Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Il y a, dans la mise en scène de Vecchiali, une élégance, une telle tenue qu'on aimerait pouvoir parler de droiture : c'est de la forme que découle la délicatesse de tous les rapports.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Fidèle à son cinéma artisanal, entre théâtre de chambre et science du dénuement, Paul Vecchiali filme le superbe portrait d’une comédienne qui tente d’échapper aux tourments de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Fabrice Fuentes
Une grande sérénité émane d’Un soupçon d'amour, dont la trajectoire intime et secrète épouse pourtant celle d’une obsession tragique défiant l'entendement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Doyen des cinéastes français, Paul Vecchiali réalise ce drame terrible avec une liberté et une audace que nombre de cinéastes plus jeunes pourraient lui envier.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O'Neill
Il s’agit d’une dialectique de la présence et de l’absence, avec quelques longueurs, ma non troppo, dans la pratique assumée, imparfaite et attachante d’un art qui sort de l’ordinaire.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une actrice plaque le théâtre et son mari pour soigner son fils malade. Marianne Basler est à fleur de peau dans ce mélo au charme rétro.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Si Un soupçon d’amour, l’un des plus beaux films de Vecchiali depuis longtemps, n’a pas la grâce évidente de ses chefs-d’oeuvre des années 1970 (Femmes Femmes, Corps à coeur), c’est précisément parce qu’il en porte le deuil, jusqu’au coeur de son récit.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Marianne Basler sert remarquablement le mélodrame de Paul Vecchiali.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le long-métrage de Paul Vecchiali se démarque par la performance de son duo d’actrices, Marianne Basler et Fabienne Babe, mais laisse parfois le spectateur à distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Sophie Benamon
Entre fantaisie et vaudeville, l’intrigue laisse un peu dubitatif. Mais comme dans Le Café des jules, où les délires de piliers de bar laissaient peu augurer de la direction du film, Paul Vecchiali nous emmène subrepticement dans un autre registre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Il y a, dans la mise en scène de Vecchiali, une élégance, une telle tenue qu'on aimerait pouvoir parler de droiture : c'est de la forme que découle la délicatesse de tous les rapports.
Libération
Fidèle à son cinéma artisanal, entre théâtre de chambre et science du dénuement, Paul Vecchiali filme le superbe portrait d’une comédienne qui tente d’échapper aux tourments de sa vie.
Critikat.com
Une grande sérénité émane d’Un soupçon d'amour, dont la trajectoire intime et secrète épouse pourtant celle d’une obsession tragique défiant l'entendement.
Les Fiches du Cinéma
Doyen des cinéastes français, Paul Vecchiali réalise ce drame terrible avec une liberté et une audace que nombre de cinéastes plus jeunes pourraient lui envier.
Positif
Il s’agit d’une dialectique de la présence et de l’absence, avec quelques longueurs, ma non troppo, dans la pratique assumée, imparfaite et attachante d’un art qui sort de l’ordinaire.
Télérama
Une actrice plaque le théâtre et son mari pour soigner son fils malade. Marianne Basler est à fleur de peau dans ce mélo au charme rétro.
Cahiers du Cinéma
Si Un soupçon d’amour, l’un des plus beaux films de Vecchiali depuis longtemps, n’a pas la grâce évidente de ses chefs-d’oeuvre des années 1970 (Femmes Femmes, Corps à coeur), c’est précisément parce qu’il en porte le deuil, jusqu’au coeur de son récit.
Le Monde
Marianne Basler sert remarquablement le mélodrame de Paul Vecchiali.
Le Parisien
Le long-métrage de Paul Vecchiali se démarque par la performance de son duo d’actrices, Marianne Basler et Fabienne Babe, mais laisse parfois le spectateur à distance.
Première
Entre fantaisie et vaudeville, l’intrigue laisse un peu dubitatif. Mais comme dans Le Café des jules, où les délires de piliers de bar laissaient peu augurer de la direction du film, Paul Vecchiali nous emmène subrepticement dans un autre registre.