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Votre avis sur Presque ?
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Magnifique ! Les deux personnes principaux sont attachants, les références chroniques à des citations philosophiques relative au stoïcisme constituent un vrai bonheur, la photographie est très esthétique (mention spéciale pour le plan de fin) et la musique est juste superbe. Un très beau film français comme les français savent me faire.
Quel film! Quelle fraîcheur ! Quelle leçon de vie . Quels acteurs! À voir absolument ! Versâtes en vue .Pour tous...
Un excellent film français irrésistible et marrant avec Bernard Campan, Alexandre Jollien, une personne handicapée devenu philosophe , Thiphaine Daviot , Laetitia Eido .
Un sujet très sensible à évoquer mais pourtant par l'intensité du film et sa justesse, je trouve cette oeuvre merveilleusement réalisée. Une histoire d'amitié improbable et inconcevable à ses débuts mais qui fini en réelle osmose. Touchant et saisissant à la fois, je trouve ça honorable de traiter d'un tel sujet avec tant d'émotions et de sang froid.
Nous n’étions que trois pour voir « Presque », et c’est bien dommage, car on ressort de ce petit film plus serein, plus heureux. C’est ce que les Américains appellent « a feel-good movie ». Alors, si le sujet vous intéresse, courez voir ce « road movie » (autre expression presque intraduisible), car il ne restera pas longtemps à l’affiche.
L’intrigue est construite autour d’Alexandre Jollien, qui joue dans « Presque » un personnage qui lui ressemble beaucoup dans la vie. Ce philosophe est né infirme moteur cérébral, « un handicap qui affecte la motricité de son corps et la fluidité de son langage ». Petit avertissement au passage : à moins que vous n’ayez l’ouïe très fine, il est possible que vous ayez un peu de mal à comprendre Jollien, même s’il s’efforce de bien articuler.
Ce philosophe est bien connu depuis qu’il a participé, en compagnie du moine Matthieu Ricard et du psychiatre Christophe André, aux entretiens de « Trois amis en quête de sagesse ».
Dans « Presque », Jollien joue le rôle d’un livreur de produits bio qui poursuit sa quête de sagesse en s’inspirant des philosophes. Cette recherche le mène de Lausanne à Montpellier à bord d’un corbillard, en compagnie d’un croquemort et de deux morts. Ne vous inquiétez pas, ce n’est ni glauque ni morbide. Au contraire, on rit beaucoup, on a parfois les larmes aux yeux et on en ressort léger, léger, prêt à s’envoler.
L’intrigue est construite autour d’Alexandre Jollien, qui joue dans « Presque » un personnage qui lui ressemble beaucoup dans la vie. Ce philosophe est né infirme moteur cérébral, « un handicap qui affecte la motricité de son corps et la fluidité de son langage ». Petit avertissement au passage : à moins que vous n’ayez l’ouïe très fine, il est possible que vous ayez un peu de mal à comprendre Jollien, même s’il s’efforce de bien articuler.
Ce philosophe est bien connu depuis qu’il a participé, en compagnie du moine Matthieu Ricard et du psychiatre Christophe André, aux entretiens de « Trois amis en quête de sagesse ».
Dans « Presque », Jollien joue le rôle d’un livreur de produits bio qui poursuit sa quête de sagesse en s’inspirant des philosophes. Cette recherche le mène de Lausanne à Montpellier à bord d’un corbillard, en compagnie d’un croquemort et de deux morts. Ne vous inquiétez pas, ce n’est ni glauque ni morbide. Au contraire, on rit beaucoup, on a parfois les larmes aux yeux et on en ressort léger, léger, prêt à s’envoler.
Film de grande ampleur très séduisant où les familles gèrent leur temps sans rien dire
Une personne différente des gens normaux a du mal de s'exprimer clairement et partager des loisirs avec le monde actuel .c'est un scénario vivant et chaleureux
Une personne différente des gens normaux a du mal de s'exprimer clairement et partager des loisirs avec le monde actuel .c'est un scénario vivant et chaleureux
Très belles histoires humaines qui montrent comment regarder et apprécier l'autre dans ses différences et pas uniquement dans ses apparences qui peuvent surprendre... Tous les acteurs démontrent les facultés humaines de l'homme qu'il faut privilégier pour vivre ensemble le plus possible en harmonie...
Curieux road movie qui mène deux inconnus vers une amitié remplie de philosophie et de bienveillance.
L'un est croque-mort et l'autre aurait aimé croquer la vie si une fée maladroite ne s'était pas penchée sur son berceau.
Ils accompagnent une vieille dame et son fils vers leur dernière.
Une destination pour reposer en paix pour les uns, trouver un sens à leur vie pour les autres.
Ce n'est pas seulement un trait d'union entre deux dates, c'est un trait d'union entre deux êtres si différents et si complémentaires.
On se laisse porter et même transporter par ce tendre voyage "en pente douce".
L'un est croque-mort et l'autre aurait aimé croquer la vie si une fée maladroite ne s'était pas penchée sur son berceau.
Ils accompagnent une vieille dame et son fils vers leur dernière.
Une destination pour reposer en paix pour les uns, trouver un sens à leur vie pour les autres.
Ce n'est pas seulement un trait d'union entre deux dates, c'est un trait d'union entre deux êtres si différents et si complémentaires.
On se laisse porter et même transporter par ce tendre voyage "en pente douce".
Deux hommes qui se rencontrent au détour d'un accident de la circulation finissent par sympathiser durant un road-trip en corbillard.
Le handicap est souvent mal représenté au cinéma, et surtout lorsque la personne handicapée est interprétée par une personne qui ne l'est pas. Je pense notamment à Sean Penn dans 'I am Sam', dans une moindre mesure à Joaquin Phoenix dans 'Don't worry, he won't get far on foot'; deux acteurs que j'adore.
Ici c'est tout autre chose. Cette tranche de vie qui ne s'écoule que sur 2/3 jours est empreinte d'une pudeur qui nous permet d'aborder le quotidien d'une personne "presque normale" (comprendra celui qui aura vu le film) sans voyeurisme et sans apitoiement (Igor qui lance au primeur "Qu'est-ce que tu veux aller croupir sur une île déserte toi, t'es pas heureux ?"). D'ailleurs même la scène de sexe est présentée d'une très belle façon.
Bernard Campan est une fois de plus très juste et très touchant. Alexandre Jollien est parfait.
Un film qui passe un peu trop vite tant on se sent bien durant le visionnage. Je recommande vivement !
Le handicap est souvent mal représenté au cinéma, et surtout lorsque la personne handicapée est interprétée par une personne qui ne l'est pas. Je pense notamment à Sean Penn dans 'I am Sam', dans une moindre mesure à Joaquin Phoenix dans 'Don't worry, he won't get far on foot'; deux acteurs que j'adore.
Ici c'est tout autre chose. Cette tranche de vie qui ne s'écoule que sur 2/3 jours est empreinte d'une pudeur qui nous permet d'aborder le quotidien d'une personne "presque normale" (comprendra celui qui aura vu le film) sans voyeurisme et sans apitoiement (Igor qui lance au primeur "Qu'est-ce que tu veux aller croupir sur une île déserte toi, t'es pas heureux ?"). D'ailleurs même la scène de sexe est présentée d'une très belle façon.
Bernard Campan est une fois de plus très juste et très touchant. Alexandre Jollien est parfait.
Un film qui passe un peu trop vite tant on se sent bien durant le visionnage. Je recommande vivement !
Ce film est très beau, l'histoire est belle et ça montre bien, le malaise que la plupart des valide on envers une personne en situation de handicap. Cette amitié apporte au personnage valide.
Audacieux et bouleversant. Ce film dégage une vraie atmosphère d'amitié non feinte qui se crée au fil du temps. Il ne faut pas avoir peur du handicap car derrière, il y a avant tout un être humain. Il fallait oser traiter ce sujet autour de la mort et du handicap aussi simplement que cela.
La non conformité à la norme choque et c'est cela que dénonce le réalisateur. Un film qui apprend à vivre!
La non conformité à la norme choque et c'est cela que dénonce le réalisateur. Un film qui apprend à vivre!
Un beau film, un road movie.... entre la suisse et le sud de la FranceIl n aura sans doute pas le succès qu' il mérite vu qu'il évoque le handicap et parle d une profession peu sexy: les pompes funèbres ..Mais c est touchant et positif...
Très touchant, magnifique Alexandre Jollien. De l'humour, de la philosophie, de l'émotion, pas de pathos, un film "vrai" qui parle sans détour mais avec délicatesse de choses difficiles.
Avec un synopsis pareil, le film aurait pu être bien-pensant ou sirupeux, mais non. Ce n'est pas non plus un "feelgood movie" un peu niais dont on ressort avec le sourire mais qu'on oublie aussitôt. Presque est juste humain, généreux, intelligent et séduisant. Il est bien écrit, avec sobriété et délicatesse. Il ne met pas les pieds dans le plat des bons sentiments. Alors bien sûr, il s'agit d'une jolie histoire façon Intouchables, mais on regarde avec amitié ces personnages vivre leur mini-aventure à Montpellier. On les aime et on ne regarde pas sa montre. C'est déjà pas mal, non, pour un film français ?
J’ai mis 4,5 parce que c’est PRESQUE parfait. Le sujet du handicap est rarement traité au cinéma. Ici il l’est avec délicatesse humour et émotion par le duo très juste ami dans la vie . Un joli road movie philosophique. Bravo à l’acteur pour son courage et son optimisme.
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