Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
Ni nostalgique ni désenchanté, Mikhaël Hers se fraie un chemin dans une décennie mal-aimée, entre désir de liberté et angoisse du lendemain. Il rend aussi un bel hommage au cinéma à travers le personnage de Talulah et sa fascination pour Pascale Ogier, dont la mort prématurée, en 1984, a révélé la face sombre de l’insouciance
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Cette fiction sensible s'impose comme l'une des plus belles réussites du printemps.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
L’émouvante beauté des Passagers de la nuit tient dans le mystère de ces films qui procurent la sensation de voir se transformer à l’écran le geste le plus insignifiant en un vibrant acte romanesque, l’éclosion sublime de petits riens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Tendre, émouvant et sensible.
Transfuge
par Serge Kaganski
[...] un grand film fragile sur les arrachements affectifs (entre amants comme entre parents et enfants), une splendide déambulation urbaine, nocturne et proustienne, un bijou sensoriel [...].
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Voyage nostalgique dans les années 80 (...) cette chronique familiale se double du récit, inattendu, de deux éducations amoureuses. Celle d'Elisabeth (merveilleuse Charlotte Gainsbourg), riche d'une nouvelle liberté, et de Mathias, son fils de 15 ans. "Parfois on met du temps à aimer un film", dit la troublante Talulah. Celui-ci, on l'aime tout de suite.
Télérama
par Louis Guichard
Un grand film d’actrices.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Le jeu quasi chuchoté de Charlotte Gainsbourg colle parfaitement à cette chronique qui tire sa grâce de sa douceur.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Mikhaël Hers nous transporte avec délicatesse au cœur des années 80 et nous propose un voyage intemporel plein d’espoir et de fraternité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
La petite musique de Mikhaël Hers se déploie dans ce quatrième long-métrage romanesque et bouleversant. Les Passagers de la nuit n'a rien d’un film noir, mais tout d’un cheminement lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
De son écriture authentique, qui nuance des histoires de réparation et de consolation, avec des personnages qui se relèvent de la mort ou de la séparation, Mikhaël Hers offre à Charlotte Gainsbourg l’un de ses films les plus clairs et doux.
Elle
par Thomas Jean
Ce que raconte alors, tout délicatesse, Les Passagers de la nuit, c'est la reconstruction pas à pas d'une quinqua des années 1980 (...).
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Touchant et tendre.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Charlotte Gainsbourg est animatrice radio, dans un de ses meilleurs rôles.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Trace du spleen d’une période où le pragmatisme aura eu la peau des idéaux, ce film sensible, saga de nos vies minuscules fondée sur l’imaginaire, ressemble à une étoile filante par ciel couvert.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film à fleur de peau et mélancolique qui fait de Paris, filmé la nuit et au petit matin, un décor au diapason des sentiments de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La voix de Charlotte Gainsbourg, avec sa douceur soufflée, passe bien sur les ondes de Les Passagers de la nui t. Charlotte Gainsbourg entretient avec sa propre voix un rapport paradoxal, allant de la détestation à l’appréciation, en passant par l’indulgence.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une grande douceur émane de cette chronique qu’on dirait chuchotée. Ce murmure cinématographique était déjà la marque d’Amanda, évoquant en sourdine les attentats du Bataclan.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Sans les lâcher d’une semelle, on accompagne ses attachants personnages dans leur cheminement intime le long de ce magnifique voyage temporel qui fait l’éloge de l’ordinaire et de la bienveillance.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dans ce Paris qui mute, formidablement restitué, c’est notre monde qui s’inaugure, que Mikhaël Hers filme comme en freinant, avec un sens vibrant de la chose intime et publique.
Le Parisien
par La Rédaction
Dans le rôle principal, Charlotte Gainsbourg est d’une sensibilité bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Sandra Onana
Nostalgique et enrobant, le quatrième film de Mikhaël Hers avec Charlotte Gainsbourg réécrit, à travers un récit intime, la jeunesse dans les années 80 d’une mère de famille. Une capsule temporelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Pour son quatrième long métrage, Mikhaël Hers reconstitue le Paris des années 80 et offre un rôle magnifique à Charlotte Gainsbourg.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Il est des films secrets et frémissants dont le seul chuchotement suffit à nous fendre le cœur, telle une popsong délicatement ciselée. Les Passagers de la nuit, quatrième long métrage de Mikhaël Hers, est de ceux-là.
Première
par Thomas Baurez
Les Passagers de la nuit, est un film merveilleux, dont le ré-enchantement qu’il promet n’a rien d’illusoire puisque tous ici veulent y croire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Mikhaël Hers saisit ce bonheur-là, cette félicité aux notes tamisées, ce triomphe sans ostentation qui doit tout à l’obstination du désir et de la bonté. Il filme en nouant les fils de son récit, simple en apparence, riche de milliers de connexions. Ce n’est pas rien de montrer la mélancolie au cœur même de la joie, la brièveté et la profondeur, l’intensité et la légèreté...
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par C.B.
Porté par une magnifique Charlotte Gainsbourg, un drame plein d'humanité, dont le charme se dessine peu à peu, mais qui parvient à marquer et surtout à émouvoir profondément.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Portée par une magnifique Charlotte Gainsbourg, une oeuvre remarquable et surtout très émouvante.
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Plus encore que dans Amanda, son précédent film hanté par le terrorisme, Hers entremêle ici l’intime et le collectif, insérant, de manière (souvent) heureuse, les images d’archives à celles grainées de la fiction, les références musicales et cinématographiques au monde qu’il crée.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Mikhaël Hers éteint un peu le charme de son cinéma en s’abandonnant à son nouveau souci de raconter une histoire nette et précise. Ses personnages perdent en mystère et donc en charme. L’élégance de sa mise en scène en devient presque superficielle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Les Passagers de la nuit se rêve « sinueux et fragile », à l’image de la cicatrice qu’Elisabeth arbore sur sa poitrine. Pourtant, à force de s’appuyer sur une succession de réunions et d’étreintes, Hers arase le rythme, limite le drame au hors-champ et affirme son goût du fantomatique jusqu’à nommer les choses.
Critikat.com
par Bastien Gens
Les points de tension, comme les ruptures amoureuses, sont systématiquement éludés quand ils ne sont pas pleinement ellipsés. Gommant toute aspérité, le cinéaste ne laisse infuser aucun trouble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par La Rédaction
En l'état, la grâce suspendue après laquelle court Les passagers de la nuit ressemble à la coquetterie dispensable d'un auteur passionnant, dont on ne guettera pas avec moins d'impatience le film suivant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
Ni nostalgique ni désenchanté, Mikhaël Hers se fraie un chemin dans une décennie mal-aimée, entre désir de liberté et angoisse du lendemain. Il rend aussi un bel hommage au cinéma à travers le personnage de Talulah et sa fascination pour Pascale Ogier, dont la mort prématurée, en 1984, a révélé la face sombre de l’insouciance
Les Echos
Cette fiction sensible s'impose comme l'une des plus belles réussites du printemps.
Les Inrockuptibles
L’émouvante beauté des Passagers de la nuit tient dans le mystère de ces films qui procurent la sensation de voir se transformer à l’écran le geste le plus insignifiant en un vibrant acte romanesque, l’éclosion sublime de petits riens.
Ouest France
Tendre, émouvant et sensible.
Transfuge
[...] un grand film fragile sur les arrachements affectifs (entre amants comme entre parents et enfants), une splendide déambulation urbaine, nocturne et proustienne, un bijou sensoriel [...].
Télé 7 Jours
Voyage nostalgique dans les années 80 (...) cette chronique familiale se double du récit, inattendu, de deux éducations amoureuses. Celle d'Elisabeth (merveilleuse Charlotte Gainsbourg), riche d'une nouvelle liberté, et de Mathias, son fils de 15 ans. "Parfois on met du temps à aimer un film", dit la troublante Talulah. Celui-ci, on l'aime tout de suite.
Télérama
Un grand film d’actrices.
Voici
Le jeu quasi chuchoté de Charlotte Gainsbourg colle parfaitement à cette chronique qui tire sa grâce de sa douceur.
aVoir-aLire.com
Mikhaël Hers nous transporte avec délicatesse au cœur des années 80 et nous propose un voyage intemporel plein d’espoir et de fraternité.
Bande à part
La petite musique de Mikhaël Hers se déploie dans ce quatrième long-métrage romanesque et bouleversant. Les Passagers de la nuit n'a rien d’un film noir, mais tout d’un cheminement lumineux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
De son écriture authentique, qui nuance des histoires de réparation et de consolation, avec des personnages qui se relèvent de la mort ou de la séparation, Mikhaël Hers offre à Charlotte Gainsbourg l’un de ses films les plus clairs et doux.
Elle
Ce que raconte alors, tout délicatesse, Les Passagers de la nuit, c'est la reconstruction pas à pas d'une quinqua des années 1980 (...).
Femme Actuelle
Touchant et tendre.
Franceinfo Culture
Charlotte Gainsbourg est animatrice radio, dans un de ses meilleurs rôles.
L'Obs
Trace du spleen d’une période où le pragmatisme aura eu la peau des idéaux, ce film sensible, saga de nos vies minuscules fondée sur l’imaginaire, ressemble à une étoile filante par ciel couvert.
La Croix
Un film à fleur de peau et mélancolique qui fait de Paris, filmé la nuit et au petit matin, un décor au diapason des sentiments de ses personnages.
Le Dauphiné Libéré
La voix de Charlotte Gainsbourg, avec sa douceur soufflée, passe bien sur les ondes de Les Passagers de la nui t. Charlotte Gainsbourg entretient avec sa propre voix un rapport paradoxal, allant de la détestation à l’appréciation, en passant par l’indulgence.
Le Figaro
Une grande douceur émane de cette chronique qu’on dirait chuchotée. Ce murmure cinématographique était déjà la marque d’Amanda, évoquant en sourdine les attentats du Bataclan.
Le Journal du Dimanche
Sans les lâcher d’une semelle, on accompagne ses attachants personnages dans leur cheminement intime le long de ce magnifique voyage temporel qui fait l’éloge de l’ordinaire et de la bienveillance.
Le Monde
Dans ce Paris qui mute, formidablement restitué, c’est notre monde qui s’inaugure, que Mikhaël Hers filme comme en freinant, avec un sens vibrant de la chose intime et publique.
Le Parisien
Dans le rôle principal, Charlotte Gainsbourg est d’une sensibilité bouleversante.
Libération
Nostalgique et enrobant, le quatrième film de Mikhaël Hers avec Charlotte Gainsbourg réécrit, à travers un récit intime, la jeunesse dans les années 80 d’une mère de famille. Une capsule temporelle.
Paris Match
Pour son quatrième long métrage, Mikhaël Hers reconstitue le Paris des années 80 et offre un rôle magnifique à Charlotte Gainsbourg.
Positif
Il est des films secrets et frémissants dont le seul chuchotement suffit à nous fendre le cœur, telle une popsong délicatement ciselée. Les Passagers de la nuit, quatrième long métrage de Mikhaël Hers, est de ceux-là.
Première
Les Passagers de la nuit, est un film merveilleux, dont le ré-enchantement qu’il promet n’a rien d’illusoire puisque tous ici veulent y croire.
Sud Ouest
Mikhaël Hers saisit ce bonheur-là, cette félicité aux notes tamisées, ce triomphe sans ostentation qui doit tout à l’obstination du désir et de la bonté. Il filme en nouant les fils de son récit, simple en apparence, riche de milliers de connexions. Ce n’est pas rien de montrer la mélancolie au cœur même de la joie, la brièveté et la profondeur, l’intensité et la légèreté...
Télé 2 semaines
Porté par une magnifique Charlotte Gainsbourg, un drame plein d'humanité, dont le charme se dessine peu à peu, mais qui parvient à marquer et surtout à émouvoir profondément.
Télé Loisirs
Portée par une magnifique Charlotte Gainsbourg, une oeuvre remarquable et surtout très émouvante.
La Septième Obsession
Plus encore que dans Amanda, son précédent film hanté par le terrorisme, Hers entremêle ici l’intime et le collectif, insérant, de manière (souvent) heureuse, les images d’archives à celles grainées de la fiction, les références musicales et cinématographiques au monde qu’il crée.
Les Fiches du Cinéma
Mikhaël Hers éteint un peu le charme de son cinéma en s’abandonnant à son nouveau souci de raconter une histoire nette et précise. Ses personnages perdent en mystère et donc en charme. L’élégance de sa mise en scène en devient presque superficielle.
Cahiers du Cinéma
Les Passagers de la nuit se rêve « sinueux et fragile », à l’image de la cicatrice qu’Elisabeth arbore sur sa poitrine. Pourtant, à force de s’appuyer sur une succession de réunions et d’étreintes, Hers arase le rythme, limite le drame au hors-champ et affirme son goût du fantomatique jusqu’à nommer les choses.
Critikat.com
Les points de tension, comme les ruptures amoureuses, sont systématiquement éludés quand ils ne sont pas pleinement ellipsés. Gommant toute aspérité, le cinéaste ne laisse infuser aucun trouble.
Ecran Large
En l'état, la grâce suspendue après laquelle court Les passagers de la nuit ressemble à la coquetterie dispensable d'un auteur passionnant, dont on ne guettera pas avec moins d'impatience le film suivant.