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BLOGALLO
51 abonnés
398 critiques
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4,0
Publiée le 18 septembre 2009
Très bon film, nous sommes gratifiés d'un excellent scénario, d'une très bonne bande son, ainsi que d'une réalisation excellente. Le souci du détail dans ce film policier doté d'excellent acteurs nous fait oublier le temps tellement l'intrigue est prenante.
Un film qui vaut surtout pour sa scène d'introduction dans un train, une scène relativement tendue et graphique, un vrai concentré de thriller américain et de giallo italien. Le film vaut aussi pour ses scènes de meurtres extrêmes, qui se vautrent avec délectation dans le grand-guignol le plus guignol possible. Pour le reste, c'est du whodunit classique avec dénouement absurde à la clef.
Un mystérieux tueur en série décime des femmes en plein Turin. Dario Argento revient au giallo, un genre ayant fait les beaux jours du cinéma italien. L'ensemble est assez classique, un tueur, de jeunes femmes pour victimes et des enquêteurs tenaces (pas les flics). L'intrigue se veut simpliste, mais le dénouement garde son lot de surprises et laisse entretenir le suspense jusqu'au bout. Au final, Le Sang des Innocents est un bon film dans la plus pure tradition du giallo. A découvrir.
Dario Argneto en a encore sous le pied, et il le prouve avec ce "Sang des innocents" de bonne facture. En effet, sans transcender un genre qui a c'est vrai un peu de mal à se renouveler, nul doute que l'oeuvre sait tout de même se faire rudement efficace et même haletante à certains moments. Quelques scènes risquent d'ailleurs de rester dans les mémoires tant elles savent se faire percutantes, la musique de Goblin sublimant presque cette impression déjà forte. Dommage alors que la trame, bien qu'efficace, ne soit au fond pas d'une incroyable originalité, et que la personnalité du tueur ne soit pas aussi passionnante que l'on aurait pu l'espérer, mais ne faisons pas la fine bouche car ce "giallo" saura incontestablement faire son petit effet. Une réussite du genre.
Dario Argento (Suspiria - 1977), le « Maître de l’horreur à l’Italienne », réalise un « Giallo » assurément réussi et conforme au polar Italien qui fut très en vogue dans les années 70. Dès le début du film, on est confronté au meurtrier, le réalisateur ne perd pas une minute et nous offre une séquence dans un train (haletante et mémorable !). Manipulation, machination et gore, sont les ingrédients du cinéaste qui (comme à son habitude) ne lésine pas sur les effets trashs et sanguinolents. Un thriller horrifique très bien mis en scène, captivant et terrifiant, le tout porté par d’excellent acteurs (Max von Sydow & Stefano Dionisi) et une B.O superbe composée par le groupe de rock Italien Les Goblins.
Un film reussi.....dans ses vingt premieres minutes. Cette scène d'introduction où une jeune femme est persécutée par un manique dans train desert est ultra flippante. Le reste est somme toute assez conventionnel et la fin decevante et quelque peu previsible. Reste l'originalité des scenes de meurtre(assez violentes au passage),citons en vrac une gogo danseuse noyee puis manucurée maison par le sadique,une autre victime tout simplement ecrabouillée contre un mur ou encore cette ballerine decapitée dont la tete continue de parler! A part tout ce charmant programme, rien de bien transcendant. Dario nous a habitué a bien mieux!
Bonne surprise que ce giallo d'un Dario Argento depuis longtemps en perte de vitesse qui semble vouloir se frayer un nouveau chemin vie la thriller classique. Le début du film écrit par Argento lui-même est proprement hallucinant avec le passage de la poursuite dans le train qui donne froid dans le dos. spoiler: L’intrigue sur le tueur qui revient quinze ans après est plutôt bien ficelée et il est très agréable de retrouver le vieux Max Von Sydow en flic à la retraite obligé de reprendre du service pour finir une enquête inachevée. Il sera secondé par le fils d’une victime à qui il avait fait la promesse de retrouver l’assassin de sa mère. Argento prouve avec "Le sang des innocents" qu'il peut aussi être un très bon faiseur.
… et qui nous rapproche bel et bien inexorablement de ce définitif pamphlet anti-pharisien qu’est « 7 Jungfrauen fûr den Teufel « ; Quand heureusement nous éloigne de ces mauvais musiciens terriblement mythomanes provenant de ces radios pas très ranimés - & de toute façon et en aucune manière - fils de Keith Richards et/ou de Boy George et n’ayant - très certainement - aucune « bell » de quelque oie immature et/ou un peu trop sale et/ou mal b... & de plus non-désirable à sonner.
Dario Argento spécialiste du thriller horifique nous met en scène une histoire tordue, qui attire le spéctateur, comme toujours. Le réalisateur s'entoure d'acteurs peu connus et qui jouent partucilièrment mals, mis à part l'acteur Max von Sydow qui nous livre une bonne interprétation. La musique du film est composée par le groupe favori du réalisateur, les "Goblin", qui avait déjà figurait dans "Les frissons de l'angoisse". La musique est donc un bon point pour "Le sang des innocents". La qualité incontestable du long-métrage est le suspence, qui vous tiendra vraiment jusqu'à la fin, celui-ci est tel que le spéctateur est perdu et est obligé d'abandonner ses hypothèses. En 1983, des meutres sont situés à Turin, en Italie. Des meutres particulièrments sanglants et barbares. On parle de nain assassin qui tuerai en fonction d'une contine. Le tueur de femme laisserait derrière lui des animaux en papier. 17 ans plus tard, une jeune prostituée découvre, grâce à une pochette bleue qu'elle a trouvé dans l'appartement d'un client, des dossiers en rapport avec les meutres des années 80. Elle en conclut que ce client est le tueur. Malheureusement l'assassin l'a repéré dans un train et l'assassine sauvagement. Moretti est de nouveau sur l'affaire, même si le vieux insomniaque est à la retraite. Malgré un énorme défaut qui est une interprétation chaotique (je conseillerai d'ailleurs de voir ce film en Italien sous-titré) "Le sang des innocents" est téllement rempli de suspence et de meurtres babares que le spéctateur ne peut nier un grand talent. Une nouvelle réussite!!
Trois ans après le "fantôme de l'opéra" qui figurait comme un simple film d'horreur aux allures de fantastique gore où il dirigeait pour la troisième fois sa fille après "Trauma" et "le syndrome de stendhal", Dario Argento revient à ses premiers amours dans un domaine où il a excellé et qui l'a rendu célèbre, le thriller horrifique, genre qu'il avait délaissé depuis près de dix ans, "le syndrome de stendhal" apparaissant davantage comme un thriller psychologique. Le réalisateur transalpin réalise un giallo absolument magistral dans lequel il a appelé des membres de son équipe de son plus célèbre film "les frissons de l'angoisse" ainsi on retrouve l'acteur Gabriele Lavia dans un rôle important et on apprécie le grand retour des compositeurs appelés les Goblins qui ont terrorisé toute une génération dans les film d'Argento dans les années 70 et 80. A noter qu'Asia Argento n'est pas mise à l'écart par son père, ce dernier lui chargeant d'écrire les paroles d'une comptine présente dans le film. Le film relate une enquête passionnante de bout en bout qui confronte un ancien policier et un jeune homme à un tueur en série qui récidive alors que tout le monde l'avait déclaré mort et enterré depuis dix-sept ans. Le scénario est riche, dense, bien rythmé, le réalisateur distillant son intrigue à un rythme effréné si bien que le spectateur reste littéralement scotché à son fauteuil et voit des frissons apparaître sur sa peau lors de scènes de meurtres particulièrement violentes et sadiques accompagnées par la musique baroque et tonitruante. Ajoutons à cela qu'Argento s'autorise à dériver son intrigue vers des relations amoureuses ce qui ajoute une certaine humanité dans le paysage et la peur ne s'en trouve que rajoutée. Chaque détail est intelligemment utilisé et l'investigation progresse très rapidement et de façon très efficace mais ne permet au spectateur de trouver le coupable que dans les derniers instants. Le réalisateur signe une oeuvre effrayante. Un très bon Argento.
Le moins que l'on puisse dire c'est que Dario Argento à un vraiment un style particulier auquel j'ai toujours accroché. C'est pourquoi ce long métrage m'attirait comme tous les autres. Malgré un début de film que j'ai trop décevant et un peu "grossier", la suite n'en n'est pas de même, car du début à la fin on est captivé dans cette affaire, qui nous tient en haleine. Très bons acteurs, beaux décors, beau scénario, y a rien à dire. De plus l'enquête, si l'on peut appeller ça comme ça est très bien ficelé, c'est du très bon boulot. Je pense qu'il raviera les plus grands fans d'Argento et encore beaucoup d'autres, alors n'hésitez plus pour le voir, lancez vous ! Bon film !