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La musique est sublime, le montage parfaitement maîtrisé, ce qui fait que le scénario nous emmène absolument ou il veut tout en nous faisant croire que l'on a perpétuellement une longueur d'avance. Mais le plus fort c'est que jamais Dario Argento ne nous montre la peur ou cherche à l'illustrer. Non. Il nous la fait vivre, comme si nous étions nous-mêmes la victime.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le retour du Dario Argento tel que ses fans l'ont toujours aimé. (...) Rien de nouveau, donc, dans Le Sang des innocents (...) mais un inventaire complet des grands principes du maître d'oeuvre de Suspiria, Ténèbres et Inferno (...).
(...) A la luxuriance baroque et à l'esthétique chargée qui caractérisait l'oeuvre de Dario Argento, s'est substitué un lyrisme plus intérieur, une crudité de la lumière, une platitude délibérée qui accroît en fait la violence barbare des scènes de meurtres. (...) Une forme de poésie malsaine continue d'émerger derrière les invraisemblances des diverses péripéties.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On retrouve des éléments de Profondo Rosso, de Ténèbres ou du Chat à neuf queues, revisités avec fièvre : la première demi-heure est parmi les plus impressionnantes qu'il ait filmées. Le final, qui rappellera des souvenirs, est aussi gratiné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Comme à sa grande époque, ce n'est pas la résolution de l'intrique, toujours tirée par les cheveux, qui compte, mais l'atmosphère. (...) Si du point de vue du scénario, le film semble remonter le temps face aux règles en cours, il surpasse bien des productions récentes dès qu'il s'agit de mettre mal à l'aise ou tout simplement foutre les jetons.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Du vrai cinéma d'angoisse, une mécanique huilée exquise, qui se fiche de morale et de vraisemblance pour fouiller plus profondément nos peurs et nos vices.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Les grands motifs du cinéma d'Argento sont bien là (...), mais quelque chose a changé, qui sonne comme l'aveu d'une majesté perdue dont il s'agirait de filmer les restes. Raison pour laquelle Le sang des innocents est un film poisseux, tout en pesanteur, et du coup particulièrement effrayant par moments. Filmer des restes, c'est un programme peu glamour en soi, mais fascinant quand ils sont sublimes.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
(...) l'intrigue du film pousse à son point limite l'aspect programmatique du thriller transalpin : les rebondissements s'enchaînent de façon si mécanique que la résolution finale prend des allures de farce post-Scream au grotesque assumé.
On pourra reprocher au film son réalisme barbare dissimulant un véritable tarissement artistique, son refus absolu de tout instant de grâce, mais c'est dans cette apparente pauvreté que naissent les vrais moments réussis du film (...).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Si les grandes heures d'Argento sont belles et bien derrière lui, Le Sang des Innocents relève un peu la barre des dernières production de l'italien. Oserait-on y lire la promesse d'un retour du grand Argento ? Soyons optimistes, et attendons le prochain.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Car l'essence d'Argento réside dans cette sorte de maîtrise bâclée, où un meurtre cinématographiquement grandiose peut côtoyer les scènes les plus indigentes. (...) Ici, nous sommes juste en présence d'un Argento sympathique (...). Cela ne révolutionne rien mais fait plaisir à voir.
(Avec la scène d'ouverture), on jubile à l'idée qu'Argento (...) ait retrouvé sa forme d'antan. Las, la suite n'atteint plus jamais ce pic d'effroi. (...) Le film oscille entre le kitsch et le bizarre, le pompier et l'insolite. Pour fanas de curiosité baroque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Sang des innocents comporte donc quelques moments d'angoisse pure (...). Mais le Argento version 2002, sporadiquement inspiré, n'égale jamais le cinéaste fou des années 70. Son scénario abuse de raccourcis inacceptables et ses comédiens se révèlent inégaux. Bancal, jamais tout à fait baroque, le film apparaît comme une attachante semi-déception.
Les films sont comme des trains qui avancent la nuit. Celui d'Argento a emprunté une voie de garage à la fin de la première bobine. On aurait encore préféré un déraillement.
Cine Libre
La musique est sublime, le montage parfaitement maîtrisé, ce qui fait que le scénario nous emmène absolument ou il veut tout en nous faisant croire que l'on a perpétuellement une longueur d'avance. Mais le plus fort c'est que jamais Dario Argento ne nous montre la peur ou cherche à l'illustrer. Non. Il nous la fait vivre, comme si nous étions nous-mêmes la victime.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Aden
Le retour du Dario Argento tel que ses fans l'ont toujours aimé. (...) Rien de nouveau, donc, dans Le Sang des innocents (...) mais un inventaire complet des grands principes du maître d'oeuvre de Suspiria, Ténèbres et Inferno (...).
Le Figaroscope
Mise en scène soignée, décors sophistiqués et baroques : les amateurs de sensations fortes et d'esthétisme seront satisfaits.
Le Monde
(...) A la luxuriance baroque et à l'esthétique chargée qui caractérisait l'oeuvre de Dario Argento, s'est substitué un lyrisme plus intérieur, une crudité de la lumière, une platitude délibérée qui accroît en fait la violence barbare des scènes de meurtres. (...) Une forme de poésie malsaine continue d'émerger derrière les invraisemblances des diverses péripéties.
Libération
On retrouve des éléments de Profondo Rosso, de Ténèbres ou du Chat à neuf queues, revisités avec fièvre : la première demi-heure est parmi les plus impressionnantes qu'il ait filmées. Le final, qui rappellera des souvenirs, est aussi gratiné.
Novaplanet.com
Comme à sa grande époque, ce n'est pas la résolution de l'intrique, toujours tirée par les cheveux, qui compte, mais l'atmosphère. (...) Si du point de vue du scénario, le film semble remonter le temps face aux règles en cours, il surpasse bien des productions récentes dès qu'il s'agit de mettre mal à l'aise ou tout simplement foutre les jetons.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Du vrai cinéma d'angoisse, une mécanique huilée exquise, qui se fiche de morale et de vraisemblance pour fouiller plus profondément nos peurs et nos vices.
Urbuz
Les grands motifs du cinéma d'Argento sont bien là (...), mais quelque chose a changé, qui sonne comme l'aveu d'une majesté perdue dont il s'agirait de filmer les restes. Raison pour laquelle Le sang des innocents est un film poisseux, tout en pesanteur, et du coup particulièrement effrayant par moments. Filmer des restes, c'est un programme peu glamour en soi, mais fascinant quand ils sont sublimes.
Cahiers du Cinéma
(...) l'intrigue du film pousse à son point limite l'aspect programmatique du thriller transalpin : les rebondissements s'enchaînent de façon si mécanique que la résolution finale prend des allures de farce post-Scream au grotesque assumé.
Chronic'art.com
On pourra reprocher au film son réalisme barbare dissimulant un véritable tarissement artistique, son refus absolu de tout instant de grâce, mais c'est dans cette apparente pauvreté que naissent les vrais moments réussis du film (...).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Si les grandes heures d'Argento sont belles et bien derrière lui, Le Sang des Innocents relève un peu la barre des dernières production de l'italien. Oserait-on y lire la promesse d'un retour du grand Argento ? Soyons optimistes, et attendons le prochain.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Car l'essence d'Argento réside dans cette sorte de maîtrise bâclée, où un meurtre cinématographiquement grandiose peut côtoyer les scènes les plus indigentes. (...) Ici, nous sommes juste en présence d'un Argento sympathique (...). Cela ne révolutionne rien mais fait plaisir à voir.
Télérama
(Avec la scène d'ouverture), on jubile à l'idée qu'Argento (...) ait retrouvé sa forme d'antan. Las, la suite n'atteint plus jamais ce pic d'effroi. (...) Le film oscille entre le kitsch et le bizarre, le pompier et l'insolite. Pour fanas de curiosité baroque.
Zurban
Le Sang des innocents comporte donc quelques moments d'angoisse pure (...). Mais le Argento version 2002, sporadiquement inspiré, n'égale jamais le cinéaste fou des années 70. Son scénario abuse de raccourcis inacceptables et ses comédiens se révèlent inégaux. Bancal, jamais tout à fait baroque, le film apparaît comme une attachante semi-déception.
L'Obs
(...) ce courageux retour aux sources des classiques du cinéma d'horreur paraîtra aussi dérisoire que démodé.
Les Inrockuptibles
Les films sont comme des trains qui avancent la nuit. Celui d'Argento a emprunté une voie de garage à la fin de la première bobine. On aurait encore préféré un déraillement.
Première
Les scènes de meurtre sont éblouissantes, mais le reste suscite plus souvent l'hilarité que la terreur.