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Beaucoup trouveront l'entreprise stupide et vaine. Elle l'est sans doute, mais après le casse-gueule DOGMA, il est bon de retrouver une équipe fidèle (plus quelques nouveaux) qui vient s'amuser et nous amuser. Plus encore que pour un autre film, la VO semble obligatoire pour bien profiter de toutes les... subtilités.
Alors bien sûr Jay & Silent Bob ressemble beaucoup à une mauvaise plaisanterie, à un alignement futile de gags scatologiques. Mais c'est en endossant la panoplie d'un sociopathe défini par, plus que la cinéphilie, l'inculture et la frustration sexuelle, la dépendance au "pote" dans toute son ambiguïté sexuelle, que Smith localise une certaine confusion adolescente.
Et puis, il reste encore une poignée de gags visuels savoureusement idiots pour vous convaincre que tout cela, livré en vrac, ne fait certes pas un film, mais que l'humour crétin assumé comme tel nécessite des dispositions particulières. Lesquelles ? Un solide sens de l'absurde, par exemple...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) si la finesse n'est pas de mise, le film enfile quelques perles mémorables contre le système hollywoodien, avec un faux Spike Lee hystérique, les vrais Gus Van Sant, Wes Craven, Matt Damon et Ben Affleck.
La crétinerie explose sur l'écran avec une jubilation d'autant plus palpable que, aux côtés d'un singe qui fait des siennes, plusieurs bimbos sont du voyage...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Aux commandes de ce Jay et Bob contre-attaquent, Kevin Smith offre un drôle de cadeau d'adieu à ses personnages et nous réserve une bien mauvaise blague.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
En attendant "Jay et Silent Bob : l'attaque des clowns", on se régalera avec ces aventures délirantes et vraiment "high".
MCinéma.com
Beaucoup trouveront l'entreprise stupide et vaine. Elle l'est sans doute, mais après le casse-gueule DOGMA, il est bon de retrouver une équipe fidèle (plus quelques nouveaux) qui vient s'amuser et nous amuser. Plus encore que pour un autre film, la VO semble obligatoire pour bien profiter de toutes les... subtilités.
Mad Movies
Jay & Bob contre-attaquent tire sur tout ce qui bouge, et ce n'est pas nous qui allons nous en plaindre !
Obejctif-Cinema.com
Alors bien sûr Jay & Silent Bob ressemble beaucoup à une mauvaise plaisanterie, à un alignement futile de gags scatologiques. Mais c'est en endossant la panoplie d'un sociopathe défini par, plus que la cinéphilie, l'inculture et la frustration sexuelle, la dépendance au "pote" dans toute son ambiguïté sexuelle, que Smith localise une certaine confusion adolescente.
Première
Un film sur Kevin Smith réalisé par Kevin Smith pour les gens qui aiment Kevin Smith. Choisissez votre camp, ce film ne fera aucun prisonnier.
Télérama
Et puis, il reste encore une poignée de gags visuels savoureusement idiots pour vous convaincre que tout cela, livré en vrac, ne fait certes pas un film, mais que l'humour crétin assumé comme tel nécessite des dispositions particulières. Lesquelles ? Un solide sens de l'absurde, par exemple...
Zurban
(...) si la finesse n'est pas de mise, le film enfile quelques perles mémorables contre le système hollywoodien, avec un faux Spike Lee hystérique, les vrais Gus Van Sant, Wes Craven, Matt Damon et Ben Affleck.
Aden
La crétinerie explose sur l'écran avec une jubilation d'autant plus palpable que, aux côtés d'un singe qui fait des siennes, plusieurs bimbos sont du voyage...
Brazil
(...) c'est finalement sans tristesse aucune que l'on prend congé de cette troupe iconoclaste.
Chronic'art.com
Aux commandes de ce Jay et Bob contre-attaquent, Kevin Smith offre un drôle de cadeau d'adieu à ses personnages et nous réserve une bien mauvaise blague.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Même les gags où Ben Affleck et Matt Damon s'autoparodient sentent le réchauffé et la fausse modestie. Laborieux et affligeant.