AlloCiné
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Votre avis sur J'ai faim !!! ?
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L'idée n'est pas mauvaise mais visiblement le scénario a été mis lui aussi à la diet afin de rester plat, mince et insipide. Pourtant avec Catherine Jacob je m'attendais à mieux.
Ce film est au cinéma comique ce que Bernard Tapie a été pour la chanson française, une aberration totale. Le but est évident : surfer sur la vague fémino-diétético-coachesque. Mais c'est la noyade. On a droit à tous les clichés à la con pour un résultat nul : on ne rit pas une seule seconde. Si j'avais dû payer pour voir ce nanar, j'aurais porté plainte.
J'ai faim !!! : Une comédie française qui ne donne pas tellement envie de rire. C’est que ça pleur tous le temps donc les personnages sont assez fatigants et même énervants des fois, surtout vers la fin. Et c’est bien dommage car l’idée de départ avait l’air plutôt sympa. Mais, il y a des idées qui partent complètement a la trappe, exemple : elle gagne une grosse somme d’un héritage et elle utilise jamais l’argent, le chèque s’envole par la fenêtre, on avait donc peur pour le personnage mais ça na peut d’importance. Enfin voila, ça part vite dans le tout et le n’importe quoi et les gros thèmes du film sont : la diète et le petit copain de l’actrice principale qui est allé voir ailleurs. Donc voila, scénario un peu mince planté par des personnages clichés. Et l’humour n’est pas tip top, les gags ont tendance a ce répétés. Donc encore dommage surtout que le casting est plutôt bon : Catherine Jacob, Michèle Laroque… Voila, une comédie qui en reste pas moins distrayant elle donne pas envie, moi, je suis reste pour sur ma faim.
Yannickcinéphile
Un film qui cherche effectivement à surfer sur une mode (celle des régimes, toujours d’actualité) pour exister, mais qui n’y arrive malheureusement pas.
La faute a un scénario franchement bancal. Le métrage est lourdement découpé en trois parties dont la centrale est la plus longue, mais pas forcément la plus remplie. Le film, passé la phase d’exposition où Jacob se fait larguer, dérive vers un film à peu près digne d’un mauvais métrage des Charlots. C’est-à-dire que Jacob et ses comparses vont faire des blagues plus ou moins fendardes et méchantes à Alessandra Martines accusée d’avoir piqué son mec à Jacob. Cela tandis que Jacob va essayait d’améliorer son physique pour plaire de nouveau à son mec, à base de régime drastique. Si certains moments sont sauvés par le jeu des acteurs, honnêtement c’est très vain, et surtout très bébête par rapport aux possibilités du speech. On s’éloigne beaucoup du propos qui a donné son titre au métrage, pour virer vers un film de vengeance assez puéril et lourdaud. Quant à la dernière partie c’est une fin outrageusement convenue, une sorte de quart d’heure vite emballé que j’ai trouvé terriblement déconnecté du reste, et guère plus drôle.
Heureusement, le film est court, il a au moins le mérite de ne pas ennuyer de trop.
C’est très regrettable que le fond soit à ce point maladroit ou délesté de ce qui aurait pu lui donner de la force, car le casting est à la hauteur, et intéressant. Catherine Jacob est une actrice comique de qualité en général, et ici elle se montre assez à l’aise. Bien sûr son personnage continuellement déprimé pourra agacer, mais enfin l’actrice n’est pas à remettre en cause. Tout comme Michèle Laroque qui s’amuse beaucoup dans un rôle qui aurait pu sortir de Desperate Housewives, et particulièrement aigrie ! Autour de ce duo Garance Clavel et Isabelle Candelier, qui complète bien le duo principal. En face, c’est Alessandra Martines qui se colle au rôle de souffre-douleur, tout cela parce qu’elle est mince, et qu’elle est, c’est vrai, très belle. Elle arrive vraiment à rendre son personnage touchant, et c’est peut-être le rôle le plus intéressant du film, apportant un peu de nuance au cliché consistant à dire que les jolies filles sont forcément croqueuses de mec, superficielle… Au milieu de cette comédie très féminine, Yvan Le Bolloc’h reste en retrait, et Julien Guiomar dans un de ses derniers rôles est aussi très secondaire.
La forme n’est pas exceptionnelle. Le film n’est pas indigent, mais enfin il n’y a rien de spécialement notable. Le métrage se déroule surtout dans quelques intérieurs, la photographie et la mise en scène n’étant pas plus marquant que cela. Certaines situations sont bien orchestrées (celle de l’hôtel), après ça reste assez alimentaire tout de même. La bande son manque aussi un peu de vigueur. C’est typiquement le genre de comédie qui avec le clinquant d’une bande son punchie et moderne peut gagner en fraicheur et en peps.
Bon, vous l’aurez compris, J’ai faim !!! C’est avant tout des numéros d’actrices. C’est clair que sans Jacob, Laroque, Martines, dont la confrontation réserve quelques moments sympathiques, le film serait totalement vide. L’humour est parfois là mais les quelques sourires suscités sont peu de choses par rapport au potentiel d’un sujet important. 1.5
La faute a un scénario franchement bancal. Le métrage est lourdement découpé en trois parties dont la centrale est la plus longue, mais pas forcément la plus remplie. Le film, passé la phase d’exposition où Jacob se fait larguer, dérive vers un film à peu près digne d’un mauvais métrage des Charlots. C’est-à-dire que Jacob et ses comparses vont faire des blagues plus ou moins fendardes et méchantes à Alessandra Martines accusée d’avoir piqué son mec à Jacob. Cela tandis que Jacob va essayait d’améliorer son physique pour plaire de nouveau à son mec, à base de régime drastique. Si certains moments sont sauvés par le jeu des acteurs, honnêtement c’est très vain, et surtout très bébête par rapport aux possibilités du speech. On s’éloigne beaucoup du propos qui a donné son titre au métrage, pour virer vers un film de vengeance assez puéril et lourdaud. Quant à la dernière partie c’est une fin outrageusement convenue, une sorte de quart d’heure vite emballé que j’ai trouvé terriblement déconnecté du reste, et guère plus drôle.
Heureusement, le film est court, il a au moins le mérite de ne pas ennuyer de trop.
C’est très regrettable que le fond soit à ce point maladroit ou délesté de ce qui aurait pu lui donner de la force, car le casting est à la hauteur, et intéressant. Catherine Jacob est une actrice comique de qualité en général, et ici elle se montre assez à l’aise. Bien sûr son personnage continuellement déprimé pourra agacer, mais enfin l’actrice n’est pas à remettre en cause. Tout comme Michèle Laroque qui s’amuse beaucoup dans un rôle qui aurait pu sortir de Desperate Housewives, et particulièrement aigrie ! Autour de ce duo Garance Clavel et Isabelle Candelier, qui complète bien le duo principal. En face, c’est Alessandra Martines qui se colle au rôle de souffre-douleur, tout cela parce qu’elle est mince, et qu’elle est, c’est vrai, très belle. Elle arrive vraiment à rendre son personnage touchant, et c’est peut-être le rôle le plus intéressant du film, apportant un peu de nuance au cliché consistant à dire que les jolies filles sont forcément croqueuses de mec, superficielle… Au milieu de cette comédie très féminine, Yvan Le Bolloc’h reste en retrait, et Julien Guiomar dans un de ses derniers rôles est aussi très secondaire.
La forme n’est pas exceptionnelle. Le film n’est pas indigent, mais enfin il n’y a rien de spécialement notable. Le métrage se déroule surtout dans quelques intérieurs, la photographie et la mise en scène n’étant pas plus marquant que cela. Certaines situations sont bien orchestrées (celle de l’hôtel), après ça reste assez alimentaire tout de même. La bande son manque aussi un peu de vigueur. C’est typiquement le genre de comédie qui avec le clinquant d’une bande son punchie et moderne peut gagner en fraicheur et en peps.
Bon, vous l’aurez compris, J’ai faim !!! C’est avant tout des numéros d’actrices. C’est clair que sans Jacob, Laroque, Martines, dont la confrontation réserve quelques moments sympathiques, le film serait totalement vide. L’humour est parfois là mais les quelques sourires suscités sont peu de choses par rapport au potentiel d’un sujet important. 1.5
Une comédie dans l'air du temps qui vaut surtout par son casting .
Un (en) cas d'école de la mauvaise comédie française ou devrais je dire parisienne sans maîtrise de la cuisson avec accumulation des poncifs sans lien cohérent. Heureusement, entre un apprenti cuisinier et un grand chef, dans un film on peut partir avant la faim, c'est plus difficile pendant un mauvais repas.
Pas ennuyeux, c'est sur, mais bon, enfin non, pas bon justement.
Pas ennuyeux, c'est sur, mais bon, enfin non, pas bon justement.
On rit du début à la fin
Beaucoup de gag qui font mouche
Très bon rôle ancré dans son époque
Et le dictat des régimes
Beaucoup de gag qui font mouche
Très bon rôle ancré dans son époque
Et le dictat des régimes
Bien sûr que ce n'est pas du grand cinéma, et ce film n'a jamais eu d'autres prétentions que celle de nous distraire. Et le pari est presque réussi, certes ce n'est pas la folie douce, mais c'est souriant, sympathique, loin d'être idiot et mené tambour battant par cette actrice merveilleuse qu'est Catherine Jacob, bien épaulée ici par la sémillante Michelle Laroque et un casting féminin de charme (Garance Clavel, Isabelle Candelier, Alessandra Martines)
Comédie sans prétention mais agréable, même si parfois les dialogues tombent à plat. Les Actrices s'en donnent à coeur joie et participent largement à ce bon moment de cinéma.
Pas de quoi casser trois pâtes à un canard !.Les actrices sont peu inspirer .
Une comédie principalement destiné aux femmes... Sans plus...
Alain D.
Cette comédie écrite et réalisée par Florence Quentin est faite par une femme et pour les femmes. Son scénario, on ne peut plus basique et assez peu drôle, est basé sur les régimes d'amincissement et l'inconstance des hommes. Malheureusement, malgré une mise en scène dynamique et la bonne prestation du trio d'actrices Catherine Jacob, Michèle Laroque et Garance Clavel, les dialogues comme les situations restent trop décevantes.
Ca m'énerve ! Florence Quentin tenait une situation en or sur la dictature des régimes mais préfère concentrer la deuxième partie de son récit sur des basses histoire de veangeance inintéréssante. Un peu de fraicheur tout de même.
MINCE ALORS!!! Olé encore raté pour Florence Quentin. Film indigeste.
Film assez pesant qui se laisse regarder mais dont on se lasse vite.
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