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    Les Passagers de la nuit
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    3,8
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    210 critiques spectateurs

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    elise prbl
    elise prbl

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 mai 2022
    Film très touchant ! Un esthétique qui nous plonge dans les années 80, avec une vision du temps qui passe, très agréable. Le rôle de Charlotte Gainsbourg, lui correspond à merveille ! Je vous conseille si vous êtes un adepte de film simple et réconfortant.
    HASTENEP
    HASTENEP

    10 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2022
    Quel joli moment de tendresse et d'humanité ! Les acteurs sont justes et parfaitement crédibles dans cette histoire touchante d'une famille qui traverse une période compliquée ,et ,de cette jeune fille très chahutée par la vie elle aussi. Le scénario et les images nous replongent dans les années 80 entre 1981 et 1988. L'émission de nuit de France Inter installe l'atmopshere propice à ces rencontres humaines si riches.
    On en ressort simplement heureux.
    Muriel F.
    Muriel F.

    52 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2022
    Quel beau film ! Une générosité, une douceur, une humanité que Mikhaël Hers exhacerbe avec pudeur et délicatesse autour d'excellents comédiens qui nous font oublier qu'ils jouent. Presque comme un flash back, nous sommes plongés dans les années 80. Décors, costumes et l'omiprésente des cigarettes nous rappellent tout de cette époque dans un Paris plein de trajets urbains focasilé sur le quartier Beaugrenelle et la Maison de la Radio. La caméra saisit tous ces instants de vies avec une péllicule toujours en phase avec cette période. Moments festifs, moments de ruptures, moments de partages, moments de découvertes, moments de épanouissements, moments de changements, moments vrais. A voir !
    k_stephanie
    k_stephanie

    4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2022
    Il y avait tous les ingrédients : le casting, le côté esthétique des images, les années 80 reconstituées, une atmosphère...pourtant je n'ai pas été totalement embarquée par le film. Peut-être l'histoire n'était-elle pas assez forte ?
    velocio
    velocio

    1 277 abonnés 3 105 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mai 2022
    Il arrive régulièrement qu'en sortant d'une salle ce cinéma, on se dise à propos du film qu'on vient de voir : il aurait pu ... Il aurait pu être drôle, il aurait pu nous faire peur, etc.. C'est ce qui s'est passé pour moi quand je suis sorti de "Les passagers de la nuit" : ce film aurait pu être intéressant, il aurait pu être émouvant. En effet, très vite, on s'aperçoit que, tant pour l'intérêt que pour l'émotion, le film plafonne très vite et nous laisse sur notre faim. Il faut dire qu'avec Mikhaël Hers, le réalisateur, on est malheureusement habitué à ce plafonnement. Certes, après le calamiteux "Ce sentiment de l'été" en 2016, il y avait eu un progrès notable avec "Amanda" en 2018 mais il semble bien qu'avec lui, on n'atteint jamais des sommets. Dans cette peinture de la vie d'une famille dans les années Mitterrand, entre 1981 et 1988, on retrouve Charlotte Gainsbourg en tête d'affiche. Après ses débuts catastrophiques à l'époque où se déroule l'action du film, on avait pu croire au début des années 2000, avec des films comme "Golden door", qu'elle était devenue une actrice tout à fait valable. Ce n'est malheureusement pas ce qu'elle prouve dans "Les passagers de la nuit" où elle souffre de la comparaison avec les grandes comédiennes que sont Emmanuelle Béart et Noée Abita. Ou Ophelia Kolb qu'on ne fait qu'entrevoir !
    Aurore S
    Aurore S

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2022
    La mélancolie et la douceur de ce film sis dans le début des années 80 et de l'arrivée de la gauche au pouvoir, enchante, envoûte et laisse son empreinte. La réalisation, le son et la photographie nous offrent une formidable expérience sensorielle. Un très beau film de cinéma.
    Cel
    Cel

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2022
    Avec Les Passagers de la nuit, Mikhaël Hers nous transporte avec grâce et nostalgie dans le Paris des années 80.
    Entraîné par un casting magistral, avec notamment Charlotte Gainsbourg au sommet de sa sensibilité, ce voyage brille par sa simplicité et sa justesse.
    C'est un film bouleversant, à voir absolument.
    Galtier
    Galtier

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2022
    "Et si tu existais" finalement,doux film, sensible et mélancolique qui relate avec tendresse la trajectoire et les liens d'une famille dans laquelle beaucoup pourront trouver écho à leur propre existence.
    Bouleversant !
    Hautacam98
    Hautacam98

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 mai 2022
    Un film magnifique, qui vous prend et vous transporte dans son univers. Vous ressortez avec le sourire, détendue... vous avez passé une très bonne soirée! Je recommande vivement!!!!!
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    223 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mai 2022
    Mikhaël Hers signe une véritable fresque d’une époque : l’arrivée de la gauche au pouvoir, l’âge d’or des antiennes libres, une jeunesse insouciante. Charlotte Gainsbourg est parfaite dans le rôle d’Elisabeth, femme quittée et maman de deux grands enfants. Elle change de vie et reprend un travail. Un vrai beau film.
    Arthus27
    Arthus27

    87 abonnés 517 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2022
    Après "Amanda", Mikhaël Hers nous livre un film extrêmement personnel et touchant avec "Les Passagers de la nuit". Le récit se déroule dans les années 80, de la première élection de Mitterrand à sa seconde. On y retrouve toutes les thématiques chères au réalisateur : la famille et l'enfance, le deuil et la reconstruction, la musique et l'amour...
    Le film est extrêmement riche, et peuplé de personnages tout à la fois écrits avec justesse et interprétés avec talent. Charlotte Gainsbourg, notamment, nous bouleverse par la force et la douceur qu'elle parvient à insuffler à Elisabeth.
    Loin des films et séries jouant sur la nostalgies des années 80, fétichistes de la pop culture de l'époque, le film nous y plonge sans artifice. On sent alors toute la sincérité et tout l'amour qui se dégage de la démarche du réalisateur.
    Un film à voir absolument.
    atkati
    atkati

    4 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2022
    Très belle histoire, belle réalisation, une Charlotte toujours excellente, de belles et fortes émotions.
    traversay1
    traversay1

    3 456 abonnés 4 772 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2022
    Mais quel est donc le secret de Mikhaël Hers, à chacun de ses films, pour nous donner une masterclass en matière de direction d'acteurs ? Ce talent éclate plus puissamment que jamais dans Les passagers de la nuit, tant avec des interprètes qui n'ont plus rien à prouver (Charlotte Gainsbourg, Emmanuelle Béart), qu'avec des talents en devenir (Noée Abita et Ophélia Kolb) ou même un quasi débutant remarquable (Quito Rayon Richter). Autre constante dans le cinéma de Mikhaël Hers : la fluidité de sa mise en scène et de sa narration, marquée par des ellipses brillantes. Les passagers de la nuit est un film "historique", de 1983 (1981 pour l'ouverture) à 1988, une chronique familiale qui rend romanesque les petites choses du quotidien et sait faire monter l'émotion en une progression subtile et imparable. Les personnages y sont des âmes sensibles, parfois en larmes, et bienveillantes, même si certains luttent contre leurs démons. Le film est un portrait de groupe remarquable, qui réussit dans le même temps des portraits individuels d'une insigne intelligence. Le moindre petit rôle, même si celui d'un grand absent '(le mari) est travaillé avec un soin extrême, à la manière d'un artisan, et nous semble assez vite familier, comme s'il faisait partie de nos proches, presque idéalisés. C'est cela qui donne ce troublant sentiment de ce qu'ils ont été (que nous avons été), surtout pour ceux qui ont vécu leurs années d'enfance ou d'adolescence, comme Hers, dans la décennie 80.
    Cinememories
    Cinememories

    469 abonnés 1 460 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2022
    La parisien Mikhaël Hers continue d’errer sur les trottoirs d’une cité qu’il a décortiqué à travers le deuil (Ce Sentiment de l’Été, Amanda), mais par-dessus tout, c’est la destination qui le préoccupe. Le foyer reconstitué, de nos jours ou à travers les générations, c’est un appel mélancolique qui a souvent inspiré le cinéaste (Memory Lane). Ici, avec la victoire de François Mitterrand aux élections présidentielles, il nous (re)plonge dans un contexte qui déroule des motifs forts et liés au siècle passé, afin de mieux appréhender le destin d’une famille en quête d’une seconde chance. Il n’est pourtant pas nécessaire de se familiariser aux codes ou au sentiment de nostalgie, du moment que l’on sache prendre le temps de partager du temps et une écoute mutuelle.

    L’obscurité pourrait tout emporter à l’aube des années 80, où certains y verraient leur enfance, d’autres un moyen d’explorer davantage cette ambiance malléable et en perpétuelle mutation. Plusieurs voix finiront par s’entrechoquer dans cette longue balade nocturne, où Paris est traversé par des réseaux de métro, tout comme les nombreux insomniaques qui rôdent dans les parages. Elisabeth (Charlotte Gainsbourg) est l’une de ces passagers et celle qui aura la lourde tâche de porter sa famille vers un lendemain de plus en plus lumineux. Cela ne se fera pas sans souffrance, ou du moins, sans le doute qui confine chaque personnage dans ses réflexions, tantôt poétiques, tantôt prophétiques. L’émission de radio nocturne, tenue par une Emmanuelle Béart à l’écoute, témoigne d’une démarche solidaire et pourtant peu perceptible dans l’instant. C’est dans l’antre même de ce studio, hanté par les voix d’anonymes dans le besoin, que Talulah (Noée Abita) viendra piller les vestiges de Paris, de même que ses richesses et ses vices.

    Le cinéma de Rohmer constitue d’ailleurs une porte d’entrée vers cette profonde passion d’un art qui s’identifie dans l’instant et qui s’apprécie avec le temps. Entre les reliques du passé et les incarnations nostalgiques qui enrobent le casting de Hers, il en appelle à ses souvenirs pour tendre la main à la vulnérabilité, dans l’objectif d’apporter soulagement et compréhension de l’environnement qui l’entoure. Il promet de magnifiques plans de la cité parisienne, qui héberge en secret des âmes tourmentées, que la force politique ne peut changer ou simplement influencer. Ce sont de perpétuelles allers et retours entre le domicile et un nouveau territoire inconnu que l’on se laisse surprendre à accepter le personnage que nous sommes, dans la réalité d’aujourd’hui. Ce n’est pas de l’indifférence que l’on cite, mais bien une intelligence qui consolide l’épée et le bouclier d’une jeunesse, destinée à prendre du recul sur soi. Matthias et Judith (Quito Rayon Richter et Megan Northam) ont cette tendance à se laisser porter par le désir de vivre, quitte à se noyer dans des convictions que rien ne peut ébranler.

    Ainsi, « Les Passagers de la nuit » nous accompagnent dans ce tunnel brumeux, sans pour autant qu’il soit glacial ou brûlant. Ce qui compte réside dans les émotions que l’on peine à verbaliser, que l’on dissipe dans suffisamment de subtilités pour qu’enfin on puisse s’éloigner de la spirale fantomatique de la nuit et de ses errances interminables. Les relations ne sont jamais évaluées pour ce qu’elles pourraient être, car elles sont humaines, imprévisibles et d’une simplicité optimiste à toute épreuve. Malgré l’ère du numérique et malgré un manque de confiance évident, cette œuvre reste un portrait saisissant et intemporel de ceux qui se donnent les moyens d’aimer, se découvrir, de s’émanciper et de se réinventer, au-delà des limites qu’on leur impose, au-delà des sentiments qui les conditionnent.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    359 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2022
    Il y a beaucoup de délicatesse et d’humanité qui se dégage dans ce film au scénario simple mais qui sonne juste. On s’attache à cette mére de famille de deux enfants qui s’efforce de réinsérer cette jeune fille en difficulté au sein de sa propre famille pour lui permettre de repartir sur de bonnes bases. La réalisation subtile et le jeu des acteurs contribuent à rendre ce film crédible et attachant.


    Bernard CORIC
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