Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Meya Le Nouveau
1 critique
Suivre son activité
2,5
Publiée le 18 août 2022
Faut prendre conscience de ne pas le regarder avec des enfants jeunes car les scène son très hard. Je n'ai pas compris tous mais j'ai compris le principal sur la détresse de l'actrice ect... C'est peut-être un peu tirer par les cheveux spoiler: ( ex: lorsqu'elle couche avec le babysitter qui a au moins 25 ans de plus qu'elle)
Je pense aussi que les réalisateurs auraient pu aller un peu plus loin pour choqué/prévenir le public en partant sur une fin tragique. Cela dit la fin actuelle laisse penser à une saison 2 donc l'actrice s'enfoncera encore plus dans son mensonge...
du sexe; du sexe, du sexe... et aucune censure pour les moins de 12 ans... Histoire inintéressante. Seules le jeu de l'actrice principale, et l'ambiance estivale plutôt légère, rendent ce film à peu près visionnable.
L'idée de départ est bonne et le storyboard est plutôt bien travaillé. Mais c'est globalement assez mal joué (ou mal réalisé / monté ?) et très focalisé sur les moments de sexe au lieu de mettre en avant la psychologie des personnages. Mais le principal problème vient du roman, duquel le film s'inspire fidèlement. Car Marie Darrieussecq décrit une adolescence très érotisée, à la limite du vulgaire. Où sont l'émotion, l'amour et la pudeur qu'on ressent à cet âge ? L'histoire se passait initialement dans les années 80, celles de la peur du sida. Le film se déroule à l'ère des smartphones et des réseaux, pourtant absents du scénario, paraissant ainsi justifier le dévergondage d'une génération. Pour autant, résumer les jeunes à leur pulsions est vraiment cliché et malsain... Dommage car il y avait le potentiel de réinterpréter le livre avec plus de retenue et de subtilité. L'acteur Aymeric Fougeron reste une belle découverte.
Coincée dans sa petite ville natale de Clèves, Solange, une adolescente esseulée, prend conscience des changements de son corps et du pouvoir qu'elle a sur les hommes. Comme on le comprend vite, "Clèves" est un film sur l'éveil sexuel d'une fille qui va connaître toutes les premières fois habituelles qui s'accompagnent de déceptions et de mauvais choix. Rien de nouveau, mais le film devient assez glauque et gênant à partir d'un moment bien précis. Le rapport de Solange avec les hommes aurait pu être plus intéressant s'il avait été mieux traité. Il y a d'ailleurs une remarque intéressante concernant sa relation avec son père qui pourrait être le déclencheur de tout ça. À la place, on a l'impression de voir un vieux fantasme d'homme comme si on passait en revue les différentes catégories d'un site pour adultes. Le regard porté sur la sexualité de cette adolescente est trop masculin. Je ne veux pas rejeter la faute sur Rodolphe Tissot puisque c'est adapté du roman éponyme de Marie Darrieussecq qui n'était vraiment pas fin du tout avec une pornotisation à outrance du récit, mais la mise en scène aurait pu atténuer cette vision des choses. Au final, un film moyen qui ne raconte rien de spécial.
Le récit d’éducation sentimentale assez cru et dérangeant (par moment) mais attachant d’une ado un peu paumée, incarnée par la lumineuse Louisiane Gouverneur. 3,25
Il y a "la Princesse de Clèves" qui traite du vrai amour, l'absolu, le sacrifice, l'honneur, la force de caractère, l'éducation, la fiabilité des sentiments et puis il y a ce film qui traite de tout l'inverse ! C'est donc une surprise décevante. Récit d'une ados qui est perdue, avec des parents lamentablement absents. On a le droit aux scènes de maltraitance "normales" (pour des hommes bêtas) des filles légères. J'ai eu à de nombreuses reprises du dégoût et de la tristesse pour ce personnage qui se sacrifie, est trop naïf. Il y a parfois des ados comme ça mais ce n'est pas représentatif. Sinon du résultat quand les parents ne font pas leur rôle. Pour les plus de 18 ans. C'est d'un niveau téléfilm regardable mais sujet banal-erotico-punk ! Je ne sais pas si ça valait le coup d'en faire un film. 2,9/5
Entre Rohmer et Kechiche, un film tranche de vie, sans beaucoup d’enjeux, qui aligne ses scènes de cul pour émoustiller les chaumières. L’actrice (Louisiane Gouverneur), de 19 ans au moment du tournage, est censée représenter le personnage d’une gamine de 14, puis de 15 ans, livrée à elle-même. C’est bien joué, globalement. Mais l’on se retrouve avec des interactions humaines diverses et variées, émaillées, comme je disais, d’affaires sexuelles au grand jour, destinées à montrer que dans la société moderne les jeunes ne savent vraiment plus baiser correctement, même la première fois. Film ennuyant, pour rester poli.
Film inquiétant. A 5 minutes du film le gaze male est si fort qu’apres vérification. , dans le mil. Oui ce film est bien une enieme réalisation d’un homme de 50 ans, qui parle du désir féminin adolescent et prétend maîtriser le sujet. d.ailleurs que veut dire le film si ce n’est légalisons donc la pedocriminalite car toutes les jeunes filles de 15 ans ne veulent qu’une chose, se taper des vieux hommes de 40 ans qui sont leur baby sitter. après tout les jeunes filles de 15 ans n’ont besoin de personnes et connaissent leur désir parfaitement donc arrêtons de diaboliser les rapports entre un homme et une fille mineure.( ce type de film n’a jamais était fait n’est ce pas hum hum lol )
malheureusement et avec un train de retard Rodolphe Tissot, qui n’est pas concerné directement par le sujet, utilise la hook-up culture, qui n’était que le résultat symptomatique des années 2000s et de la pop culture, mais en bon boomer cinématographique, si il regardait les nouvelles générations, il saurait que cette époque a pris la malle et que c’était époque n’était qu’un contre pied au désir de libération des jeunes femmes a l’université pour être indépendant, l’epoque ayant souffert d’une recrudescence de « rape culture » qui était donc excusé par la hookup culture la génération suivante a donc remis en question ces codes, la woke culture s’est développé en réponse à ça les mouvements religieux chez les ados et la morale aussi, mais monsieur Tissot a bloqué sur les années 70 et 2000sJ.encourage le point de vue neo féministe empathique légèrement présent pour compenser le reste.En attendant, ces films finiront par s’essoufler. Cette époque est fini. Bientôt on saura à quel point le cinéma français a longtemps flirter avec des représentations encourageant l’illegalite , parce qu’au final c’est de ça dont il s’agit . Oui les représentations comptent.