Film exécrable avec des enfants qui se prennent pour des adultes et des adultes qui se comportent comme des enfants. Aucune crédibilité et franchement sans profondeur malgré un point de vu sans subtilité et pseudo écolo. How dare you ? Regardez autre chose! Fuyez tant qu’il est encore temps !
Franchement le meilleur rôle c'est le flic qui dit : - vous comprenez des enfants en pleine nuit avec des adultes dans la nature c'est pas normal... - le chien qui aboie aussi joue super bien Franchement film creux écrit à la va-vite c'est même pas le manque de moyens qui fait qu'il est un mauvais le film est tout simplement mauvais mal joué mal réalisé les enfants sont à peu près crédible mais ils partent avec une grosse tâche, c'est pour eux que je mets deux étoiles c'est pas leur faute
J’ai rarement vu un tel navet. De la soupe verdo bobo avec une touche de black lives matter . Des rôles improbables a des acteurs qui nous avaient habitué à mieux.
L'idée de départ est louable : sous forme de conte, sensibiliser le public sur l'avenir plus qu'incertain de la planète, ceci à partir de ceux qui sont le plus concernés, les enfants. Le problème, c'est l'absence de crédibilité du scénario, avec un militantisme supposé de la jeunesse trop en décalage avec la réalité ... En plus, des solutions abracadabrantesques sont émises à propos de la surpopulation ou bien de l'eau en Afrique qui ne font pas avancer le schmilblick d'un pouce... D'autant que dans la vrai vie, les enfants s'ils sont sans doute sensibilisés sur les questions écologiques, le sont-ils autant que le laisse croire ce film, les comportements au quotidien sont-ils à la hauteur des enjeux ? Si on rajoute un point de vue purement cinématographique, ce film est bâclé. Dommage; le sujet méritait beaucoup mieux.
J’ai apprécié la première demi-heure où le jeune Joseph (Joseph Engel) avoue au compte goutte ce qu’il a piqué à ses parents (Louis Garrel et Laëtitia Casta). Ce n’est pas tant ses aveux qui m’ont plu c’est la justification. Et ce n’est pas tant son projet écologique qui m’a plu c’est l’évidence de ses conclusions : tout ce qu’il a pris, vêtements, objets, chaussures, montres entre autres, non seulement ses parents ne s’en sont pas aperçus mais ils ne s’en servaient plus !
Ça en dit long sur nos pratiques, sur ce que l’on accumule sans s’apercevoir que tous ces objets ne nous manquaient pas. Il suffit de déménager, de les déplacer, de les (re)découvrir pour qu’ils nous manquent soudainement. Combien sommes-nous à redécouvrir quelques souvenirs dénichés au hasard d’un déménagement, s’attarder à les regarder, évoquant une période bien définie ? Parti pour faire du vide, on hésite à les écarter définitivement de nos vies alors que dix secondes avant, ils ne nous manquaient pas. Pis : on avait oublié leur existence ! Parfois, on se tient à sa décision de s’en débarrasser définitivement, parfois, on accorde pour tel objet un sursis.
Je pensais que cette première demi-heure avait donné le ton du film, au lieu de ça, il se perd dans des réflexions insipides, sans intérêt, comme la supposée jalousie du père évoquée par la mère ; spoiler: comme le fait que Joseph ait fait l’amour avec Clotilde (peu crédible mais pourquoi pas) , comme le flirte entre Joseph et Lucile (Julia Boème).
Toutefois, la fin du film nous dit que tout peut-être possible en s'inspirant des souhaits d’un certain Ferdinand de Lesseps qui l’avait envisagé en son temps. Je n’en dirai pas plus. Une fable écologique qui a le mérite de faire court (1h05), navigant entre naïveté et ennui.
La Croisade est un moyen métrage sorti en 2021 et réalisé par Louis Garrel. Ce film est énervant. Bien que le sujet soit intéressant et d'actualité (l'écologie, l'état de la planète), il est très de manière fade et sans saveur. Les enfants parlent comme des adultes, ce n'est pas naturel et les dialogues donnent le sentiment moralisateur pendant toute la durée du métrage qui réellement agaçant. La progression des personnages n'est pas vraiment marquée, on ne s'attache pas à eux. Le sujet, bien qu'important, est traité de manière superficielle, les dialogues rendent le propos digne d'un débat sur une chaîne d'information en continu. Pour son dernier scénario, Jean-Claude Carrière se retrouve collaborateur d'un film donneur de leçons sans saveur. A éviter absolument.
Indécente scorie bobo-showbiz réussissant l'exploit en 1h00 de recycler tous les poncifs inoffensifs de l'écologie selon le Bloc Bourgeois. c'est à dire déploratif, lacrymal et dépolitisé à l'extreme. et avec un aller-retour -Avion en Afrique pour une scene de 2min. La presse Macrono-bien pensante elle, ya vu une fable comme pour mieux masquer l'innocuité de sa propre vision du péril climatique et communier dans une meme autosatisfaction communautariste. .
Un petit film mignon, qui essaie de prouver que l'innocence et le bon sens des enfants sauveront la planète. On fait face à une certaine naïveté toutefois.
Que dire de ce "La Croisade" ? Pour l'anecdote, on relève au générique le nom de Jean-Claude Carrière, talentueux auteur pour Buñuel, notamment (avec étonnement - sauf à confirmer le célèbre "la vieillesse est un naufrage"...). Crédité comme coscénariste (avec LG) de ce bidule... Il fut certes un familier des Garrel, père (Philippe) et fils (Louis), à la fin de sa vie et de son oeuvre scénaristique (voir, avec ce dernier "L'Homme fidèle", en 2018) - il est décédé en février 2021... On constate que ce 3e opus de LG réalisateur dure tout juste un peu plus d'une heure - et d'emblée, on s'en réjouit : l'épreuve sera donc brève. Tant mieux ! Ce brouet bien-pensant a deux vertus : montrer par l'exemple les ravages de la moraline, et de la propagande en découlant, et achever de trouver puant, devant sa caméra, LG, le "ténébreux" (avec supplément tignasse) le plus imbuvable du boboland, en interprète. Vide. On ne trouvera bien sûr aucune filiation, historique et/ou intellectuelle, avec la "Croisade des Enfants" de 1212, où il s'agissait de pauvres hères, jeunes mais adultes, s'étant lancés sur les routes menant en Terre Sainte pieds nus, en haillons et le ventre vide (ce qui condamnait cette entreprise d'"enfants de Dieu"). Là, il s'agit de gamins des beaux quartiers, biberonnés au pathos de Ste-Greta, la madone de l'écologisme façon outre percée !
"La Croisade" a cette qualité de ne pas souffrir de longueurs, et donc de conférer à l'ennui. Néanmoins, si le message se veut militant et faussement léger, difficile de ne pas y sentir un regard moralisateur et fichtrement partial... Voir grotesque, à limite du dérangeant. Une vaine tentative d'aborder une thématique hautement explosive et importante sous un angle décalé.
c'est NUL NUL NUL (mon fils) le film est vide et tout n'a aucun sens !!!!! je préfère encore peppa pig ça au moins c'est drole! Alors que là... (ma fille)
on peut sauver la minute où le discours de greta turnberg est retransmis mais le reste ... l'idée paraissait bonne mais la forme est catastrophique ; il n'y a pas de scénario, aucun développement des personnages, on passe la moitié du temps sur la vie sexuelle (?) d'un garçon de 11 ans, bref ... une soirée ciné gâchée avec mes enfants ; je trouve que mon fils a bien résumé : NUL