Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Mais si l’on s’en tient au cinéma, Matuszynski, dans un style très personnel, se rapproche du Ken Loach de Ladybird ou de Moi, Daniel Blake, deux œuvres qui mettent aux prises des personnages avec un système d’État kafkaïen et répressif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par Thierry Chèze
Un thriller d'espionnage intense et étouffant.
Positif
par Jean-Philippe Domecq
Pour son deuxième long métrage après The Last Family (2016), Jan P. Matuszyński met brillamment à nu les dispositifs de protection avec lesquels le totalitarisme assure sa longévité, tirant le meilleur parti du « petit tas de secrets » que les pions humains égrènent à leur insu.
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Dépassant par sa force formelle et narrative le cadre du film dossier, "Varsovie 83, une affaire d'État" s’affirme comme un terrifiant requiem de la jeunesse, un cri de détresse contre toutes les oppressions, résolument universel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par La Rédaction
Toutefois, derrière ses longueurs et son bavardage légèrement fatigant, le long-métrage polonais présenté à Venise en 2021 est une fresque passionnante sur les rouages terrifiants des régimes totalitaires.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Glaçant, et toujours d'actualité dans d'autres pays.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le réalisateur expose des faits, rien que des faits. Sa caméra observatrice est distanciée et le film ne cherche ni lyrisme ni sentiments. Le choix de la mise en scène, aux couleurs et lumières froides, renforce l’impression d’oppression.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Le film, passionnant, démontre avec force la vérole du mensonge d’Etat et l’insupportable impunité des ordures.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
L’atmosphère du film est pesante et la paranoïa, permanente, comme dans les thrillers américains du nouvel Hollywood, de Sidney Lumet à Alan J. Pakula et ses Hommes du président.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Pas de sang. Une hémorragie interne, un cancer. Celui de la folie antidémocratique qui dévorait alors la moitié de l’Europe. Et qu’on ferait bien de ne pas banaliser par une sorte de douceur à l’évocation du passé. En allant voir ce film, par exemple.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Armé d'un scénario passionnant et ultra-documenté, le cinéaste polonais Jan P. Matuszynski met en scène un thriller politique et kafkaïen de 2 h 40 sans aucun temps mort qui examine avec une précision clinique le fonctionnement du pouvoir dictatorial des années Jaruzelski.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette fiction politique de 2 h 40 met en scène avec une rare intensité les manipulations d’État et captive de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Par sa tension permanente et ses échos avec notre monde actuel, ce film se place dans la lignée des grands thrillers politiques américains des seventies.
Première
par Thomas Baurez
Varsovie 83 est un formidable récit d’enfermement, un thriller d’espionnage qui cherche moins à épater la galerie à grand renfort de figures imposées qu’à montrer les rouages d'une mécanique souterraine qui prend peu à peu possession de votre rapport au monde. Un choc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le réalisateur réussit un film en immersion totale dans la Pologne communiste sous contrôle soviétique. Une telle acuité rend très actuel, et encore menaçant, le souvenir de cette folie despotique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un style oppressant d’un bout à l’autre du film, Jan P. Matuszynski rappelle sans le crier les vertus de nos régimes démocratiques. Une œuvre électrisante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Partant d’un fait réel, Jan P. Matuszynski altère le schéma classique du combat désespéré pour la vérité. Il révèle surtout la façon dont l’État polonais, face à eux, crée de faux coupables et se sert de l’homosexualité comme d’un moyen de pression qui mène à la trahison. Il encourage ainsi les résonances entre le passé et la Pologne contemporaine, visant la mise en pièces actuelle de l’État de droit par le gouvernement du parti Droit et justice.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Et pourtant, ce film est nécessaire, ne fût-ce que pour mieux nous ouvrir les yeux sur certaines situations contemporaines (en Russie, mais pas seulement…) et la reproduction éternelle, universelle, d’une certaine forme d’asservissement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Après The Last Family, Matuszynski livre un thriller politique classique, mais soigné et bien mené, qui montre les rouages pervers de la dictature de l’époque et restitue l’ambiance oppressante de celle-ci. Prenant, à défaut d’être surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Bien interprété, le film souffre toutefois un peu de sa dimension pédagogique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Jan P. Matuszynski veut faire d'un fait divers une dénonciation du totalitarisme en vigueur en Pologne au début des années 1980, mais se perd dans une intrigue trop complexe.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un film bien documenté, mais trop long et dispersé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
L'Humanité
Mais si l’on s’en tient au cinéma, Matuszynski, dans un style très personnel, se rapproche du Ken Loach de Ladybird ou de Moi, Daniel Blake, deux œuvres qui mettent aux prises des personnages avec un système d’État kafkaïen et répressif.
Ouest France
Un thriller d'espionnage intense et étouffant.
Positif
Pour son deuxième long métrage après The Last Family (2016), Jan P. Matuszyński met brillamment à nu les dispositifs de protection avec lesquels le totalitarisme assure sa longévité, tirant le meilleur parti du « petit tas de secrets » que les pions humains égrènent à leur insu.
Culturopoing.com
Dépassant par sa force formelle et narrative le cadre du film dossier, "Varsovie 83, une affaire d'État" s’affirme comme un terrifiant requiem de la jeunesse, un cri de détresse contre toutes les oppressions, résolument universel.
Ecran Large
Toutefois, derrière ses longueurs et son bavardage légèrement fatigant, le long-métrage polonais présenté à Venise en 2021 est une fresque passionnante sur les rouages terrifiants des régimes totalitaires.
Femme Actuelle
Glaçant, et toujours d'actualité dans d'autres pays.
Franceinfo Culture
Le réalisateur expose des faits, rien que des faits. Sa caméra observatrice est distanciée et le film ne cherche ni lyrisme ni sentiments. Le choix de la mise en scène, aux couleurs et lumières froides, renforce l’impression d’oppression.
L'Obs
Le film, passionnant, démontre avec force la vérole du mensonge d’Etat et l’insupportable impunité des ordures.
Le Figaro
L’atmosphère du film est pesante et la paranoïa, permanente, comme dans les thrillers américains du nouvel Hollywood, de Sidney Lumet à Alan J. Pakula et ses Hommes du président.
Le Parisien
Pas de sang. Une hémorragie interne, un cancer. Celui de la folie antidémocratique qui dévorait alors la moitié de l’Europe. Et qu’on ferait bien de ne pas banaliser par une sorte de douceur à l’évocation du passé. En allant voir ce film, par exemple.
Les Echos
Armé d'un scénario passionnant et ultra-documenté, le cinéaste polonais Jan P. Matuszynski met en scène un thriller politique et kafkaïen de 2 h 40 sans aucun temps mort qui examine avec une précision clinique le fonctionnement du pouvoir dictatorial des années Jaruzelski.
Marianne
Cette fiction politique de 2 h 40 met en scène avec une rare intensité les manipulations d’État et captive de bout en bout.
Marie Claire
Par sa tension permanente et ses échos avec notre monde actuel, ce film se place dans la lignée des grands thrillers politiques américains des seventies.
Première
Varsovie 83 est un formidable récit d’enfermement, un thriller d’espionnage qui cherche moins à épater la galerie à grand renfort de figures imposées qu’à montrer les rouages d'une mécanique souterraine qui prend peu à peu possession de votre rapport au monde. Un choc.
Télérama
Le réalisateur réussit un film en immersion totale dans la Pologne communiste sous contrôle soviétique. Une telle acuité rend très actuel, et encore menaçant, le souvenir de cette folie despotique.
aVoir-aLire.com
Dans un style oppressant d’un bout à l’autre du film, Jan P. Matuszynski rappelle sans le crier les vertus de nos régimes démocratiques. Une œuvre électrisante.
Cahiers du Cinéma
Partant d’un fait réel, Jan P. Matuszynski altère le schéma classique du combat désespéré pour la vérité. Il révèle surtout la façon dont l’État polonais, face à eux, crée de faux coupables et se sert de l’homosexualité comme d’un moyen de pression qui mène à la trahison. Il encourage ainsi les résonances entre le passé et la Pologne contemporaine, visant la mise en pièces actuelle de l’État de droit par le gouvernement du parti Droit et justice.
La Croix
Et pourtant, ce film est nécessaire, ne fût-ce que pour mieux nous ouvrir les yeux sur certaines situations contemporaines (en Russie, mais pas seulement…) et la reproduction éternelle, universelle, d’une certaine forme d’asservissement.
Le Journal du Dimanche
Après The Last Family, Matuszynski livre un thriller politique classique, mais soigné et bien mené, qui montre les rouages pervers de la dictature de l’époque et restitue l’ambiance oppressante de celle-ci. Prenant, à défaut d’être surprenant.
Le Monde
Bien interprété, le film souffre toutefois un peu de sa dimension pédagogique.
Les Fiches du Cinéma
Jan P. Matuszynski veut faire d'un fait divers une dénonciation du totalitarisme en vigueur en Pologne au début des années 1980, mais se perd dans une intrigue trop complexe.
La Voix du Nord
Un film bien documenté, mais trop long et dispersé.