Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Franceinfo Culture
par Pierre Kron
Un drame aussi fort qu'humain, signé Brieuc Carnaille, et interprété par l'intense Clément Roussier.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Brieuc de Carnaille signe un premier film sur la schizophrénie d’une grande délicatesse, porté par des acteurs au plus juste de leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par La Rédaction
Ce soleil noir avec ses brusques éclaircies et ses ciels d’orages nous réchauffe plus qu’il ne glace.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Bernard Génin
Tout sonne juste, grâce à Clément Roussier, un jeune comédien dont la performance concourt à cette honnête vision d’un cas clinique à proposer aux étudiants en psychiatrie.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après une première partie surréaliste pleine de non-dits, où le fantastique ajoute à la pathologie du héros, le film semble privilégier une histoire classique sur la sémiologie de la schizophrénie. Regrettable. Restent à saluer l’audace du réalisateur et la prestation de l’impressionnant Clément Roussier.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par O.D.
Filmé à Roubaix, ce film intense suit au plus près les tourments d'un malade atteint de schizophrénie. Clément Roussier y crève l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Drame mené tambour battant autour de la fougue de C. Roussier et de l’intensité de M. Vacth, le film peine à développer ses autres personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Le film est plus sage qu’il ne voudrait l’être, mais décroche de son naturalisme timoré un plan sur deux, ou une scène sur deux, ou un raccord sur deux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Révélé par Ainsi soient- ils, Clément Roussier s’est fait discret depuis. Ce premier long– dont il a co-écrit le scénario – lui offre son premier grand rôle au cinéma. (...) Aussi impressionnant dans les moments de tempête intérieure que dans les heures de calme retrouvé, il donne à ce récit d’une reconstruction complexe un air de Série noire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le réalisateur connaît visiblement bien le sujet. Mais malgré de belles idées et l’abattage de son excellent acteur, qui rappelle Albert Dupontel, le récit peine à conjuguer gravité et légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
Basile va connaître des hauts et des bas (au travail, en amour) au fil d’un récit balisé, que Clément Roussier, ancien danseur, réussit toutefois à faire dévier lors de quelques moments de grâce. Le film révèle un bel acteur, un genre de Belmondo en moins hâbleur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans le rôle de la sœur, bonne âme protectrice, Marine Vacth apporte la sincérité qui manque à cette fiction intimiste trop encadrée par les intentions et les calculs incertains.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
Un drame aussi fort qu'humain, signé Brieuc Carnaille, et interprété par l'intense Clément Roussier.
L'Humanité
Brieuc de Carnaille signe un premier film sur la schizophrénie d’une grande délicatesse, porté par des acteurs au plus juste de leurs personnages.
Le Parisien
Ce soleil noir avec ses brusques éclaircies et ses ciels d’orages nous réchauffe plus qu’il ne glace.
Positif
Tout sonne juste, grâce à Clément Roussier, un jeune comédien dont la performance concourt à cette honnête vision d’un cas clinique à proposer aux étudiants en psychiatrie.
L'Obs
Après une première partie surréaliste pleine de non-dits, où le fantastique ajoute à la pathologie du héros, le film semble privilégier une histoire classique sur la sémiologie de la schizophrénie. Regrettable. Restent à saluer l’audace du réalisateur et la prestation de l’impressionnant Clément Roussier.
Le Figaro
Filmé à Roubaix, ce film intense suit au plus près les tourments d'un malade atteint de schizophrénie. Clément Roussier y crève l'écran.
Les Fiches du Cinéma
Drame mené tambour battant autour de la fougue de C. Roussier et de l’intensité de M. Vacth, le film peine à développer ses autres personnages.
Libération
Le film est plus sage qu’il ne voudrait l’être, mais décroche de son naturalisme timoré un plan sur deux, ou une scène sur deux, ou un raccord sur deux.
Première
Révélé par Ainsi soient- ils, Clément Roussier s’est fait discret depuis. Ce premier long– dont il a co-écrit le scénario – lui offre son premier grand rôle au cinéma. (...) Aussi impressionnant dans les moments de tempête intérieure que dans les heures de calme retrouvé, il donne à ce récit d’une reconstruction complexe un air de Série noire.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur connaît visiblement bien le sujet. Mais malgré de belles idées et l’abattage de son excellent acteur, qui rappelle Albert Dupontel, le récit peine à conjuguer gravité et légèreté.
Le Monde
Basile va connaître des hauts et des bas (au travail, en amour) au fil d’un récit balisé, que Clément Roussier, ancien danseur, réussit toutefois à faire dévier lors de quelques moments de grâce. Le film révèle un bel acteur, un genre de Belmondo en moins hâbleur.
Télérama
Dans le rôle de la sœur, bonne âme protectrice, Marine Vacth apporte la sincérité qui manque à cette fiction intimiste trop encadrée par les intentions et les calculs incertains.