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    Spencer
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    150 critiques spectateurs

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    corpeziz_
    corpeziz_

    6 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 janvier 2022
    Vendu comme LE NOUVEAU FILM de Diana !
    1h50 de longueur pour 5 minutes de réalité. Musique sombre et froide, tâtonner d’un scénario souffler par Kristen Stewart. A évité.
    mousscoco@aol.com
    mousscoco@aol.com

    12 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2022
    Finalement il y a des films qui n ont pas besoin d être diffusé dans un cinéma et Spencer en fait parti. Très lent, la musique est trop présente.
    En revanche l ambiance oppressante du film nous fait bien ressentir ce que Lady Di vivait dans cette famille et Kristen Stewart est brillante dans ce rôle. Ce n est pas un film pour passer un bon moment et se détendre.
    Hélo Lou
    Hélo Lou

    5 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 janvier 2022
    Lenteur, tristesse, sombre…
    Tout ça fait passer la famille Royal pour des sans cœurs et Diana pour une folle
    C’est pas ce qu’on veut voir.
    Je comprend pas pourquoi vouloir faire un film si sombre …
    Charleyne C.
    Charleyne C.

    3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 novembre 2021
    Déçue par ce film, je n'ai pas aimé la bande son, Kristen Stewart a en revanche bien interprété le personnage de Diana, mais pour le reste... WTF ?
    Elsa
    Elsa

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 janvier 2022
    Mais quelle déception! Vendu comme LE FILM de Diana, nous voyons une Diana seule, folle, hystérique, victime, hallucinant. Kristen Stewart essaye de se détacher de ses habituelles mimiques mais il en reste, un travail est fait sur l'accent britannique qui je trouve est soit souffler ou avec des intonations aux mauvaises répliques.
    La musique est véritablement problématique, elle est OMNIPRÉSENTE et SOMBRE. Heureuse de ne pas l'avoir vu en salle.
    Pywela
    Pywela

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juin 2022
    Une montagne de clichés et idées reçues faisant passer Diana comme une victime et toute la famille royale comme inhumaine, mutique. La réalité est sans doute plus nuancée. Dialogues médiocres. Fond sonore nul.
    picasso2
    picasso2

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2022
    Ne vous attendez à pas à un biopic sur Lady Di, ni à une reconstitution fidèle : tout l’intérêt de ce film réside dans l’interprétation de ce que pourraient avoir été les sensations et les perceptions de la Princesse de Galles pendant un week-end de noël à l’approche de son divorce.
    Très intime, le film réussit merveilleusement bien à véhiculer les perceptions, les tourments du personnage dans un contexte qui lui était infernal. Esthétique réussie et superbe performance de Kristen Stewart
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 mars 2022
    Magnifique et prestation splendide
    Film prenant poignant ensorcelant
    Une actrice habitée par son rôle
    Bravo au réalisateur
    A voir
    Jeanne
    Jeanne

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    5,0
    Publiée le 19 janvier 2022
    Parfait, Kristen Stewart est magistrale. Un film bouleversant et rempli d'espoir.
    Regardez le, regardez le.
    Eleonore R.
    Eleonore R.

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 octobre 2022
    L'un des pires films sur Diana que j'ai vu.
    Les traits de la princesse sont bien trop exagérés dans le jeu d'acteur. L'histoire n'est pas prenante, la musique tout autour vient rajouter une couche d'un gâteau déjà bien garni.
    FaRem
    FaRem

    8 662 abonnés 9 536 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2022
    "Spencer" comme le nom de jeune fille de la Princesse de Galles, mais aussi comme un retour aux sources pour celle qui ne sait plus vraiment qui elle est. Le film de Pablo Larraín se déroule entièrement pendant les festivités de fin d'année dans la résidence de la famille royale à Sandringham. À côté se trouve la maison d'enfance de Diana qui l'attire et l'obsède. C'est peu de dire que Diana en avait marre de cette vie de château, de ces traditions et surtout de cette attention sur elle. Dans ce petit instant de vie où les gens pensent davantage à satisfaire les traditions plus que les cœurs, elle essaie de reprendre sa vie en main, ce qui n'est pas chose facile étant donné que le moindre de ses faits et gestes est connu de tous et que les "murs ont des oreilles" comme on aime bien le lui rappeler. S'il ne s'agissait pas d'une histoire "vraie", on pourrait parler de l'emprise psychologique exercer sur elle. Il y a ce collier de perles, sujet de discorde, qui est comme un symbole de l'humiliation qu'elle subit. La vie de château n'est pas forcément la vie rêvée et ce dont il est question ici avec Diana qui est dans une prison dorée ou plutôt de verre puisqu'elle est observée et épiée sans cesse. Si l'on compare à "Jackie", un autre film de Pablo Larraín, je trouve que celui-ci a plus de matière et que la personnalité de Diana est plus intéressante. Là où le film sur Jackie Kennedy était un biopic très académique, "Spencer" s'en éloigne en flirtant avec le drame psychologique. En tout cas, c'est pas mal et Kristen Stewart est convaincante même si j'ai mis quelques minutes à m'adapter à son jeu.
    gizmo129
    gizmo129

    96 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 octobre 2023
    L'histoire de la famille royale britannique est bien connue maintenant grâce à la série à succès The Crown ou aux multiples films sur les différents membres, la princesse Diana en tête. Spencer ne cherche pas à nous en apprendre davantage sur la princesse de Galles, pour cela, référez vous aux autres œuvres citées, non Diana est ici l'héroïne malgré elle d'un film d'horreur. Lady Di est emprisonnée dans son rôle de princesse, sous les ordres des traditions, au milieu d'une famille qui ne l'aime pas et d'un mari en aimant une autre. Pour autant, elle est adorée du peuple et cette dichotomie l'entraine dans la folie. Ces 3 jours qui se devaient festif dans ce palais de conte de fée tourne au cauchemar quand les lieux deviennent angoissant, entrainant à la folie comme l'hôtel de Shining. La musique montant crescendo, les violons et les orgues hurlent de plus en plus fort pour faire grimper notre tension et nous faire exploser comme Diana. La musique est splendide, les images belles, et la prestation de Kristen Stewart est éblouissante. L'actrice qui était insipide dans les mièvres Twilight nous montre un talent hors du commun dans sa partition de princesse déchue. Spencer est incroyable, on ne sort pas indemne de ce film, on ressent les mêmes émotions que l'héroïne, chapeau au réalisateur qui a réussit son coup.
    Nathan C.
    Nathan C.

    21 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 juin 2022
    Spencer est un de ces rares films qui arrivent avec brio à faire ressentir aussi bien de la joie que de la tristesse sans peine. Une proposition unique et puissante, qui semble tout a fait logique au vu du parcours du cinéaste, lui qui avait déja brillé avec Jackie quelque années auparavant. La Diana interprété par Kristen Stewart fait écho aux maux qui rongent une partie de notre société et elle les représente a merveille dans ses robes, ses pleurs, spoiler: et ses plats avalés et déglutis
    . Le film, définitivement, prouve que l'arrivé massive de la SVOD est positif, mais également destructeur au vu de son acceuil par le public.
    Dominique W
    Dominique W

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2022
    Rythme très lent.... musique pas terrible... déçue par une évocation de trois ou quatre jours de toute sa vie. Triste vie des gens nobles et riches... les pauvres!!!
    J'aimais Diana mais pas sous ce jour là.
    Quand on voit comment tout cela c'est terminé!
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2022
    Après le magnifique *Jackie* et son double deuil (seul et dernier film donc que j'ai pu voir de Pablo Larraín), *Spencer* s'installe quant à lui à Sandringham House en Angleterre, en suivant si je ne m'abuse le dernier noël de Diana Spencer avec la famille royale. Un séjour sur trois jours, qui ouvre au film trois parties : le 24, 25 et 26 décembre. Et si l'on commence par hasard à suivre les lignes du récit chrétien, *Spencer* aurait un avant et après noël. La naissance du Christ donc, et la tentative de renaissance d'une femme prise dans un cauchemar royal.

    Ici, Pablo Larraín n’abandonne toujours pas son geste de mise en scène qui avait tant créé la stupéfaction face à *Jackie* : cette caméra que je catégoriserait de « *kubricko-malickienne* », accompagne de manière quasi-fantomatique les gestes et visages (Malick), et laissant ensuite les corps se faire écraser par le poids du monde environnement sous l'œil d'une caméra presque rigide (Kubrick). Larraín a bien une radicalité dans son approche au biopic (genre souvent lissé à la simple fiche biographique). Une radicalité qui trouve son deuxième bras dans le récit et la manière dont Pablo Larraín le pense : loi de la contemplation intime et possibilité des fantaisies. *Jackie* trouve une certaine réponse en *Spencer* : si le film sur Jackie Kennedy cherchait à retenir coute que coute le pouvoir, ce film parcellaire sur Lady Di cherche quant à lui à le fuir de manière inespérée. Diana Spencer est asphyxiée par l'univers environnent : paparazzis invisibles que l'on redoute ; surveillance omniprésente et fantomatique des majordomes de la maison ; pression des regards, gestes, coutumes et traditions qui émanent tous de la figure de la famille Royale, comme une toile de fond que l'on ne peut percer. La musique du génie Jonny Greenwood (il faut toujours le rappeler), tantôt anxiogène et mélancolique, continue aussi à sa façon de matérialiser l'asphyxie ambiante que Diana ne supporte plus. Une overdose qui se tient bien au-delà de ce séjour : la figure du pouvoir même et celle de la royauté sont inscrits dans son sang.

    Un malaise environnent qui mène à la folie : c'est là où Larraín propulse quelque chose. Entre les visions cauchemardesques et la réalité, ou les errances de Diana qui relèvent autant de l'horreur que du labyrinthe mental, *Spencer* ouvre aussi une mise en abyme historique : celle d'un livre que feuillètera Diana et qui raconte la tragique histoire d'Anne Boleyn, mère d'Élisabeth Ire et seconde épouse du roi Henri VIII d'Angleterre. Une femme qui connaitra une fin terrible par la décapitation car accusée à tort d'adultère, d'inceste et de haute trahison. Une martyre (le titre du livre lui-même l'évoque), et dont Diana semble se projeter autant par les écrits du bouquin que par les mystérieuses apparitions multiples d'Anne Boleyn qui lui sont faites. Nous avons face à nous un portrait gâché qui déambule : portrait - corps - gâché par un mari, par la pression tout aussi imagère que virulente de la royauté.

    *Spencer*, c'est une histoire de martyre dans les angles morts des images officielles (la réponse et prolongation à *Jackie* est toujours là). On tente de fuir la cadre, mais on finit toujours par se faire rattraper. Une chose me parait portant légitime à questionner : au-delà de toutes les considérations que l'on pourrait faire au film, l'art à la Pablo Larraín semble tel un équilibriste qui lutterait pour ne pas tomber dans le vide du tape-à-l'œil. C'est très beau bien-sûr, mais on est effectivement en droit de s'interroger sur cela. Je repense à ces nombreuses scènes de pures danses dans *Spencer* et où mon esprit s'est d'un coup détaché du geste envoutant qui me passionnait depuis plus d'une heure : on dirait que Larraín fait une pub Channel avec en vedette l'égérie Stewart. Je ne cherche pas à dire oui ou non, mais plutôt à poser le ressenti. *Spencer* semble roder avec la luxuriante publicité, une fois la touchante fable de martyre évaporée. Heureusement, le film ne perd jamais du regard son point de fuite : celui de la libération. On a enfin habillé l'épouvantail de la robe royale, et Diana et ses enfants se retrouve près du London Bridge, savourant un simple fast-food. La suite de ce 26 décembre appartient à l'Histoire, dont les recoins sont aussi malheureusement des plus tragiques. Mais il semble bien y avoir une (re)naissance comme je le disais au départ. On a enfin trouvé la faille de Sandringham House, de la campagne d'antan, de rouages imperceptibles et rodeurs de l'iconographie royale, et ainsi du cauchemar fait de perles luxuriantes. *Spencer*, c’est un peu une course à la libération : le parcours intéresse, la gestuelle parfois un peu moins.
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