Il est agréable de retrouver l'atmosphère année 80, ou l'amitié et l'entraide était le genre de l'époque, proche des années 70 encore et des babascool. Une jeune femme bien de l'époque, sans dater avec notre époque, frange au carré, style punk sans l'être, radieuse, est hébergé par une ex baba cool qui le lui propose sans qu'elle le demande. Charlotte Gainsbourg a une chambre libre. Elle a une fille a peine plus âgée que l'hébergee, elle travaille a la radio, son job du moment, et elle a l'idée de montrer a la jeune fille sans projet particulier, cet univers, où peut être elle pourrait collaborer. Mais on ne lui propose pas de poste. La jeune fille habite un temps avec cette famille, composée de la mère, la fille, le fils. Ce dernier tombe amoureux de la jeune inconnue. Le jeune homme est sans expérience, se montre autoritaire, ce que je la jeune punk ne peut accepter malgré le fait d'être très touchée de cet accueil, elle doit alors partir pour ne plus revenir, pour ne pas blesser cet amour basé sur son inexpérience et non partagé. Elle était pourtant revenue après une overdose, et sa nouvelle famille souhaitait la garder pour qu'elle ne retombe pas dans ces travers, d'un milieu du cinéma ou la jeune fille y a des amis techniciens, est aussi revendeurs. Charlotte, la mère, rencontre son nouvel ami a son nouveau travail comme bibliothécaire et décide de partir de leur grand appartement familial, habiter avec lui, sa fille partie habiter de son côté, un loft ou elle peut travailler a son art. On s'inquiète alors pour la jeune fille qui ne pourra pas revenir une seconde fois, le fils ayant fait cette révélation et avec une attitude jalouse. Un film agréable qui montre cette époque révolue ou partage et fraternité était la règle, si oublié aujourdhui, avec la perte du socialisme comme valeur. Merci pour ce film.