrai moment de trouble, il faut passer par de longs moments de suspicion concernant la position du cinéaste vis-à-vis de la violence et du sordide qu’il filme.
Le Monde
La description réaliste est ici malheureusement gâchée par les coquetteries formelles.
Les Inrockuptibles
C’est le genre de thriller dont on peut dire qu’“on n’y voit pas le temps passer".
Positif
C'est efficace quand il s'agit de terrifier avec la figure glaçante d'Albanais prêts à toutes les boucheries, beaucoup moins pour brosser le portrait d'une femme victimes de ces trafics ou des collègues du protagoniste. Ce dernier a beau être remarquablement interprété par Peter Ferdinando, l'impression d'un cinéma de petit malin persiste.
TF1 News
Résultat : un polar sec, au demeurant efficace, mais trop encombré de références, trop prévisible dans son déroulement, pour affirmer une quelconque personnalité.
Charlie Hebdo
Hormis la faiblesse esthétique de l'ensemble, plus adaptée à l'écrin télévisuel, et une fin qui révèle la cuistrerie de celui qui se croit malin, c'est surtout l'absence totale de point de vue, et donc d'originalité, qui frappe, comme si Johnson, (...) s'était contenté d'appliquer une formule qui a fait son temps.
Le Dauphiné Libéré
Un polar bien épais, qui a du mal à trouver son rythme.
Libération
Ce prix du jury au Festival du film policier de Beaune, proclame la promo, est considéré comme «le futur du thriller», selon Nicolas Winding Refn. De quoi se faire du souci.