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    Spencer
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    2,6
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    149 critiques spectateurs

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    Gregoire Pont
    Gregoire Pont

    14 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Quelle déception. Kristen Stewart en fait des tonnes, minaude et joue une caricature peu crédible de Diana. A tel point qu'on n'arrive plus à être en empathie pour elle et on a alors l'impression d'une petite aristocrate capricieuse à la limite de l'hystérie. Le film nous retourne contre elle alors que ce n'était pas le but, bien sûr.
    On souffre pour ses enfants qui assistent impuissants à la folie de leur mère, ce sont eux les vraies victimes (selon le film) le reste, des atermoiements d'enfant gâtée (selon le film)
    Sté F.
    Sté F.

    10 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Kristen Stewart, 1m62 sur celebheight
    Lady Di faisait 1m78,
    Déjà, ça part mal. Erreur de casting manifeste ...
    Thibault M.
    Thibault M.

    8 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2022
    Ceci n'est pas un film biographique, et il doit être traité comme tel.
    Le film est prétentieux sur la plupart des points, aussi bien dans la vision interne que externe du personnage, l'image, le son qui contribue activement à l'ambiance mélodramatique. Au-delà de la lourdeur d'un film qui n'offre pas beaucoup d'action du fait de son sujet, mais là-dessus il n'y a rien a reprocher, ce film s'engouffre d'un un manichéisme constant entre bien et mal, où, "of course", le personnage principal est la victime.
    Le film offre néanmoins la possibilité d'interroger le mal-être des gens, y compris des classes privilégiés, bien que ce ne soit pas au niveau. La place de la mère, mais aussi du père, et ce qu'on est prêt à faire, ou non, sont subrepticement abordés.
    Pour l'interprétation, Timoty Spall est très convaincant en ancien militaire reconduit en majordome de la reine-mère. Pour Kristen Stewart, le travail est là, indéniable. Toutefois, on ne peut que se montrer antipathique à l'égard de cette princesse hors sol à moitié folle dont, pourtant, le film est tout dévoué.

    Pour résumé, ce film ne casse pas des briques. Le travail, il y en a eu un, c'est sûr. Cependant, il n'est pas à la hauteur des sujets traités (maladie mentale, angoisse, place de chacun, dichotomie entre la tradition et la modernité, etc). La vision du film n'est pas constructive; on est très vite lassé de suivre les malheurs d'une aristocrate qui préfère à ses palais manger un KFC. L'interprétation alliée à la musique un peu jazz achèvent un film cliché, qui n'imprime pas la rétine.
    Si on peut parfaitement choisir de faire un film pro-Diana (ou anti-Windsor, au choix), force est de constater que la vision "Spencer" n'est pas très intéressante. Peut-être qu'une vision "Windsor" le serait ? Cinéastes, il y a quelque chose à faire. Bonne chance.
    Davide D.
    Davide D.

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    0,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Bof vraiment un film ni à faire ni à refaire , une bonne daube . Vraiment nul . Que ce sois music ou histoire.
    Jogh
    Jogh

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    4,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Transcendant ! Quelle magnifique actrice
    Pas un biopic mais bien plus !
    Définitivement iconique Diana est superbement transcendée par la réalisation magistrale .
    Dominique W
    Dominique W

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2022
    Rythme très lent.... musique pas terrible... déçue par une évocation de trois ou quatre jours de toute sa vie. Triste vie des gens nobles et riches... les pauvres!!!
    J'aimais Diana mais pas sous ce jour là.
    Quand on voit comment tout cela c'est terminé!
    Remi S.
    Remi S.

    13 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Après le magnifique *Jackie* et son double deuil (seul et dernier film donc que j'ai pu voir de Pablo Larraín), *Spencer* s'installe quant à lui à Sandringham House en Angleterre, en suivant si je ne m'abuse le dernier noël de Diana Spencer avec la famille royale. Un séjour sur trois jours, qui ouvre au film trois parties : le 24, 25 et 26 décembre. Et si l'on commence par hasard à suivre les lignes du récit chrétien, *Spencer* aurait un avant et après noël. La naissance du Christ donc, et la tentative de renaissance d'une femme prise dans un cauchemar royal.

    Ici, Pablo Larraín n’abandonne toujours pas son geste de mise en scène qui avait tant créé la stupéfaction face à *Jackie* : cette caméra que je catégoriserait de « *kubricko-malickienne* », accompagne de manière quasi-fantomatique les gestes et visages (Malick), et laissant ensuite les corps se faire écraser par le poids du monde environnement sous l'œil d'une caméra presque rigide (Kubrick). Larraín a bien une radicalité dans son approche au biopic (genre souvent lissé à la simple fiche biographique). Une radicalité qui trouve son deuxième bras dans le récit et la manière dont Pablo Larraín le pense : loi de la contemplation intime et possibilité des fantaisies. *Jackie* trouve une certaine réponse en *Spencer* : si le film sur Jackie Kennedy cherchait à retenir coute que coute le pouvoir, ce film parcellaire sur Lady Di cherche quant à lui à le fuir de manière inespérée. Diana Spencer est asphyxiée par l'univers environnent : paparazzis invisibles que l'on redoute ; surveillance omniprésente et fantomatique des majordomes de la maison ; pression des regards, gestes, coutumes et traditions qui émanent tous de la figure de la famille Royale, comme une toile de fond que l'on ne peut percer. La musique du génie Jonny Greenwood (il faut toujours le rappeler), tantôt anxiogène et mélancolique, continue aussi à sa façon de matérialiser l'asphyxie ambiante que Diana ne supporte plus. Une overdose qui se tient bien au-delà de ce séjour : la figure du pouvoir même et celle de la royauté sont inscrits dans son sang.

    Un malaise environnent qui mène à la folie : c'est là où Larraín propulse quelque chose. Entre les visions cauchemardesques et la réalité, ou les errances de Diana qui relèvent autant de l'horreur que du labyrinthe mental, *Spencer* ouvre aussi une mise en abyme historique : celle d'un livre que feuillètera Diana et qui raconte la tragique histoire d'Anne Boleyn, mère d'Élisabeth Ire et seconde épouse du roi Henri VIII d'Angleterre. Une femme qui connaitra une fin terrible par la décapitation car accusée à tort d'adultère, d'inceste et de haute trahison. Une martyre (le titre du livre lui-même l'évoque), et dont Diana semble se projeter autant par les écrits du bouquin que par les mystérieuses apparitions multiples d'Anne Boleyn qui lui sont faites. Nous avons face à nous un portrait gâché qui déambule : portrait - corps - gâché par un mari, par la pression tout aussi imagère que virulente de la royauté.

    *Spencer*, c'est une histoire de martyre dans les angles morts des images officielles (la réponse et prolongation à *Jackie* est toujours là). On tente de fuir la cadre, mais on finit toujours par se faire rattraper. Une chose me parait portant légitime à questionner : au-delà de toutes les considérations que l'on pourrait faire au film, l'art à la Pablo Larraín semble tel un équilibriste qui lutterait pour ne pas tomber dans le vide du tape-à-l'œil. C'est très beau bien-sûr, mais on est effectivement en droit de s'interroger sur cela. Je repense à ces nombreuses scènes de pures danses dans *Spencer* et où mon esprit s'est d'un coup détaché du geste envoutant qui me passionnait depuis plus d'une heure : on dirait que Larraín fait une pub Channel avec en vedette l'égérie Stewart. Je ne cherche pas à dire oui ou non, mais plutôt à poser le ressenti. *Spencer* semble roder avec la luxuriante publicité, une fois la touchante fable de martyre évaporée. Heureusement, le film ne perd jamais du regard son point de fuite : celui de la libération. On a enfin habillé l'épouvantail de la robe royale, et Diana et ses enfants se retrouve près du London Bridge, savourant un simple fast-food. La suite de ce 26 décembre appartient à l'Histoire, dont les recoins sont aussi malheureusement des plus tragiques. Mais il semble bien y avoir une (re)naissance comme je le disais au départ. On a enfin trouvé la faille de Sandringham House, de la campagne d'antan, de rouages imperceptibles et rodeurs de l'iconographie royale, et ainsi du cauchemar fait de perles luxuriantes. *Spencer*, c’est un peu une course à la libération : le parcours intéresse, la gestuelle parfois un peu moins.
    fbelleton
    fbelleton

    1 abonné 32 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2022
    Très belles images dans ce film, c'est ce qui me restera.

    Sinon l'histoire est ultra-romancée : Lady Di est présentée comme une femme simple qui se fait broyer par la noblesse. Evidemment, c'est une vision beaucoup plus romantique que la réalité, les gens aimant s'identifiant aux victimes. En réalité, c'était une noble qui a bien profité de la vie, cocaïnomane et finissant bourrée avec des princes arabes. Elle a multiplié les relations, y compris au palais quand elle était mariée. Mais comme c'est une princesse, c'est à cause de son mari qui l'a délaissée. Ben voyons.

    Le film est un peu décousu, trop long, il se laisse regarder mais à condition de surfer en même temps avec une tablette.
    Marie Pozniaski
    Marie Pozniaski

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 janvier 2022
    Une coquille vide, un film insipide…je me suis fait violence et l’ai terminé. Un mime de pseudo Diana mono expressive…moue pleurnichante…
    Rami K.
    Rami K.

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    0,5
    Publiée le 17 janvier 2022
    C'est lent et vide. .........
    Tout est mauvais. L'image déprimante.
    Je m'ennuit, à oublier...........
    Cinememories
    Cinememories

    447 abonnés 1 437 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2022
    Après René Saavedra et Pablo Neruda, le réalisateur chilien Pablo Larraín s’est tranquillement tourné vers des personnalités, comme la Première dame Kennedy et maintenant la tourmentée Lady Di. L’une comme l’autre fait face à un monde qui s’écroule autour d’elle, un monde qui couve leur famille et un esprit souillé par le deuil d’un amour. Le dernier portrait d’Ema n’échappe pas à cette problématique, qui viendra davantage alimenter le malheur d’une mère, sous l’emprise de la royauté et de son indigence. Le cinéaste, comme Oliver Hirschbiegel neuf ans plus tôt, se concentre sur un court segment de vie de la princesse de Galles. Mais au lieu d’en retenir le dernier souffle, Larraín lui consacre cet instant décisif qui la pousse à fuir et surtout à se libérer du joug d’une monarchie aux traditions controversées.

    Trois jours suffiront pour nous entraîner dans la psyché de la femme derrière la princesse, où le cadre la confinera dans un espace clos et qui cherchera à y voir plus clair dans ses tourments ténébreux. On ouvre sur une patrouille militaire, alignée dans une mécanique implacable, roulant au-dessus de carcasses de faisans, trophées de chasse pour la cour et les convives de ce Noël 1991. Mais non loin de là, une femme au volant, seule et dont la destination semble incompréhensible, se heurte à ses responsabilités princières. En retard à plus d’une mesure, Diana agonise mentalement et physiquement, avant même de rejoindre la résidence Sandringham House, qui a tout de l’Overlook Hotel, un palace glacial, où les démons vampirisent la détresse et la folie de ses hôtes. Mais il n’y aura qu’une victime à déplorer, qu’une seule qui témoigne d’une humanité. On ne reviendra pas sur ce qu’elle a pu accomplir depuis qu’elle a rejoint ce cercle fermé, mais l’on comprend hélas ce qu’elle perd peu à peu en présence d’une famille, qui veille davantage à son image que son confort.

    Le sujet médiatique semble la justification idéale pour laisser la jeune femme sombrer, à l’abri de la lumière, du vent et loin de ses deux fils, qu’elle chouchoute simplement parce qu’il ne reste que cela à faire, afin de s’approprier un soupçon de révolte et une brise de liberté. En plus d’une discussion écourtée avec un faisan, dont on fera le rapprochement symbolique. Le réalisateur n’hésite pas à distiller un air froid à l’image, où les alliés se font rares, car les yeux et les oreilles sont actifs, prêts à marchander une part de malheur qui se dégage d’une Diana dépressive et suicidaire. D’une hallucination à une autre, c’est une révélation qui en découle, sans brusquer, juste ave assez de tendresse pour la pousser vers ses racines. Il fallait d’ailleurs compter sur une Kristen Stewart à la hauteur de cette vision horrifique et mélancolique. La comédienne porte le poids de culpabilité, à moitié assumé par son personnage enchaîné et dont la boulimie reste qu’un des supplices qu’il doit surmonter.

    Ainsi, « Spencer » reprend ses droits et son nom, dans une fable qui s’écarte des lourds codes des biopics, comme on en retrouve chaque année, dans un emballage peu rafraîchissant et beaucoup trop explicatif. Nous aurons droit à des instants plus émotionnels de ce côté du décor, où l’oppression s’illustre comme un planning sur-mesure, un rappel à l’ordre qui n’en finit plus, la partition de Jonny Greenwood accompagnant chaque pas hésitant et des représailles qui achèvent les espoirs de fuite. Lady Di n’est plus qu’une poupée qu’on instrumentalise et qu’on humilie à une échelle que les médias ne peuvent que déformer. Mais le secret de la réussite ne tient pas à l’authenticité. Le film ne revendiquera jamais plus qu’un accueil chaleureux, au lieu d’une couverture humide et qui couvrira davantage les peines d’une mère au grand cœur.
    Spider cineman
    Spider cineman

    122 abonnés 1 844 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    Certes sur la fin la vie de Diana était un pensum... le poids du protocole, cernée par la famille royale devait être difficile à supporter... ce n est peut-être pas une raison pour rendre ce film aussi insupportable au spectateur c est néanmoins réussi de ce côté. Ce passage du Noël de Diana est une séquence à laquelle je ne m attendais pas en tout cas pas au point d en faire un film ... bof ! Même si les acteurs font leur possible pour tenir leur rang. L interprétation de Diana est intéressante pour autant était ce crédible ? Ou fidèle à une réalité ? Tout cela finit par obtenir une attention pour des prix et bien ... je ne suis pas aligné sur les critiques positives au global.
    eldarkstone
    eldarkstone

    189 abonnés 1 976 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2022
    De très belles images ne sauvent pas ce film d'un ennui terrible tout le long. C'est lent, c'est vide ...
    ffred
    ffred

    1 539 abonnés 3 978 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2021
    Après Jackie, Pablo Larraín s’attaque à une autre femme célèbre et puissante en la personne de Lady Di. On apprend pas grand chose sur la princesse disparue tragiquement à Paris, ni sur ses relations avec son ex-mari et son ex-belle famille. Le film est écrit et réalisé sans relief, le tout est lisse et sans surprise. Le seul intérêt est l’interprétation de Kirsten Stewart dans le rôle titre. On aurait jamais imaginé l’actrice sur une telle partition. Je j’ai trouvée vraiment très convaincante. Certes le maquillage, la coiffure, les costumes aident beaucoup. Mais son jeu est subtil et elle tient parfaitement le choc, rendant le personnage attachant et aimable. La seule réussite du film donc qui, lui, ne restera pas dans les mémoires. Il est loin le temps où Larraín réalisait des films durs et puissants aux messages forts dans son Chili natal (No, Tony Manero, Santiago 73 Post Mortem)…
    Ciné-13
    Ciné-13

    96 abonnés 903 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2022
    Iconoclaste jour de Noël! Est-ce une fiction ou une fable?
    La musique prend une place prépondérante pour ambiancer : acide, intrigante, passionnée, mystérieuse, lourde et triste.
    On voit très peu la famille royale. La comparaison avec Anne Boleyn la martyre est osée. Elle craque en permanence, elle ne supporte rien, si ce n'est les magnifiques parures:
    William et Harry aiment le KFC. Ce portrait est incroyable : il fallait oser!
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